A propos de l’agent retrouvé suicidé mercredi avec son arme de service au commissariat de Fontenay-sous-Bois, le parquet déclare au JDD que « ce geste n’est pas en lien avec le contexte professionnel ». Et, pour une fois, on veut bien le croire.
« Une source policière » précise d’ailleurs à l’AFP qu’il « revenait d’un congé paternité ». On peut donc supposer que l’impact sur ce fonctionnaire des situations de stress liées à la Naheliade a dû être minimal.
Et, plus généralement, en dépit des trépignements d’un syndicalisme policier souvent délocalisé, pour des raisons ergonomiques, en Thaïlande, il n’y a pas de raisons objectives de penser que le métier de policier serait notablement plus pénible aujourd’hui en France qu’il ne l’était il y a cinquante ans, ou qu’il ne l’est dans d’autres pays comparables. On a même fait remarquer une tendance de l’administration à éloigner les commissariats des « zones sensibles » – tendance qui pourrait d’ailleurs expliquer la relative inefficacité du dispositif en période d’émeutes « urbaines ».
Dans le ratio entre tentatives de suicide et suicides réussis, il ne serait pas surprenant de constater que l’accès aux armes à feu rend le suicide policier relativement plus efficace – moins traumatique, aussi, que celui des derniers agriculteurs, qui se liquident le plus souvent en absorbant leurs produits chimiques.
Progressisme français : mission accomplie !
Abstraction faite de ces différences secondaires, c’est toute la France qui, dans la statistique européenne du suicide, depuis un bon bout de temps, rattrape la Hongrie – laquelle a longtemps caracolé seule en tête de peloton, pour des raisons historico-culturelles absentes de l’Hexagone.
Dans cette France par ailleurs championne de la consommation d’anxiolytiques, la bonne question à poser est peut-être plutôt : pourquoi ne pas se suicider ?
L’effondrement de la natalité autochtone reflète une destruction en profondeur du modèle familial par le cancer féministe. Or, pour peu qu’on compare ces autochtones à une autre société féministe en état de déconfiture démographique avancée – la Russie –, ce que nous dit la belle vigueur relative de l’avortement russe, c’est que la Française actuelle – à la différence de la poufiasse russe – est principalement une flippée, qui évite désormais non seulement la fécondation, mais aussi tout contact (« non protégé » – en français : tout contact) avec l’ancien « sexe opposé », devenu sexe ennemi.
Le désarmement est en bonne voie !
Bonjour Modeste.
Je veux bien une explication :
“la Hongrie – laquelle a longtemps caracolé seule en tête de peloton, pour des raisons historico-culturelles absentes de l’Hexagone.”
Merci à vous
Gerard
Faut faire le lien quand même parfois dans vos articles
On part du suicide d’un flic et on finit avec le féminisme
Punaise je ne sais pas comment vous faites
Que l’effondrement de la natalité soit due au cancer féministe résume parfaitement le suicide démographique mondial hormis l’Afrique, pour le moment, amenez l’électricité dans les villages africains, la télévision le cinéma montrent le cancer féministe c’est à dire le mode de vie de la femme occidentale et la natalité s’effondrera aussi en Afrique. Faut il penser que les israéliens ultra orthodoxes et les islamistes ont raison ? Terrible interrogation ! ☹️
Il n’est pas facile de faire le tri entre toutes les causes possibles de la baisse de la natalité. Bien plus que le féminisme, l’évolution des modes de vie et la société de consommation sont en cause, transformant l’enfant, qui est un atout économique dans les sociétés peu développées, en “charge”.
Mais nul doute que pour l’effondrement récent, on en évoquera beaucoup, mais pas celle qui dérange.
Article intéressant. Je pense que Modeste devrait essayer de faire un article sur le féminisme dont il parle car il y en a plusieurs. Celui dont il parle je pense est celui dit de «la 3ème vague». Comment le reconnaître? Pourquoi est t-il dangereux, pour les femmes d’abord et les hommes ensuite?
En conclusion on pourrait des exemples des effets désastreux de cette idéologie sur la civilisation occidentale.
Son vigoureux Yin était là pour vous répondre, par la profonde négative, me semble-t-il… Ceci dit la réalité de la femme qui s’en déprend, au-delà du choc de la brisure des idoles qui la recouvrent, renvoyait à mon avis (d’homme) à l’intuition que vous vous faites d’un premier féminisme _ qui pleure à posteriori sur le saccage de ses esquisses adolescentes_, fondamentalement une tabula rasa pour le redressement de torts millénaires.
Je ne connais pas la poufiasse russe, mais je reconnaît les cons français, à tous niveaux.