Pendant que l’Europe (curieusement étendue à l’Ukraine) s’installe durablement dans le révisionnisme, le pavoisement du torchon étoilé au frontispice des mairies semble faire débat au sein de la majorité macronienne. Vieux dilemme en cas de restructuration : qui reste à bord, et qui va pointer au chômage ?
En vertu d’une proposition de loi du président-pianiste Zelensky, l’Ukraine devrait désormais, le 9 mai, fêter, en lieu et place de la victoire du peuple soviétique sur le fascisme, le Jour de l’Europe. C’est déjà le cas dans l’UE, qui, plusieurs années avant l’Opération Spéciale de V. Poutine en Ukraine, a commencé à glisser dans le révisionnisme. Les gens qui ont du mal à situer Davos tendent à oublier aussi où se trouve Stalingrad.
Tabous antifa obligent, cette réécriture de l’histoire n’ira pas jusqu’à la réhabilitation officielle d’A. Hitler ou la libération de l’historien amateur Vincent Raynouard – détenu en Ecosse sur demande de la France pour des thèses qui coïncident pourtant largement avec la doxa actuelle des commissaires politiques de Bruxelles. Ignobles, les élites européistes sont aussi ingrates.
Reich millénaire européen : un risque de chômage
Dans ce contexte, on se demande quelle mouche a bien pu piquer ceux des élus de la majorité macronienne qui manifestent en ce moment des scrupules devant le projet d’obligativité du pavoisement du torchon étoilé de l’Eurosoïouz au frontispice des mairies de la zone tribale gauloise. Faudrait savoir, non ? On veut une belle collaboration européenne contre l’homophobie orientale, ou on la veut pas ?
Comme – à la faveur, notamment, de l’oukase des retraites – l’UE est actuellement presque aussi impopulaire qu’Emmanuel « seul sur les Champs » Macron lui-même, ce qu’on peut lire en filigrane de ces hésitations dont le Figaro se fait l’écho, ce sont les angoisses de marcheurs godillots qui doivent actuellement se demander quel sort leur réservera le grand roque avec sacrifice de la reine censé transformer la naufrage de la Macronie en avènement du Sphinx bruxellois.
Il est en effet assez probable que, lors de la « révolution européenne » que comptent mettre en scène les élites davosiennes à l’occasion des élections de 2024, « l’honneur » d’abolir le peu qui reste de la souveraineté française revienne, non plus au mari de Brigitte (attendu pour recyclage dans de hautes sphères internationales), mais au Leader Mínimo Mélenchon. Et leur carrière, dans tout ça ?
A noter que Davos était un hub des dignitaires nazis avant la guerre…
Et les instigateurs du régime nazi voulaient une guerre contre la Russie pour détruire ces deux puissances…
On ne se refait pas.
Osez le label: “Ici, nous défendons les libertés des Français…”
https://alpinismesansguide.blogspot.com/2023/05/utilisez-le-label-ici-nous-defendons.html?m=1
L’avenir ???? de cette brève n’est pas clair. Jean Luc méchancon, Lider minimo, prendrait la tête ???? d’une bataille de Berlin que le Reich gagne à la fin⁉️ ????