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Contrairement à ce que vous imaginiez, votre banquier et votre assureur se frottent les mains à l’idée de voir tout ce que le monde compte comme organes multilatéraux (G7, G20, COP, ONU, etc.) et comme gouvernements zélés tirer la sonnette d’alarme sur l’avenir de la planète et s’apprêter à décreter un état d’urgence écologique pour éviter la disparition de l’espèce humaine. Ils ont enfin compris tout le parti qu’ils pourraient tirer, financièrement, d’une intervention massive dans ce nouvel eldorado qu’est le sauvetage de la planète.
L’information est passée inaperçue en France, mais était relevée par le Financial Times, et reprise par le Washington Post. En marge de la COP 26 où tous les officiels ont nagé dans l’euphorie d’un sauvetage imminent de la planète, une coalition de 450 banques et compagnies d’assurance, la Glasgow Financial Alliance for Net Zero, a annoncé qu’elle apportait 130.000 milliards $ pour financer la transition énergétique.
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Fondateur du Courrier des Stratèges. Ancien élève de l'ENA, ancien administrateur de la sécurité sociale. Entrepreneur.
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