Les scientifiques estiment qu’il faut élaborer différents types de vaccins efficaces qui permettent de prévenir et de lutter contre les maladies graves comme le Covid-19. Mais les contraintes financières et technologiques constituent un obstacle majeur. Actuellement, ils travaillent sur la fabrication d’un vaccin anti-Covid-19 oral. Il suffirait de le boire ou de l’avaler pour bénéficier d’une bonne immunité. Actuellement, de plus en plus de chercheurs se concentrent sur les vaccins muqueux, qui comprennent les vaccins nasaux et les vaccins oraux “à avaler” tels que le vaccin QYNDR, dont l’essai clinique de phase 1 est terminé et qui attend actuellement un financement supplémentaire pour mener les essais plus détaillés et plus avancés qui permettraient de commercialiser le vaccin.
La formule de vaccin aqueux commence à séduire les scientifiques du monde entier. En effet, selon les chercheurs de l’Université d’Oxford, contrairement aux vaccins par injection censés offrir une protection contre la forme grave du Covid-19, la formule nasale du vaccin anti-Covid permettrait de déclencher une réponse immunitaire dans les voies respiratoires, les principales zones d’attaque du coronavirus, en étant moins invasives pour le reste de l’organisme. En outre, si ce type de vaccin fonctionnait, il serait plus facile de convaincre les personnes de se faire vacciner, car c’est une méthode non douloureuse étant donné qu’elle ne requiert pas l’utilisation d’une aiguille. Cette formule de prévention du Covid-19 se démarque aussi par sa facilité de manipulation. En Inde et en Chine, les autorités de réglementation ont déjà approuvé l’utilisation de produits administrés par voie aérienne. Le vaccin contre le covid-19 en spray nasal de Bharat Biotech a obtenu l’autorisation d’utilisation d’urgence du ministre indien de la Santé.
Vers la création de vaccins à avaler ou à inhaler
Lorsqu’on parle de protection contre le Covid-19, on pense immédiatement aux vaccins à ARNm produits par les grands noms de l’industrie pharmaceutique, dont Pfizer/BioNtech et Moderna.
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He bah espérons qu’ils ne trouveront pas les financements.
Ils nous lâcheront la grappe plus vite.
Cette bande de malades….
Grande promesse… pour la rentabilité des labos?
« Le véritable objectif des injections massives d’ARNm n’était pas de “sauver des vies”, mais de normaliser un nouveau marché pharmaceutique des modifications génétiques par ARNm, car les brevets des médicaments “normaux” expirent et les bénéfices pharmaceutiques chutent. »
(Tony Blair, WEF)
On ne se fait pas vacciner parce que l’on a peur de l’aiguille, mais par manque de confiance dans le produit, ne vous méprenez pas.
Quand je pense que Raoult avait évoqué la piste d’un traitement nasal. Qu’est-ce qu’on n’avait pas entendu alors sur le druide marseillais…
Kill Bill a aussi dans ses projets trans(humains) un vaccin (contre la mort ? contre la connerie ?) gazeux. Projet nébuleux donc. A administrer entre les repas par épandage aérien. Chic, on va rejouer la scène de La mort aux trousses.
Quant au titre de l’article, hum. Promesses ou menaces ?
Des vaccins oraux à avaler et muqueux en spray existent déjà avec des résultats allant de mauvais à catastrophique ! Il s’agit d’activer des anticorps protecteurs IgA au niveau des muqueuses nasales et buccales, les seuls anticorps pouvant arrêter la transmission des maladies respiratoires virales.
Les vaccins muqueux ont vu le jour contre la grippe. Arrêt car inefficaces.
Un vaccin oral contre la polio a été distribué par Bill G qui a provoqué la maladie invalidante. Tous les cas de polio aujourd’hui à travers le monde sont consécutifs à ce vaccin.
L’idée de base consistant à activer les IgA est bonne, surtout en version mucosale des voies respiratoires supérieures. Mais cela reste une idée !
Autant se faire des lavages de nez avec une goutte de povidone iodée (Bétadine Vert Foncé) ajoutée à l’eau salé. Mais il faut le faire tous les jours en prévention et surtout dès que ça gratouille lors des premiers symptômes.
Aucun vaccin n’a jamais enrayé une épidémie ! Il serait temps de devenir adulte et d’accepter que la médecine moderne ne peut vivre sans malades. Les épidémies hivernales sont un mal nécessaire pour purger les immondices que le genre humain avale toute l’année. C’est trop dur à accepter ? certes car il faudrait changer notre malbouffe, ce qui est plus dur que de changer de belle-mère, de religion, de parti politique et même de sexe ! “La médecine est pourvoyeuse de tares, elle se recrute des clients” Jean Rostand, biologiste.