De non-remaniements en scandales financiers toujours plus éclaboussants (le dernier en date, celui de la BPI, est d’ailleurs révélé dans une passivité qui fait peur), on perd le fil de la véritable actualité, celle d’un nouvel ordre mondial dont les bénéficiaires allongent le pas autant qu’ils peuvent, avec que l’édifice ne s’effondre. Le mois de septembre pourrait être (très) agité, et l’on sait déjà pourquoi. Nous détaillerons avant les vacances ces périls que nous listons aujourd’hui, et qui contiennent tout entier les ferments des conflits et des révoltes de demain.
Derrière les polémiques stériles, ou illusoires, ou enfumantes, qui occupent les unes des publications proposées par le cartel des médias subventionnés, des craquements inquiétants se produisent, qui ne sont relayés que de loin en loin, mais qui constitueront l’actualité brûlante des prochaines semaines et des prochains mois. Il est important de les comprendre dès maintenant, en amont, car ce sont elles qui vont rythmer votre vie quotidienne dans un futur proche.
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effectivement, ce n’est guère engageant. Mais je préfère tout de même savoir ce que l’en haut préparent pour les sans dents, donc merci pour cet article.
Je sens l’auteur de l’article volontiers critique quant au plan de restauration de la nature européen. J’admets que ce côté européen est probablement un gage donné d’emblée à certains pays qui pourront faire ce qu’ils veulent d’une part, et par ailleurs une usine à gaz incontrôlable vraisemblablement vouée à l’échec, à l’image de l’UE. Voilà qui devrait en rasséréner certains.
Néanmoins, deux points importants :
– la biodiversité : même en contestant le rôle de l’homme dans les émissions de CO2, sa responsabilité n’a besoin d’aucune démonstration en ce qui concerne la biodiversité. Entre l’écrasement des surfaces (dont agricoles d’ailleurs) par artificialisation des sols (entrepôts), la pression foncière induite par l’immobilier et les “infrastructures” (routes, aménagements, …), tous les habitats naturels de la faune et la flore sont attteints, empêchant leur adaptation au réchauffement.
– restaurer un écosystème ne signifie pas forcément détruire des zones agricoles, mais plutôt les repenser pour redevenir responsables en termes de pratiques, notamment usage de l’eau, des pesticides et justement : en termes de biodiversité. Par exemple il est évident qu’il faut replanter des haies, diminuer drastiquement le maïs et l’élevage (surtout bovin) pour restituer de la surface céréalière et maraîchère.
Vivre n’est pas une balade de santé
Malheureusement le fait de vivre pour une espèce aura de forte chance de faire mourir une autre
Nier cela c’est nie le confort dans lequel on vit aujourd’hui en ayant fait disparaître tout un tas d’espèces
Il faut arrêter de marcher, de faire du vélo, de se balader dans la nature car à chaque pas vous écrasez quelque chose bien plus petit que vous mais qui existe pourtant
L’ordinateur ou le smartphone qui vous sert à écrire ici est relié à une tour qui a détruit un écosystème, et le serveur qui stocke les messages consomment une énergie dingue qui ne profite plus à la nature. Vous pouvez espérer que ce soit alimenter par une éolienne mais là encore 1500 tonnes de béton ont été déposés au sol pour l’installer, etc etc
Vous pourrez retourner le problème dans tous les sens, soit vous mourez soit vous acceptez que vivre pour vous ne l’est pas pour d’autres… c’est triste mais physiquement imparable
Justement, tout cela devrait trouver sa limite, et naturellement, car trop c’est trop, cette batterie de mesures émane de cerveaux d’hyperactifs avides du toujours plus = le Great Reset. Ils font comme si c’était fait, qu’on se prépare à subir plus terrible encore. Et l’énergie à déployer ? Car rien que trouver l’électricité pour faire tourner l’ensemble + les terres rares, les conducteurs, les pénuries d’eau, etc. pose question sur la faisabilité.
Ah ! Oui, je suis d’accord avec vous sur bien des points. J’ai 80 ans, dont 70 passés dans l’agriculture depuis la traite d’une vache à la présidence de sociétés multinationales américaines et japonaise dans l’amélioration variétale.
Le problème vient essentiellement du fait que l’agriculture est une relation à long terme entre l’homme, la terre et la nature (je parle de la vraie nature, pas celle des écolocons). La production d’une terre se gère sur 25 à 30 ans en la respectant, et n’a pas besoin de politiciens. L’introduction de politiques agricoles subventionnées de façon arbitraire et ignorante de la véritable relation entre l’homme et la terre est, et risque de rester, le cœur du problème.
Les faits sont têtus !
Mais le sujet est vaste.
Oui oui oui…toujours les “bons sentiments”! Question importante: qui sera donc chargé de “repenser” les zones agricoles ? Nous avons déjà connu ceci dans les années 60 avec la politique du remembrement, si chère à l’énarchie. A l’époque Monsieur Pisani s’était occupé lui repenser les surfaces d’exploitation en supprimant d’autorité tous ce qui pouvait ralentir le tracteur; haies, fossés etc…
Tout ceci partait de ce que l’on appelle communément un bon sentiment, pour l’époque. Aujourd’hui nos campagnes et nos mers se tapissent d’éoliennes, au prétexte d’environnement et d’écologie, alors qu’il ne s’agit en fait que d’un business extrêmement juteux, sponsorisé autoritairement par la vache à lait qu’est le contribuable. On nous explique que l’eau manquera demain, dans le seul but de pouvoir en augmenter librement le prix ainsi que son traitement. Il n’existe aucune analyse systémique pour tout cela, tout est envisagé sous un angle analytique, car nos élites sont formées pour cela et uniquement pour cela. Aucune vision Politique (avec un P majuscule) et donc aucune vision stratégique. Le seul objectif factuel est l’argent, toujours et encore…
Les citoyens sont dépités. Les élections ou référendums ne servent pas à grand chose, les élus en profitant immédiatement à faire avancer leurs plans partisans sournoisement occultés.
Pénuries alimentaires en France et dans le monde :
https://crowdbunker.com/v/JcmRCyLwaA
Unepolitique intentionnelle de détruire les agriculteurs français depuis 1945 et encore à l’oeuvre par les normes, les sanctions anti russes, l’ouverture aux importations, le mépris des paysans, de la formation agricole, des campagnes. Pourquoi ? Lanourriture est la prmière nécessité et la base de la souveraineté d’un peuple, d’une nation.
Nourriture et démographie…
Pour reduire les gaz a effet de serre, l serait preferable que Macron s’abstienne de ses discours qui ne sont que de l’air chaud.