Complotiste notoire, Modeste Schwartz dispose néanmoins d’une telle audience que ses pires délires, influençant l’ensemble de la classe politico-médiatique, tendent à se transformer en prophéties auto-réalisatrices.
Le 27 mars, interprétant à sa guise les propos d’O. Véran, Schwartz diagnostiquait dans la Macronie une tentation de retour au bipartisme : « droite » Renaissance contre « gauche » NUPES.
Il a, en tout cas, été pris au sérieux par une partie de ce centre-gauche des bons sentiments jadis attiré dans l’orbite des Marcheurs à l’époque de « l’effet Macron » : 4 dames patronnesses du minuscule parti En Commun – qu’on n’aurait, de prime abord, pas forcément soupçonnées de lire le Courrier des Stratèges – viennent d’annoncer qu’elles quittent Renaissance – d’où leur opposition au putsch des retraites menaçait de toute façon de les faire, tôt ou tard, exclure.
Dans une autre crise prophétique datant du 21 mars, Schwartz avait prédit que ce glissement de terrain vers la gauche serait compensé par la disparition de LR, dont les dépouilles permettraient de compenser : chez Renaissance, les fuites (évoquées à l’instant) en direction de la gauche – et, côté, RN, l’inévitable recul auquel ce parti sans programme, maintenu à flot par l’abstentionnisme, s’exposerait en cas de remobilisation des électorats.
Quand Pradié et Meloni plagient Modeste Schwartz
Visiblement intoxiqué par Schwartz, Aurélien Pradié, parle aujourd’hui publiquement de « disparition de LR » à l’horizon des élections européennes. Et France Info, relayant ses propos, de décrire les convoitises du RN quand son regard, à la cantine du Parlement européen, tombe sur quelques bouts bien gras de cette fête du cochon LR, comme la savoureuse Nadine Morano.
Soit Schwartz est moins complotiste qu’on ne le prétend, soit c’est l’ensemble de l’échiquier politique qui se schwartzise à la vitesse grand V – et pas seulement en France !
Etendant ses méfaits hérétiques à l’Europe, Schwartz avait en effet, dès le 2 janvier, annoncé l’échec catastrophique de la « politique migratoire » de G. Meloni, confirmé hier par la proclamation de l’état d’urgence.
Son secret ? – Modeste Schwartz applique la logique du tiers exclu : comme le remplacement migratoire est irréversiblement inscrit dans le logiciel de Bruxelles, on ne peut pas arrêter l’invasion sans quitter l’euro. Tout comme un même refroidissement ne peut pas être simultanément la grippe et la peste noire. Parce qu’on ne peut pas être et avoir été.
Modeste qui parle à la 3ème personne, un Alain de loin LOL
bien vu en tout cas !
Ça lui prend souvent.
Je retiens effectivement les prophéties de M. Schwartz « et, côté, RN, l’inévitable recul auquel ce parti sans programme, maintenu à flot par l’abstentionnisme, s’exposerait en cas de remobilisation des électorats » et les divers sondages quasi-identiques sur la grosse progression de MLP et du RN. Visionnaire en effet….
Les sondages avaient prédit l’élection de Balladur, Jospin, Bayrou.
Le Pen ne sera jamais élue et n’aura jamais 300 députés.
Je vous encourage en effet à les retenir, parce qu’il y a apparemment une notion qui vous échappe: celle de CIRCONSCRIPTION.
Vous êtes au courant qu’une éventuelle dissolution ne déclenche pas de présidentielles, non?
Pour le coup petite erreur d’analyse
Il n’y a pas de droite en France et ce depuis longtemps
Je suis le premier à le dire. C’est bien pour cela que j’assortis généralement ce mot de guillemets. Mais bon, à des fins descriptives, on est bien obligé de suivre a minima l’usage lexical dominant dans le reste de la société (et des médias)…
Philippe Hardouin, ex-President de En commun, parti qui pesait de tout son poids à l’aile gauche du macronisme, a quitté son parti au lendemain de la présidentielle pour rejoindre Carole Delga pour une refondation du PS en-dehors d’la NUPES. Des pionnier.es !
l.17 : glissement de terrain vers la droite
Bipartisme ou pas…
Bien plus prompts à réprimer rapidement et dans le sang un mouvement émancipateur comme celui des « Gilets Jaunes », que de lutter contre le trafic de drogue, les violences en général, la corruption, les paradis fiscaux, le chômage ou la pauvreté, nos dirigeants politiques sont choisis pour leur faiblesse morale, leur capacité à mentir, à suivre les ordres, à se soumettre au chantage ou leur volonté de faire avancer le plan de l’oligarchie. Le parti auquel ils appartiennent n’a aucune importance. Au-delà d’une boulimie d’argent et de pouvoir, certains sont aussi les produits d’une vie qui peut inclure la pédophilie, le trafic et la consommation de drogue, la pornographie enfantine, la bestialité, etc. Aussi, ils leur sont donnés de nombreuses occasions de se livrer à leurs vices, ce qui assure leur obéissance et leur solidarité. Et le public ayant une confiance enfantine en ses dirigeants, en particulier les présidents, l’accusation selon laquelle ils pourraient s’adonner à de telles activités reste pour lui quelque chose d’inconcevable.
Ainsi, nous assistons, périodiquement, à l’« humaine comédie » des élections où le citoyen « souverain », « libre » et « indépendant », vote et s’agite pour la gauche, la droite ou le centre, alors qu’en réalité il baigne à son insu dans les idées massifiantes de cosmopolitisme et dans l’indifférence pour toutes les valeurs, poison qu’il absorbe en doses toujours plus grandes jusqu’à l’engourdissement de son esprit ; pauvre pantin qui se déplace dans le cercle tracé préalablement par des meneurs occultes, avec tout ce que cela comporte, et dont témoigne tragiquement la quotidienneté européenne et même mondiale.
NB : Derrière G. Meloni, l’Aspen.
L’Aspen Institute for Humanistic Studies, auquel appartiennent ou appartenaient aussi les Italien(ne)s Giorgia Meloni (première femme à la présidence du Conseil des ministres italien en octobre 2022), Francesco Cossiga (Président de la République de 1985 à 1992), Romano Prodi (ex-Président de la Commission Européenne de 1999 à 2004), Luciano Benetton, Silvio Berlusconi, l’ancien « Rockefeller » italien et patron de la multinationale FIAT, Gianni Agnelli, mais aussi Robert McNamara, Jacques Delors, Samuel Huntington, Zbigniew Brzezinski, Henry Kissinger ou Georgij A. Arbatov du cercle restreint des anciens conseillers de M. Gorbatchev, etc., naquit en 1949 dans le Colorado, grâce à Robert M. Hutchins, haut dignitaire de la maçonnerie britannique, président de l’université Rockefeller de Chicago, directeur de la Fondation Ford dans les années cinquante, qui fut impliqué dans les années Soixante dans un trafic de drogue. En effet, Hutchins était en rapport avec Aldous Huxley avec lequel il collabora activement en entreprenant un programme pour l’étude des effets des drogues. Sous le prétexte d’« études humanistes » et sous la direction savante des initiés du R.I.I.A. et de la « Fabian Society », bastions des mondialistes, l’Aspen a réussi à coopter des personnalités du monde politique et industriel pour les orienter vers des analyses et des prospectives « globales », des lois mondialistes au sens technocratique, pour ensuite les faire insérer dans les programmes de gouvernement de leurs pays respectifs, réussissant ainsi à constituer un réseau qui relie à l’échelle internationale les classes dirigeantes des différents pays. Le chef de l’Aspen Institute a été longtemps Robert O. Anderson, ancien secrétaire au Trésor américain, l’un des directeurs du C.F.R., membre du Bilderberg et de la Trilatérale, et dirigeant de la multinationale du pétrole Atlantic Richfield Corporation (A.R.C.O.). Les thèmes obligés, jusqu’à il y a quelques années, étaient : l’Union Européenne, les financements pour les pays de l’Est et l’ex-Union Soviétique, propositions et solutions pour conférer un plus grand pouvoir aux Nations Unies et à ses organismes.
Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/introduction-livres-de-femmes.html
En ce qui concerne toute forme de délinquance, ne vous inquiétez pas ils ont déjà les solutions prévues à cet effet : caméras à reconnaissance faciale, CBDC et crédit sociale numérique. L’énergie primaire et idiote qui produit sa propre toile d’araignée.