Beaucoup de Français découvrent que les stations essence sont fermées ou menacées de fermeture faute de carburants à vendre. Si l'on en croit la propagande distillée par le cartel de la presse subventionnée, la pénurie n'existe même pas. Mais, si l'on suit les documents officiels (passés inaperçus en leur temps) et les déclarations du Président Macron, on comprend que cette situation de rupture est tout sauf innocente. En voici la preuve.
Cet été, j’avais rappelé la similitude confondante entre les propos de Macron sur la grande bascule et la fin de l’abondance, d’un côté, et le plaidoyer de Klaus Schwab dans le Great Reset pour une bascule énergétique brutale après la crise du COVID, de l’autre. Fidèle à son rôle de désinformation et de propagande officielle, le cartel de la presse subventionnée a bien entendu tenu la sortie présidentielle pour une élucubration et a dissimulé (parfois avec sincérité, d’ailleurs) le véritable sens des intentions macroniennes.
Deux mois après l’annonce de la grande bascule, les Français baignent quotidiennement dans des annonces sur les coupures de gaz et d’électricité, et font la queue parfois pendant plusieurs heures pour remplir leur réservoir d’essence. Effet du hasard ?
Non, bien entendu, et c’est en lisant la “stratégie nationale bas-carbone” de mars 2020 (c’est-à-dire du début du confinement), adoptée par décret le 21 avril 2021, et publiée seulement le 21 juillet 2022, que l’on comprend la préméditation politique qui existe dans les pénuries actuelles.
Non seulement le Great Reset les a recommandées et théorisées, mais surtout le gouvernement français l’a fait…
Les pénuries dans la stratégie bas-carbone
J’ai publié le document gouvernemental officiel ci-dessus, ce qui permet à chacun de le lire à tête reposée. Il s’agit de décliner l’accord de Paris qui prévoit une stratégie à neutralité carbone pour 2050. Ce document doit être lu au premier et au second degré : entre ses lignes, on y trouve les annonces de la situation actuelle.
Pour en avoir le coeur net, je vous propose ici un florilège de citations qui en disent long sur ce que nous connaissons aujourd’hui.
L’urgence d’une bascule énergétique à court terme
Ce qui ressort de la stratégie nationale de bas carbone, rédigée en mars 2020, rappelons-le, c’est cette phrase (page 12), qui en dit long sur la logique du document :
Le dépassement pourrait s’aggraver pour le deuxième budget carbone (2019-2023) adopté en 2015 au vu de l’inertie du système, et notamment des émissions des transports qui, spontanément, croissent plus vite que le PIB. Des actions efficaces pour réduire sur le court terme les émissions sont donc indispensables pour limiter au maximum ce dépassement.
Tout est dit, d’une certaine façon, dans ce paragraphe elliptique. Il faut des “actions efficaces pour réduire sur le court terme” toute cette pollution qui menace la planète de disparition. Comme le sous-entend, de façon limpide, le document, il faut agir avant 2023, c’est-à-dire avant le troisième budget carbone.
Nous y sommes. Il est frappant de voir ici la proximité entre le calendrier proposé par le Great Reset et la stratégie gouvernementale française…
Un appel à peine voilé aux pénuries
Pour comprendre ce que la stratégie nationale bas-carbone range dans les actions efficaces à court terme, il faut parcourir la suite de ce document. On en trouve l’idée à la page 18 :
par une évolution sociale à grande échelle en faveur de la transition climatique et énergétique, via notamment la promotion des modes de vie et de consommation plus sobres et d’un net renforcement des logiques d’économie circulaire et de réduction des déchets, incluant également une évolution des compétences des entreprises et territoires via la formation professionnelle.
Là encore, les mots sont si éloquents : “une évolution sociale à grande échelle”, la “promotion des modes de vie et de consommation plus sobres”… Non, ces mots ne sont pas tirés d’un discours de Macron, de Le Maire, de Pannier-Runacher en octobre 2022… ils viennent d’un rapport officiel de mars 2020 !
Une réduction brutale de la consommation d’énergie
Si certains restent sceptiques vis-à-vis de ces déclarations d’intention, je leur recommande de lire attentivement le chapitre consacré aux économies d’énergie à court terme. Voici l’objectif (page 29) fixé par le document :
Ce que le rapport appelle “l’AMS”, c’est “l’Ajout de mesures supplémentaires”, c’est-à-dire la situation après mise en oeuvre des politiques publiques. Comme on le voit, en mars 2020, le gouvernement a prévu une baisse des émissions de gaz à effet de serre, dans le secteur de l’énergie, de 52 MCO2 à 36 en 2025, soit de près de 33%.
Et comment parvient-on à baisser la production de CO2 de 33% en 5 ans dans le domaine de la production d’énergie ?
On comprend que le rapport officiel soit laconique sur le sujet. La réponse nous est donnée par les pénuries actuelles.
Pour une évolution des normes sociales
Je passe ici sur les questions économiques ou globales de la stratégie, pour en arriver à des chapitres drolatiques, qui proposent une évolution de la norme sociale en matière de consommation, et tout particulièrement de consommation d’énergie.
On lira donc goulument, page 73, le chapitre “Éducation, sensibilisation et appropriation des enjeux et des solutions par les citoyens”.
Voici quelques phrases rédigées dans ce texte, qui en disent long sur la situation que nous connaissons (pages 73 & 74) :
La stratégie promeut une mobilisation de la sobriété dans les comportements individuels et collectifs (évolution des normes sociales) principalement via l’information , l’éducation et la sensibilisation des citoyens. Une régulation de l’offre et un signal prix clair pourront également mieux orienter les consommateurs vers une consommation bas-carbone.
Là encore, il faut bien approfondir le sens de la “régulation de l’offre et un signal prix clair”, expression pudique qui désigne clairement les pénuries et la hausse vertigineuse des prix, qu’il s’agisse de l’électricité, du gaz ou du pétrole. La situation actuelle était donc écrite dès mars 2020, mais en termes élégants…
Diverses mesures qui se réalisent en 2022
Au fil des pages, on trouvera des propositions éparses qui préparent la situation de pénurie que nous vivons.
Ainsi, page 81, la stratégie propose deux mesures intéressantes :
maîtrise de la croissance de la demande (pour le transport de voyageurs et de marchandises)
optimisation de l’utilisation des véhicules (pour le transport de voyageurs et de marchandises)
On comprend tous que la meilleure façon de maîtriser la “croissance de la demande” est d’assécher les pompes à essence, pour créer un choc comparable à celui du confinement.
Page 84, on trouvera l’appel à la généralisation du télé-travail…
Page 120, il ne faut surtout pas manquer une autre proposition qui en dit long sur la planification de la crise actuelle :
la limitation à terme de l’utilisation des moteurs thermiques aux seuls usages indispensables, compte-tenu de leurs rendements limités
Quelle meilleure façon de limiter le recours à l’automobile que d’organiser la pénurie ?
Ces quelques éléments (qui dessinent un avenir dystopique sur lequel nous reviendrons prochainement) permettent de mieux comprendre la passivité du gouvernement face aux pénuries. En réalité, celles-ci étaient souhaitées, prévues, et sont considérées par la caste comme la façon la plus commode d’obliger le petit peuple à se lancer dans la transition énergétique.
La méthode a déjà été testée avec le confinement. “On s’adapte”. Tel est le maître-mot de la gouvernance liberticide que nous subissons.
Preums: ils s’occupent à nous faire chier; désormais les choses sont claires: idem l’ue c’est la paix…
Une augmentation des prix du carburant avait mis le feu aux poudres en 2018, ce qui avait déclenché le plus grand conflit social des 50 dernières années. Que s’est-il passé depuis? Aucune réaction. Est-ce l’accalmie avant la tempête? Sommes-nous dans l’œil du cyclone?
Des (non) réactions qui laissent songeur sur l’état mental et psychologique des peuples…
non c’est la piquouze qui fait son effet lobotomisateur! 🙂
deuz! 🙂
” désormais les choses sont claires ” “dis tu?
manu as dit depuis quelques temps qu’il allait nous emmerder! il le dit et il le fait…de surcroit avec une certaine jouissance non dissimulée! remarque venant d’un psychopathe quoi de plus naturel
ps: ah mince non troiz à une minute près! flute alors.
Pour atteindre l’objectif “zéro émission carbone en 2050” il faudra que l’économie soit réduite en cendre et que nous nous rapprochions de celle de la République démocratique du Congo (PIB/hab : 45$ mensuel), ou alors que la population disparaisse (comment ?) presque totalement, ou les deux à la fois. Et il semblerait que les 2 leviers soient actionnés : destruction totale de notre économie + dépopulation massive.
Mais toujours pas de réactions de la part des populations…
Objectif de “sobriété” de 10 ou 15% ? Plus fort que le confinement qui avait réduit la conso globale de 8%
Désolé de vous le dire ainsi, mais 80% de la population n’a pas le niveau de culture générale pour comprendre l’intention dans le texte. De surcroît, dans ces 80% vous en avez les trois-quarts qui n’ont pas le temps matériel de s’y intéresser. Quand on maintien artificiellement un peuple dans l’acculturation par une éducation superficielle et décalée, une propagande sociétale stupide et l’abrutissement par la productivité, vous obtenez un troupeau mentalement laminé et désorienté.
Vous ajoutez à cela la peur par la stratégie du choc, la culpabilisation des minorités éclairées et gênantes pour le pouvoir et la sidération par un environnement social intentionnellement déstructuré vous obtenez la soumission.
La liberté commence par l’éducation et la connaissance; pas par l’abrutissement et la virtualité 2.0
C’est tout à fait ça. Le constat est limpide.
Retour de la Terreur, cette fois énergétique (relire l’anglaise de Taine). Le froncé au cerveau Linky OK pour se faire tondre et étendre. Bataclan , Notre-Dame, virus et guerre antirusse auront leur effet, comme les quatre chevaux. Peuple néanderthalien il est vrai prédisposé.
https://nicolasbonnal.wordpress.com/2022/10/10/le-francais-a-un-conteur-linky-a-la-place-du-cerveau-suite-macron-triomphe-sur-nos-blattes-sans-forcer-son-talent-dachille-la-france-raffinee-rit-fait-la-queue-six-heures-pour-cent-litres-la/
https://reseauinternational.net/terreur-republicaine-et-dictature-sanitaire-un-retour-sur-hyppolite-taine-et-son-anglaise-anonyme/
La social-democratie avance désormais sous le masque du scientisme après celui de l’hygiène physique et morale.
M. Verhaeghe, ce sont des modélisateurs du climat qui surdéterminent la politique anticarbone. Si rien n’est proposé d’aussi poussé pour contredire les modèles, ou bien si on part du principe qu’il faut décarboner, si aucune alternative respectueuse des libertés n’est proposée, la caste va simplement rouler sur l’opposition au nom des droits de l’homme.
Les écologauchos que je fréquente dans le milieu de la recherche sont assurément catégoriques : on a vécu sans voiture ni grosse bouffe durant des siècles, alors une petite diète ne posera pas de problème, et les insectes d’ailleurs sont délicieux, paraît-il (imaginez ici le regard autiste, yeux grands ouverts, de Rousseau, qui va déconstruire votre résistance).
Parmi eux, il y a ceux qui songent poétiquement à un retour à une paysannerie technologique, dénigrés par les autres qui veulent parquer les gens dans les grands camps de concentration urbains tournant au train, au télétravail, au virtuel, au travail social, et alimentés par une campagne verte ogm cultivée au robot avec une monnaie carbone.
On peut dire que ce ne sont que des visions, mais on connaît l’importance de l’imaginaire dans la conscience collective et la prise de décision.
Ces deux groupes d’ailleurs sont opposés sur la question nataliste: les premiers, gauchistes paysans, songent au enfants bio produits par des hordes d’étrangers assurément plus français que les raclures d’extrême droite, (3 enfants par femme africaine, moins de deux pour les européennes, la natalité étant un phénomène exponentiel, faites le calcul pour dans 1 siècle), les seconds, gauchistes urbains, affirment que la transition démographique et la libération des femmes qui ne veulent pas faire de gosse rendent désormais obligatoire la procréation artificielle à la Huxley.
Face à ces turbomachines imaginaires, la simple réclamation de liberté risque de ne pas suffire si elle ne s’inscrit pas dans un véhicule totalisant et sécurisant.
Le risque pour ceux qui gouvernent est d’être balayés par des soulèvements populaires incontrôlables. Les infrastructures de transports, hospitalières et d’emploi ont été méthodiquement détruites hors de grosses villes. Vivre en milieu rural est devenu impossible sans véhicule. Y passer à un véhicule électrique, cher, est une gageure compte tenu du nombre de bornes de recharge installées.
Les pénuries d’essence, les coupures d’électricité, les manques alimentaires, organisés ou pas, vont entretenir un climat de rebellion nationale et européene peu propice au bon déroulement des affaires. La focalisation de la colère qui couve depuis des années va s’abattre sur les élites autoproclamées.
Il s’agit moins de Great Reset que d’années d’incompétence et d’arrogance de la caste au pouvoir.
Pour Sarkozy et Hollande ça se discute, mais pour Macron c’est clair :
– il est young leader
– il a déclaré “les Français doivent le savoir, la bête de l’évènement arrive et elle est déjà là”
– il nous a annoncé, dès avant le 24 février, des pénuries et famines.
Macron est totalement acquis au Great Reset et au Nouvel ordre Mondial. Presque toutes ses décisions vont dans le sens de la destruction de la France (je dis presque parce que depuis cinq ans il fait augmenter régulièrement le budget de la défense, et il a annoncé la construction de nouvelles centrales nucléaires. Toutefois ces décisions ne porteraient leur fruit que dans une dizaine d’années, bien après que l’irréversible ait été commis).
pour rentabiliser une voiture électrique, il faudrait réunir 4 conditions
rouler >200 jours/an 30-100 km (travail)
disposer d’un point de charge à domicile et d’une place de stationnement au départ et à l’arrivée
posséder un véhicule “thermique” pour les longs trajets
ne pas jouir de transports en commun satisfaisants
Ces prérequis se trouve plus souvent en périurbain ou en zone rurale qu’en zone urbaine dense
Ce qui démontre qu’une voiture électrique n’est matériellement et économiquement rentable (et exploitable) qu’en milieu urbain (cœur de métropoles notamment). Allez dire à un “plouc” de la campagne d’acheter une voiture électrique pour faire son marché hebdomadaire, aller voir son médecin ou dentiste (maintenant à plus de 10 km en moyenne), faire les allées et venues pour transporter ses gosses à l’école ou au lycée (quand la CdC a renoncé aux bus pour raisons économique), aller deux fois par semaines (au minimum) tracker les promotions alimentaires du/des supermarchés locaux, souvent éloignés, et enfin aller bosser (en moyenne 20 km) pour payer les factures (ou au pire essayer de finir le mois). Vous allez vite déchanter sur la merveilleuse opportunité de posséder une voiture électrique en dehors des villes.
Que vous le preniez par un bout ou par l’autre vous verrez vite que le paradoxe énergétique de la voiture électrique relève du mensonge politique qui nous dit qu’elle est plus économique par rapport aux carburants fossiles, moins polluante à terme moyen de quatre ans et moins émettrice de CO2. Faux au regard respectivement de l’inflation du prix de l’électricité, du recyclage des batteries et du danger d’inflammation du lithium, et enfin de la prise en compte effective de la chaîne d’extraction des ressources et de production de tous les composants du véhicule, lesquels sont hautement générateurs de CO2 en arrière plan.
Facile de ne prendre en considération que le coût d’amortissement du produit fini en faisant abstraction du coût des flux énergétiques et industriels sous-jacents ainsi que de la pollution qu’ils génèrent.
Mais il est vrai que nos élites sont avant tout des technocrates et des technologues gavés de statistiques, avant d’être des techniciens avec un minimum de culture scientifique.
Ces grands sachants ont en effet détruit les infrastructures ferroviaires qui, conservées, nous auraient offert un autre destin;
bon, il est vrai que cela a commencé il y a 90 ans quand le pétrole était une énergie bon marché, inépuisable et propre, quand la bagnole faisait tout autant saliver qu’aujourd’hui et que le camion apparaissait naturellement moderne. On pourrait tenter de revenir en arrière sur ce point, cela ne serait pas une horrible coercition. Mais les criminels actuels font tout pour amplifier la catastrophe et rester sur leur idéologie comptable, économiciste, et individualiste.
Et vous restez là quand même ? Pourquoi vous ne partez pas ?
Après la limitation des véhicules thermiques aux seuls usages indispensables (ça sent l’auto-attestation !!!), nous aurons l’interdiction de la possession d’un véhicule privé (thermique ou pas). C’est le WEF qui l’a demandé aux gouvernements (” dès que possible”)
https://report24.news/schwabs-wef-instruiert-regierungen-privaten-autobesitz-schnellstmoeglich-zu-verbieten/
Macron applique la feuille de route, sans résistance aucune. Et, en effet, les pénuries sont bien commodes pour éviter toute révolte.
Ce sera pareil pour les pénuries alimentaires, largement provoquées. Voir par exemple le nombre d’incendies d’entreprises du secteur (pas seulement à Rungis), les fermetures et abattages de volaille sous prétexte de virus….
Ah, Manu, qui aime tant nous emmerder… Qu’elle doit être pauvre et ennuyeuse sa vie. Bien fait après tout et tant pis pour nous. “On” l’a élu et pourtant on l’avait vu à l’œuvre.
Les guerres, les crises réelles ou montées en épingle et plus ou moins artificielles , “disruptent”.
Plus de nucléaire à cause, pardon, grâce aux ecolo-gauchos qui ont opportunément fourni des arguments à tete-à-claques; et plus de gaz à cause de ou encore grâce à la situation en Ukraine causée par le vilain dictateur russe (car bien sûr, c’est sa seule méchanceté qui l’a poussé à entreprendre cette opération spéciale…) et hop, des pénuries apparaissent opportunément. Car elles sont une opportunité, qui n’est pas perdue pour tout le monde. Si j’ai bien compris le principe de la grande remise à zéro – pour les gueux. La caste prend tout; les gueux prennent cher!
Les pénuries font monter les prix….au bénéfice des producteurs organisés en grands groupes si possible mondialises. Les PME, artisans et les producteurs paysans localisés et non délocalisables peuvent crever – et nous avec! Ça règle le problème réel de la surpopulation et du dépassement des capacités et des limites réelles de la planète et en même temps ça enrichit les copains ou plutôt les maitres de notre “yougne globale lideur”, car il a l’accent, le bougre – il suffit de l’entendre quand il interpelle “Slippy Jo”. C’est tout bénef et en plus ça lui permet de faire braire ceux qui ne sont rien – pas comme lui qui est tout et son contraire, en meme temps.
Ce qui est aussi remarquable, c’est que comme toujours de vieilles badernes confites dans leur arrogance – pour rester polie – s’entichent de jeunes blancs becs prêts à leur faire la cour – toujours pour rester polie – dans le but de devenir leurs larbins zélés mais dotés d’une bonne capacité de nuisance.
Hier, horreur, le visage pas si ridé que ça de Minc sur une chaine de télé bien correcte. Je ne peux plus m’empêcher de penser ” toujours vivant ce vieux croûton- vraiment, c’est dur de rester polie!
Je ne vois pas de révolution à venir, tout juste des jacqueries du côté des gueux, dont je fais partie. Du côté des patrons de PME et d ETI, peut-être ? Car moins d’énergie, c’est bêtement mécaniquement et proportionnellement une contraction de l’économie.
Il n’y a pas que Macron qui soit “young globale laideur” dans cette ploutocratie, il y en a quelque uns et quelques unes qui ne déméritent pas dans cette cours des miracles.
Très instructif article, merci. C’est je crois avec des documents officiels qu’on peut le mieux essayer de rėinformer nos proches, si on en a le temps.
Le temps et l’énergie, parce que la perspective du chaos dresse vite une barrière psychologique dans la tête de ceux qui nous sont chers, et l’ėroder est lent et lassant. Un document officiel rend ce “travail” d’éveil de nos proches moins compliqué.
A part ça, je pense qu’une rubrique “bonnes nouvelles” pourrait faire du bien ici, tout de même ; j’aimerais que l’idée “tiens, allons voir ce qui est dans le Courrier des Stratéges aujourd’hui” soit un peu plus légère que “où en sommes nous de l’agenda du chaos ?”. Ce que l’avocat David Frei (chaîne YT viva Frei qui migre maintenant vers Rumble) appelle une “white pill”, une bonne nouvelle qu’il demande systématiquement à Robert Barnes en conclusion de leur direct hebdomadaire.
Très bien, mais que vient faire la CGT dans cette histoire. C’est à cause d’elle que les raffineries sont bloquées. Et ce n’est pas la première fois. Ils collaboreraient avec MAcron? Bon ce ne serait pas impossible, car en politique tout est possible.
Humilier, encore et encore : tel est le crédo de l’empafé réélu en 2022.
Je connais un facho applaudi pendant 20 ans et qui a fini sur un crochet de boucher. T’es prévenu sale petit mec.
Les syndicats sont tenus en laisse depuis longtemps. Ils sont sous influence. Du reste nos dirigeants ont prévu une révolte du peuple à plus ou moins long terme ; ils ont acheté de nouveaux blindés pour les CRS, ont refait les stocks de gaz lacrymogène depuis un bon moment et ont acheté des drones de surveillance pour surveiller les citoyens et les futures manifestations. Ils sont préparés à une révolte du peuple même si ils ne savent pas exactement quand elle va se produire. Il est tentant de voir de l’incompétence dans toutes les décisions de l’état ces trois dernières années car celà nous rassurerait d’une certaine façon plutôt que de penser que tout celà a été préparé et voulu longtemps à l’avance. Hélas les preuves s’accumulent depuis de longs mois dans ce blog et ailleurs que tout celà est un plan mûrement préparé. D’ailleurs ils ne s’en cachent même pas et leurs déclarations sont publiques. Evidemment les gens ont du mal à imaginer une telle malveillance. C’est pour celà qu’ils optent pour l’explication qui les rassure le plus : l’incompétence.
Moi je prédis que tout cela va se terminer par une “bonne guerre”.
Parce que simplement tout système économique en faillite la réclame à corps et à cris pour relancer la machine enrayée !
Non, non, je ne dis pas que le peuple est abruti, comme certains le prétendent ici alors qu’ils ne sont objectivement que leurs descendants dégénérés.
Je répète juste ce que me disait mon grand-père il y a 50 ans, et tous les grands-pères de France (…) à leurs petits-enfants quand ils sont à l’orée du paradis…
Certains, d’autres la plupart, ont oublié encore une leçon essentielle et pérenne de l’Histoire : les périodes de paix sont des exceptions. Et encore, relativisons, des exceptions émaillées chaque année de conflits larvés, ça et là, qui n’attendent que d’embraser le tout – mèches longues, mèches courtes ?
Mon commentaire précédent a disparu (temporairement ??), aurais-je osé une autre lecture de la situation, un peu superficielle, un peu trop iconoclaste / impertinente, désolé je ne suis pas un spécialiste dans le domaine, … mais c’est intéressant, je me fais assez régulièrement censuré sur les sites mainstream et à présent (à confirmer ou pas ?) sur les sites non-mainstream, très instructif, les positions se raidissent, l’ambiance est de + en + à l’affrontement sur la planète, allez !! l’hiver va être chaud-bouillant 🙂
Le “choc” des plaques tectoniques de la pensée approchent … comme d’habitude le “bon peuple” sera manipulé … par qui ? ami ou ennemi ? de quel camp es – tu ?
Peace and Love, c’est si loin. Les chemins de Katmandou, les soirées guitare à la plage, autour d’un feu de camp … c’est TER-MI-Né. Désormais j’irais contemplé les étoiles loin des foules combatives.
La transition prisonistique n’est pas évoquée dans le texte, mais elle est cent fois plus probable pour ces technos déran-déjantés que leur transition énergétique qui ne produira à très court terme qu’une immense pauvreté, donc des catastrophes attendues dans l’enceinte des palais nationaux. Ces derniers qui ne sont que de piètres recours pour la caste en cas de crise majeure et de soulèvement massif. Ont-ils déjà prévu les emplacements des sulfateuses lourdes dans le jardin des Tuileries et derrière la grille du Poulet. Je serais dans leur situation, c’est à cela que je penserais en premier, pas à cette transition énergétique qui a autant de probabilité d’advenir que la descente du père Noël en traîneau de rennes au-dessus de notre maison…