On nous invite apparemment à une nouvelle séance de coupage de cheveux en quatre : faut-il suspendre l’abrogation, ou abroger la suspension ? Des soignants, ou des députés ? Et si, pour changer, on appelait un Davos un Davos ?
Admettons – bien que ce ne soit pas du tout ce que les données démographiques de P. Chaillot suggèrent – qu’il a bien existé, en 2020, une pandémie ou une autre, et même une virose pandémique –auquel cas la volonté de mettre à l’abri les patients des hôpitaux, fragilisés par d’autres affections, aurait été légitime.
Admettons, toujours dans l’intérêt de cette expérience intellectuelle, que les doses d’élixir ARNm aient toutes contenu du sérum physiologique ou du jus de choucroute. Ce qui revient à admettre que – à défaut d’empêcher quelque « transmission » que ce soit – elles n’aient, en tout cas, nui à aucun inoculé.
L’ennui, ce sont ces déclarations déjà anciennes de J. Lassalle – jamais infirmées ou poursuivies à ma connaissance – affirmant que la plupart de ses collègues députés, tout comme le mari de Brigitte, ne sont vaccinés que sur le papier.
Faut-il réintégrer les soignants, ou piquer la représentation ?
Compte tenu de ces déclarations, les conclusions suivantes s’imposent à propos de cette « représentation » parlementaire (de Davos) qui joue actuellement à suspendre sans abroger et à abroger sans suspendre :
Quand bien même on supposerait ces élus sincères dans la perception – qu’ils affichaient tous à l’époque – de la pandémie imaginaire comme un danger réel, ce que suggère leur conduite, c’est, pour le moins, que, pour la plupart, ils jugeaient ces fameuses injections, frauduleusement contournées par eux, comme plus dangereuses que ledit « virus tueur ».
Et ce, pendant qu’ils nous recommandaient chaudement de nous faire piquer, et appuyaient pour la plupart le sadisme du fils préféré de Davos, quand ce dernier décidait « d’emmerder » les citoyens non-piqués, ou encore – pour revenir à l’actualité – de jeter à la rue sans chômage une partie du personnel de santé.
Je préfère laisser des camarades mieux versés que moi en droit nous dire où – de la complicité de tentative d’empoisonnement à la haute trahison – pourrait se situer l’encadrement juridique de tels actes, et quels tribunaux (ou cours martiales ?) devraient « normalement » s’occuper d’envoyer cette engeance – virtuellement inéligible, en tout état de cause – à l’ombre pour un bon bout de temps.
Et ça? ▶️ https://twitter.com/SaintetePepe/status/1646225462908313600?s=20 Il n’y a pas que la bande du Davos, loin de là; le petit bourgeois socialo se suffit à lui même.
Oui, et à défaut d’enfermer tout Davos, il faudra se contenter des petits kapos.
Eh ouais le camp du bien : https://www.youtube.com/watch?v=D8FDgJsrRt0&list=WL&index=2
Quand un gouvernement :
– radie les médecins qui soignent (près de 200 en France), reférence : témoignages pendant un doctothon
– interdit les médicaments qui guérissent (ivermectine, azithromycine…)
– crée des brigades pour distribuer du Rivotril dans les EHPAD afin de les envoyer affectueusement au cimetière.
-suspend 15.000 soignants alors que les urgences sont débordées
-supprime près de 10.000 lits pendant une période de soi-disant épidémie
– ne respecte pas le consentement libre et éclairé. Ce consentement ne pouvait être éclairé puisque nul ne connait la composition des produits des soi-disant vaccins (secret commercial) et est-on libre quand le choix se fait entre entre possibilité de sortir de chez soi et inoculation.
– ne respecte pas ces propres lois (Nuremberg, Kouchner…)
Nous sommes gouvernés par des criminels
C’est mon avis aussi.
Absolument, bien d’accord !
Que fera t-on pour les cas de suicide, ou de graves dépression consécutives à la décision de suspendre avec, souvent à la clé, une détresse sociale et financière incommensurable ? Qui réparera ces familles détruites psychologiquement et socialement ? Cette misère induite par des décisions sans précédents devra un jour être indemnisée. Mais on ne réparera pas ce qui n’existe plus, et la perte d’un ou une désespérée est irremplaçable. A bon entendeur…