Les États-Unis ont de bonnes raisons de ne pas dire la vérité sur le président russe Vladimir Poutine. Le vétéran du renseignement américain Scott Ritter en a parlé sur ses réseaux sociaux.
Cet article est initialement paru sur le site ploitros. Il n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier des Stratèges.
La rhétorique des responsables occidentaux, ainsi que celle des grands médias, vise à diaboliser la Russie et son président Vladimir Poutine. En particulier, les experts occidentaux aiment dire que le président de la Fédération de Russie est un ancien officier du KGB. En même temps, ils omettent régulièrement le fait que le 41e président des États-Unis, George W. Bush, était le directeur de la CIA.
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Il est heureux que VV. Poutine ait été chef du KGB. La marque de la Volonté d’Allah y était. Imaginons un moment q’il n’en fût pas comme cela. Les siono-américains seraient encore aujourd’hui les rois incontestés du monde … Oui, c’était bien une marque de la Providence. Louons le Seigneur.
Félicitons nous simplement de la vision, de l’intelligence et du pragmatisme d’un véritable chef d’état car Dieu n’a probablement rien à voir avec tout ceci, il est bien trop occupé ailleurs…
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Vous n’avez pas perdu grand-chose.
Une autre façon de dire que Poutine n’a pas peur des USA, crime de lèse majesté.
Poutine est vertueux et juste comme un Russe, les Américains “make money” et fi de la justice.
L’oligarchie dirigeante US est un corum de mafieux gangster psychopathes qui ne comprennent pas les subtilités même d’une relation de vassalité, ils ne risquent pas de comprendre une relation d’égal à égal, c’est pas dans leur logiciel. Mais il va falloir qu’ils s’y fassent car le déclin de leur hégémonie est inéluctable. La majorité des pays ne se sont pas aligné sur les sanctions.
Quand je vois “qu’on” nous présente les USA comme le phare de la démocratie: un système politique qui permet à un presque grabataire atteint de troubles cognitifs particulièrement avancés (peut être même d’épisodes de démence), de diriger un des pays les plus puissants du monde. Bien sûr, si ce n’est pas lui qui dirige, c’est qu’en coulisses des gens complotent, ce qui est la marque d’une grande démocratie: une belle subsidiarité…
Mais le voir à chaque vidéo avec une rigidité presque cadav…, tendre la main à la porte, au caméraman ou au courant d’air et avec un regard si (in)expressif…