Espèce féline sauvage, le chat de Pallas, qui fait en ce moment l’objet de toutes les attentions de l’establishment médiatique, nous fournit aussi un très bon exemple de ce que les adeptes de la religion davosienne nomment « nature ».
Pour vivre heureux, le chat de Pallas vit caché. On en aurait repéré un couple au Népal, à 5000m d’altitude. Ce qui signifie avant tout que les divers esclaves de la machinerie médiatique qui s’attendrissent sur cette espèce rare ne l’ont probablement jamais rencontrée – à la différence des bovins domestiques dont Mark Rutte, dans « l’autre pays du fromage », a entrepris l’extermination pour faire plaisir à son maître Schwab, ou encore des animaux de compagnie dont la liquidation « prophylactique » a déjà commencé (entre autres en Chine) – espèces qui, elles, ne leur inspirent aucune pitié. À la différence, surtout, de Sapiens sapiens, principale cible des opérations de dépopulation davosiennes, que le catéchisme anthropophobe de Greta Thunberg leur a même carrément appris à détester.
Voir de ses yeux un chat de Pallas est un luxe – que les « activistes » devraient d’ailleurs (comme les excursions en mer à la rencontre des dauphins) s’efforcer de persécuter jusqu’à en rendre le prix prohibitif (c’est-à-dire payable uniquement par les milliardaires qui financent ledit activisme).
Chat de Pallas vs Sapiens sapiens : une lutte inégale
Et finalement, ce qui sauve le chat de Pallas, c’est de très peu ressembler à Klaus Schwab ou Yuval Harari. À l’inverse des sympathies normales, fondées sur la ressemblance, l’esthétique de la secte manichéenne de Davos est fondée sur la haine de soi. Elle épargne donc facilement ce quadrupède, réservant ses foudres au bipède sans-dents « qui n’est rien » (ou pire que rien : hétérosexuel), surtout quand il est blanc.
Mais, si les davosiens se haïssent tellement, pourquoi ne pas commencer la décarbonisation par une bonne soirée cyanure entre amis ? Parce que eux, les activistes, les éveillés (en anglais : « woke ») sont dépositaires de la « conscience » – laquelle se manifeste, justement, dans ce souci du chat de Pallas, de l’ours polaire et de quelques cétacés, qui consume leur âme. Raison pour laquelle, au lieu de suivre l’exemple d’hygiène du bunker donné par Hitler, ils préfèrent conserver provisoirement la jouissance de leurs milliards.
Franchement j’hésitais à m’abonner mais les articles de Modeste sont trop perturbants et incompréhensibles
On s’y perd
On a l’impression de quelqu’un qui veut tout traiter et commenter comme les idées viennent
Ça en devient imbuvable et très difficilement compréhensible
Au final lecture trop souvent inutile me concernant
Remarque bien injuste, sans offenser…
Ces brêves inclassables font ma joie goulue ces jours-ci; saut abrupt d’actualité, via leurs gorges échaudées ; leur difficulté à mon avis provient du souci de ce grand esprit de ne rien renier de son travail (éminent), et d’en rendre (gracieusement pour l’essentiel) accessible la dynamique (vertueuse) toute de lien stimulant et de critique radicale…
Quelle époque se prêterait mieux à ce dégagement (par l’) acide de ses scories dévorantes, du moins nos esprits essoufflés doivent-ils boire d’une eau très vive pour échapper à sa sclérose ?…
Caramba, encore raté!
L’idée n’était pas mauvaise, étant donné qu’en effet, on m’a souvent reproché d’écrire de façon “difficilement compréhensible”. Simplement, il faudrait consacrer un peu de temps au choix de la brève à descendre, étant donné que celle-ci est d’un style assez limpide.
Attendez, je vais vous aider: celle-là, par exemple, contient des mots compliqués (“négativité”) et une référence à un philosophe de gauche autre que BHL:
https://lecourrierdesstrateges.fr/2023/02/01/houria-bouteldja-rejetee-vers-le-cote-obscur-de-la-force-par-modeste-schwartz/
Surtout, surtout, Monsieur, continuez !
Et laissez la grisaille de l’expression ( pour beaucoup) ou la technicité précise voire froide ( autre manière, pour d’autres sujets interessants) à d’autres !
Vous nous ravissez, quelque part, d’arriver à communiquer avec cette effervescence, ce bouillonnement amusé de l’esprit !
Je suis bien d’accord. Cet auteur n’apporte jamais aucune info ni analyse, que des effets de style avec lesquels il se fait plaisir. C’est agaçant quand on a besoin d’info et non d’exhibitions baroques.
…La bave du crapaud n’atteint pas la blanche colombe…
Ben zut alors… Moi qui espérais apprendre quelque chose sur une espèce de moi inconnue.
Bon, y’a wikipédia pour les bipèdes.
Moi, j’aime bien les articles de Modeste. ils sont courts et rapide à lire. Ils ont un air qui rappelle les grandes heures de la presse d’opinion; de ces journaux qui n’étaient pas encore politiquement correct, pardon je veux dire wokes ou algorithmiques. Ses écrits sont polémiques et appellent un chat, un chat et comme de bien entendu, cela dérangent certains…Bravo.
En toute modestie, bravo !