Un jour Carl Icahn a dit que BlackRock était une entreprise très dangereuse. Plongez aujourd'hui, avec Guy de La Fortelle, "l'investisseur sans costume", dans la nébuleuse de ce géant aussi discret qu'incompris, au coeur de la crise actuelle dont il est un chainon manquant.
« Plus on monte dans les étages et plus les patients sont fous : Au premier étage sont internés les fous légers, les débonnaires, au deuxième, sont les maniaques et les toqués, au troisième, je place les schizophrènes et les fous avancés, au 4e enfin se trouvent les fous dangereux. »
« Une fois dans ta jeunesse tu as fait perdre 100 millions de dollars à ton employeur. C’était énorme. Et une bonne leçon. Maintenant que ton employeur est la planète toute entière… Quel sera le prix de tes erreurs ? Vraiment Larry, plus qu’à aucune autre personne je te souhaite une bonne fortune… Car tout ton génie n’y suffira pas. »
Un bout de voile se lève
Bienvenue en Biocratie


« Le transfert du pouvoir vers la science pourrait s’avérer être une subversion dangereuse des derniers vestiges de nos valeurs démocratiques. »
Cette façon de prédire un avenir aussi inéluctable que craint est assez courant chez des hommes comme Horton, compétent sinon brillant, ayant fait passer son ambition personnelle avant ses principes pour accéder à une fonction de pouvoir et finalement désabusé devant le monde qu’il contribue à créer.
Ce qui a changé au Lancet : Ce que l’on voit le moins et compte le plus.

Conflit d’intérêts gigantesque chez les actionnaires.
La reconstitution des monopoles.
Vous êtes avec eux ou vous êtes hors-jeu.
Les porte-flingue pour le sale boulot.
Pfizer avait-il besoin de ça ?

Pourquoi Merck MSD a renié son Ivermectine ?
Qui sert BlackRock ?
Le « sauveur » organise en fait le Grand Délit d’Initiés Néolibéral
Mai 2020 : BlackRock répète, amplifie et… Déforme
- Ils vont orienter eux-mêmes les fonds de l’Union Européenne sous couvert de « développement durable » : il faut être devenu complètement fou à Bruxelles pour donner les cordons de la bourse à des Américains en pleine guerre commerciale… Complètement fou ou servile.
- C’est même BlackRock qui fait passer les stress tests aux banques européennes pour le compte de la BCE ! Oh, cela ne va pas les rendre plus solides, mais cela permettrait hypothétiquement à Blackrock de siphonner leurs données (hypothétiquement bien sûr, car officiellement, c’est niet).
Retour au réel
- L’or physique comme assurance ultime de votre patrimoine ;
- L’immobilier résidentiel et en dehors des grandes métropoles mondialisées, comme rempart contre l’inflation qui revient ;
- Les matières premières, aussi contre l’inflation et pour profiter du grand cycle haussier qui s’était enclenché juste avant la crise qui l’a accéléré ;
- Un peu de Bitcoin pour vous positionner sur la révolution des technologies de la valeur ;
- Les biens de luxe et de collection mais aussi de première nécessité, aujourd’hui, de bons bordeaux achetés en primeur s’apprécient mieux que la Bourse ;
- La détention EN DIRECT de parts de PME locales, de votre région.
8 commentaires
Etre ou pas être : ne pas être.
Dans le raisonnement, il manque les complices sans qui rien ne serait possible : les banques centrales et leurs injections monétaires sans frein ni limite (pour l’instant) dirigées vers les copains. Sans un marché de flux constant, les algos de BR ou de GS ne sont plus que du vent. Sans les leviers insensés qui facilitent les opérations, il leur serait infiniment plus difficile de détenir leurs positions. N’importe qui disposant de dizaines de milliards gratuits offerts sans risque peut racheter n’importe quel concurrent, n’importe quelle entreprise et passer pour un bon gestionnaire.
Et c’est là où l’on comprend que les discours de Macron et Pécresse sur la vaccination Pfizer quasi obligatoire « libre mais le pistolet sur la tempe », sont liés uniquement à l’évitement de la faillite de la Maison France dont le CAC40 est désormais co-financé par les fonds de pension US, qui sont les vrais employeurs de notre caste politique et les financiers de la bureaucratie française. Cette dernière elle qui a bien compris ses intérêts financiers de fin de mois et vitupère contre ces « salauds de non vaccinés qu’il faut vacciner de force et avec la sarbacane ». Car si Pfizer et BlacRock ne remplissent pas leurs objectifs de rentabilité, la bureaucratie française et européenne est mise au chômage ou ses revenus réduits de 50%. Cette obligation de la nomenklatura d’Etat pour assurer ses fins de mois vaut bien le sacrifice physique des derniers non vaccinés. Après tout, pourquoi la nomenklatura aurait sacrifié sa santé et celle de ses mômes pour garder ses revenus et pas les irréductibles non-vaxx ? C’est, dit le Président, une question de solidarité nationale ! Va te faire voir ! sale spoliateur d’Inspecteur des Finances de Bercy qui spolie les Français libéraux et entrepreneurs dans les grandes largeurs depuis 4 décades socialistes… Chacun sa merde ! L’Etat et ses affidés ont creusé tout seul leur tombe dans ces années de grandes festivités au frais des connards de contribuables. « Vous chantiez, j’en suis fort aise, et bien dansez maintenant ! »
RETOUR AU RÉEL : « Monsieur le banquier, je viens vous voir pour retirer mon argent et clôturer mes comptes ! » – Mais vous n’y pensez pas ! Vous avez des actifs hypothéqués chez nous ?Des justificatifs de dépenses ? Vous voulez un prêt ? « Non non, je veux juste retirer mon argent ! » – Lais vous ne pouvez pas, vous n’avez pas le droit, l’Etat protège les épargnes des banqueroutes à hauteur de 100.000€ ! « Mais qui cautionne les États ? » – L’Etat ! « Qui emprunte aux banques, le serpent se mord la queue. Je veux retirer mon argent, c’est le mien c’est ma propriété, c’est le fruit de mon travail. Il est à moi. » – Oui oui, il est bien à vous, regardez, les lignes de crédit sont bien là sur vos relevés et sur l’ordinateur, mais vous ne pouvez pas retirer votre argent, la banque ne peut pas… « Parce que l’épargne a déjà été engloutie depuis longtemps par l’Etat ? » -…
Très bon article !
Alors, on continue ? Qui est l’actionnaire majoritaire ou de contrôle de BlackRock ? Qui ?
Ce texte condense et vulgarise avec brio des informations nécessaires à la compréhension de ce qui est à l’œuvre et depuis pas mal de temps ,mais qui en parlait?
Pour BlackRock/Vanguard vous avez ce lien ci après,il y a un schéma détaillé.
https://www.profession-gendarme.com/qui-possede-big-pharma-et-big-media-vous-ne-devinerez-jamais/comment-page-2/
Excellent article ! Merci !
« Depuis quelques années, une mutation majeure du néolibéralisme est passée presque inaperçue »
« on parle de néolibéraux – expression qu’aiment bien utiliser les antilibéraux, mais que personne ne sait définir et dans laquelle un libéral ne se reconnait absolument pas – […]
[…] comment peut-il se faire que les médias, les hommes politiques, l’opinion publique, mais aussi les universitaires, choisissent les mauvaises théories et laissent de côté les seules qui expliqueraient la réalité qu’ils ont devant les yeux ? Faut-il en conclure qu’il existe un domaine où il y a véritablement une faillite du marché, celui du « marché des idées » ?
S’il est vrai, comme le pensent les libéraux, que l’un des grands mérites de la concurrence vient du fait qu’elle incite à choisir les meilleurs produits, comment se fait-il qu’elle ne permette pas de sélectionner les meilleurs produits intellectuels, c’est-dire les meilleures idées ?
La réponse est en réalité fort simple : il n’y a PAS DE LIBRE MARCHE DES IDEES EN FRANCE (ni dans beaucoup d’autres pays), il n’y a PAS DE CONCURRENCE ENTRE DIVERS ECOLES DE PENSEE.
Il en est ainsi en particulier parce que l’enseignement, aussi bien secondaire que supérieur, est l’objet d’un TERRIBLE MONOPOLE ETATIQUE, créateur de CONFORMISME INTELLECTUEL.
Or, dans un pays où ce monopole étatique a créé dans la plupart des esprits un réflexe antilibéral et UNE PROPENSION A CONSIDERER QUE L’ETAT EST LA SOLUTION A TOUS LES PROBLEMES, il suffit qu’on colle l’étiquette de « libéral » à un auteur pour qu’il soit rejeté dans l’enfer des idées dangereuses.
Il est pourtant frappant de voir que nombre de ceux qui, par hasard, ont eu LA CURIOSITE INTELLECTUELLE DE DEPASSER LES TABOUS et de se mettre à lire Mises, Hayek, Rothbard ou autres auteurs « libéraux » sont définitivement et profondément séduits par la rigueur et la cohérence de cette pensée. »
(Pr. Pascal Salin, « Revenir au capitalisme pour éviter les crises », p. 122 ; 123-124)