Est-il responsable d'exiger d'un malade du cancer de se vacciner contre le COVID ? Nous avons posé la question à Jules Lasson, à qui les cancérologues ne pronostiquaient que deux mois de survie il y a cinq ans, après lui avoir découvert un cancer du poumon métastasé. Il nous parle de la maladie, du traitement, et des raisons qu'il a aujourd'hui d'abandonner son suivi médical parce qu'il ne veut pas prendre le risque d'être vacciné.
Les vaccinés, à commencer par le ministre de la Santé Olivier Véran, sont-ils raisonnables lorsqu’ils exigent des malades du cancer d’être vaccinés pour avoir normalement accès à l’hôpital ? Nous avons posé la question à un “cancéreux”, Jules Lasson, qui nous explique par quelles souffrances il est passé avant de refuser, aujourd’hui, la vaccination.
Avoir un cancer et subir le vaccin, est-ce vraiment raisonnable ?
Tout le monde se souvient du témoignage poignant de Stéphanie, 33 ans, empêchée par la Brigade Anti-Criminalité d’entrer à l’Institut Curie sous le prétexte ahurissant que son test avait quelques heures de trop. Ce témoignage a d’ores et déjà suscité des centaines de courrier de shaming de votre part.
Reste une question de fond, qui est dans l’angle mort des médias subventionnés : est-il raisonnable de demander à un malade du cancer de subir une injection d’ARN Messager ?
Bien entendu, la presse subventionnée par l’Etat et par l’industrie pharmaceutique ne manque de “fact-checkers” bidons qui n’ont pas de cancer et qui expliquent doctement qu’il n’y a aucun risque à recevoir deux ou trois doses d’ARN messager quand on a suit une chimiothérapie. On préférerait juste qu’ils soient eux-mêmes victimes d’un cancer pour lire leurs propos sur ce sujet car, nous le savons tous, les conseilleurs ne sont pas les payeurs.
Précisément, nous avons recueilli le témoignage de Jules Lasson, qui, cinq ans après le diagnostic d’un cancer du poumon métastasé au cerveau, est toujours là, alors que les médecins lui avaient annoncé une mort imminente.
Avec une force, une sérénité et une joie de vivre impressionnantes, il nous explique la maladie et les raisons pour lesquelles il préfère ne plus être suivi dans des hôpitaux qui exigent de lui toujours plus de “chimie”, plutôt que de mettre sa santé en jeu en recevant un énième produit aux effets secondaires mal maîtrisés.
Nous recommandons à tous ce témoignage fort, qui ne parle pas seulement de vaccin, mais aussi de la mort, de la vie, de l’espérance, et de la force. Nous avons tous bien entendu que les non-vaccinés sont, dans le cliché collectif forgé de toute pièce par la propagande de l’industrie pharmaceutique et par ses sbires, des irresponsables.
En écoutant Jules Lasson, comme en écoutant Stéphanie, nous avons plutôt l’impression que l’intolérance, aujourd’hui, ce sont les talibans du vaccin qui n’écoutent plus personne sauf leur maîtres.
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J’admire ton courage et ta force de caractère, fils, ainsi que ton engagement à en encourager d’autres.
Il ne serait par inutile que Jules écrive un bouquin pour relater, d’abord ses 5 ans de combat, mais aussi les médecines parallèles qui l’ont visiblement beaucoup aidé.
Une (innombrable) fois de plus, il est fort dommage que le monde médical français prenne les aides extérieures par dessous la jambe, car il en existe d’autres, de mondes médicaux, qui sont beaucoup plus ouverts et réceptifs à _tout_ ce qui peut aider les patients victimes d’une pathologie lourde, quand ici, la seule petite ouverture que l’on voit (du coin de l’œil), ce sont les coupeurs de feu pour les grands brûlés… (et les NDE avec JJ.Charbonnier, qui reste bien seul dans le genre).
Je veux bien mais où est m’article qui répond à la question posée?
Très beau témoignage qui nous redit que nous sommes les premiers acteurs de notre santé.
Sur le lien entre injections géniques et vaccins, plusieurs questions se posent:
– les injections peuvent-elle aggraver le cancer?
– les injections peuvent-elles causer un cancer?
Bien que connaissant deux personnes dont le cancer s’est aggravé suite à la double injection et une qui a déclaré un lymphome peu de temps après, je pense que c’est insuffisant pour en tirer une généralité. Certains soignants affirment aussi que le nombre de cancers et de récidives a explosé.
Il faudra attendre les chiffres globaux, car les liens cause-effet sont plus difficiles à établir dans ces cas. Y aura-t-il sur l’année 2021 davantage de cancers déclarés? Davantage de morts par cancer?
A mon humble avis, tout dépend de ce qu’il y a dans les injections, car aucune seringue ne contiendrait la même chose ? Les praticiens ont-ils connaissance du contenu de ce qu’ils mettent dans le corps des patients et, dans l’affirmative, même si cela peut sembler monstrueux comme raisonnement :-/, peuvent-ils choisir les produits et “orienter” les effets sur les patients dont ils s’occupent selon les cas ? Selon ce que cela rapporte par rapport aux ordres qu’ils reçoivent de l’administration, entre examens divers, médicaments allopathiques, radios, interventions chirurgicales ? Ou agissent-ils à l’aveuglette, sur ordre, parce qu’ils ne peuvent faire autrement ?… A un moment, il était question dans la presse alternative spécialisée de 3 types de liquide en circulation (au moins !), placébo, un peu toxique mais pas trop et très toxique. Mais le flou étant tellement de rigueur, l’interdiction de vouloir comprendre tellement interdite, on peut aussi considérer les patients comme non conformes au sacro-saint antidote, le seul officiellement autorisé !