Une responsable de l'association Rester Libre ! bien connue de nos lecteurs a fait l'objet d'un ahurissant détournement de pouvoir de la part de policiers de la Préfecture de Paris. Postée au-dessus du périphérique, porte de Vincennes, pour ravitailler les chauffeurs routiers qui rejoignaient Paris, une escouade de policiers a inventé de toute pièce une "manifestation non déclarée" pour justifier une verbalisation abusive. Une fois de plus, le Préfet L'Allemand foule aux pieds les principes de la République pour imposer des mesures autoritaires.
Mais quelle mouche a piqué le Préfet de Police L’Allemand lorsqu’il a ordonné à ses sbires, vendredi soir, postés aux portes de Paris, d’inventer de toutes pièces des manifestations non déclarées pour verbaliser abusivement les citoyens qui ont exprimé le devoir de fraternité vis-à-vis des routiers qui arrivaient à Paris ?
Toujours est-il qu’une poignée de Franciliens ont eu l’étrange surprise de recevoir une amende, après une longue intimidation de policiers qui cachaient leur numéro d’identification, pour participation à une manifestation non déclarée. Ils étaient moins d’une dizaine à se trouver à quelques encablures de l’Hyper-Casher, au-dessus du périphérique, là où, presque 7 ans jour pour jour après les attentats tragiques, la police parisienne protégeait la population.
Triste ironie du Préfet L’Allemand ! La police est aujourd’hui postée à la porte de Vincennes pour réprimer les citoyens qui aident les autres…
Maria est secrétaire adjointe de Rester Libre !
L’association lui apportera sa protection et demandera une sanction disciplinaire contre ces policiers qui ont commis une faute détachable du service en inventant de toutes pièces une infraction imaginaire pour justifier une répression autoritaire contre l’exercice des libertés.
Rejoignez notre campagne de shaming en préparation contre ces détournements de pouvoir. Et demandez avec nous le licenciement du Préfet L’Allemand.
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Si je vivais à Paris, ma réaction immédiate serait à mon tour d’aller porter assistance aux membres du convoi. Mais rien d’étonnant à cet incident, puisque que micron le larbin de Schwab, avait annoncé la couleur dès le début : Nous sommes en guerre ! ( Nous sommes en guerre contre VOUS et on va vous emmerder si on peut pas vous empoisonner ! ). Pauvre France et tristes sires.
Bien avant de connaître Schwab, Nôtre Guide Suprême avait mauvaise réputation.
Vous semblez découvrir que les forces de l’ordre font ce qu’elles veulent pendant une manifestation face à des personnes qui peuvent manifester mais aussi être là par hasard ou de passage. Depuis les Gilets Jaunes quantité de manifestants connaissent cet aspect de notre “démocratie” et l’ont subi un jour ou l’autre. Ce week-end des personnes ont été verbalisées parce qu’elles avaient un petit drapeau français dans le sac. Nous sommes loin des articles 10 et 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen. Mais comme il y a encore une bonne frange de la population qui se laisse induire en erreur, ils vous répondrons que les personnes verbalisées avaient “certainement fait quelque chose de répréhensible pour être verbalisées”. De là à dire que ces personnes étaient certainement des non vaccinées, des islamo-gauchistes il n’y a qu’un pas. En fait ce sont surtout des pauvres et des gens qui en ont marre qu’on ne les écoute pas.
Le problème avec Lallemant, c’et qu’il a pris l’assiette à pizza qu’il porte crânement pour le signe de la légitimité “républicaine”. Il verra ce qu’il lui arrivera quand il devra baisser tête:
“- Débarrassez-vous donc de votre casque, dit le professeur, qui était un homme d’esprit.
Il y eut un rire éclatant des écoliers qui décontenança le pauvre garçon, si bien qu’il ne savait s’il fallait garder sa casquette à la main, la laisser par terre ou la mettre sur sa tête. Il se rassit et la posa sur ses genoux.
– Levez-vous, reprit le professeur, et dites-moi votre nom.
Le nouveau articula, d’une voix bredouillante, un nom inintelligible.
– Répétez !
Le même bredouillement de syllabes se fit entendre, couvert par les huées de la classe.
– Plus haut ! cria le maître, plus haut !
Le nouveau, prenant alors une résolution extrême, ouvrit une bouche démesurée et lança à pleins poumons, comme pour appeler quelqu’un, ce mot : Charbovari.
Ce fut un vacarme qui s’élança d’un bond, monta en crescendo, avec des éclats de voix aigus (on hurlait, on aboyait, on trépignait, on répétait : Charbovari ! Charbovari !), puis qui roula en notes isolées, se calmant à grand-peine, et parfois qui reprenait tout à coup sur la ligne d’un banc où saillissait encore çà et là, comme un pétard mal éteint, quelque rire étouffé.
Je souhaite bon courage à Maria
Avec l’expression de ma reconnaissance
Un angle d attaque d “humour.”….ne peut On considérer que toutes ces personnes des convois étaient des “migrantes “vers la Belgique et qu’ à ce titre on ne peut sanctionner des âmes charitables de leur apporter des aliments , comme le font toutes ces associations qui tous les jours apportent des vivres aux migrants ?
Courage et soutien , Madame.
Merci encore ce pouvoir qui s’en prend ouvertement à ses citoyens,
Macron, retarde-t-il sa candidature par peur des vrais sondages ?
Bonjour Eric, à l’attention de Maria, d’après Juan BRANCO, elle pourra faire sauter sa contravention en utilisant l’ordonnance du Conseil d’Etat “ODOBERT” du 12 février 2022 qui indique au sujet de l’arrêté d’interdiction des convois de la liberté :
11. “L’ARRÊTÉ (…) N’INTERDIT QUE LA MANIFESTATION SOUS FORME DE CONVOI DE VEHICULES” SE REVENDIQUANT EXPRESSEMENT DU “CONVOI DE LA LIBERTÉ””
Le Conseil d’Etat a donc, de façon très claire, limité l’interdiction aux “convois de véhicules se revendiquant expressément du convoi de la liberté” Cela exclue tous les manifestants à pied, mais aussi tous les véhicules individuels qui n’avaient pas de signes distinctifs.
Dès réception de la contravention de 135 €, il vous faudra immédiatement faire une requête (les modalités sont expliquées dans le courrier) citant précisément l’ordonnance du Conseil d’Etat, en renvoyant à son paragraphe 11.
Voir cette vidéo de Juan BRANCO : https://www.youtube.com/watch?v=UH847ORRMRA
Voir la décision : https://aurores.org/wp-content/uploads/2022/02/1110869662_461417_-_M._Dimitri_Odobert.pdf
Les promenades libres sont ainsi considérées par ordre du préfet sous couvert du ministre de l’intérieur du gouvernement sous couvert de Macron, comme des manifestations non autorisées donc interdites et passibles d’une sanction pénale.
La dictature est là. Macron ne se présente pas parce que le dictateur n’a pas besoin d’élection. L’administration, qui lui obéit, comptabilise les votes. Autant reporter les élections sine die pour éviter de provoquer des manifestations populaires interdites.