Quand l’ONU publie un matériel consacré aux « discours de haine » à travers le monde, tout juste un an après un opuscule de MM. Schwab et Malleret largement consacré à la même thématique, c’est l’occasion de se souvenir que l’ONU n’est finalement que le séminaire des travaux pratiques rattaché à la chaire davosienne du professeur Schwab.
Le pouvoir des milliardaires davosiens, politiquement incarné par l’ONU, étant strictement philanthropique, seule la méchanceté humaine, le mal absolu, la haine est susceptible de s’opposer à son grandiose programme de salut féministe, multiculturaliste et vaccinaliste de l’humanité. Or, à en croire la domesticité intellectuelle de Davos, la haine, comme le « changement climatique » (dont elle est probablement une manifestation connexe) traverse en ce moment une phase de recrudescence.
Pourquoi donc ? Rien à voir, bien sûr, avec les opérations de dépopulation en cours sous prétexte grippal, avec la récession causée par le sabotage covidiste de l’économie mondiale, ou encore avec ce mépris des choix démocratiques des « peuples terroristes » que « l’Empire du bien » affiche de plus en plus ouvertement – que ce soit à Washington ou à Brasilia.
ONU vs Humanité : anthropophobie contre « discours de haine »
Les buts politiques de cette opération de com’ sont transparents, et tiennent tout entiers en une seule phrase du rapport : « Inquiets de la fréquence et de l’ampleur de ce phénomène, des experts indépendants des droits de l’homme ont tenté de convaincre les principales plateformes de médias sociaux de (…) se montrer plus responsables dans la lutte contre la montée des discours de haine en ligne » (mais pas forcément autant contre la production de propagande russophobe). C’est bien nous qu’il s’agit de faire taire ou d’invisibiliser.
Suit une galerie d’inadaptés biologiques ou sociaux, dont le seul point commun est de toute évidence de permettre une tentative de culpabilisation de ceux des humains (l’immense majorité) qui osent vivre à l’aise dans leur sexe, leur groupe social, leur âge et leur biotope. Évacuant toute notion historique ou politique, l’idéologie apparemment psychologisante de l’ONU (de Davos) et en réalité une philosophie anthropophobie : celle que F. Nietzsche avait décrite sous le nom de vision du monde « du dernier homme ».
Pour compléter, cette excellente intervention d’Olivier Piacentini qui, en plus de disséquer le fonctionnement du FEM, montre l’inquiétude de la secte schwabienne qui semble découvrir qu’elle est détestée. Et ignorer que la haine n’est un délit que dans les régimes totalitaires.
https://reseauinternational.net/toute-la-verite-sur-le-forum-economique-mondial-de-davos-2023/
A diffuser sans modération!
merci