La presse subventionnée s’abstient naturellement de commenter le coup de théâtre qu’impliquent les récents propos d’Aurélien Rousseau. En affirmant que le port du sacro-saint niqab sanitaire serait recommandé « quand on a des symptômes », ce covidiste d’élite vient en effet, implicitement, d’enterrer le mythe pseudo-scientifique du « porteur asymptomatique », qui nous a pourtant coûté – outre quelques milliards et quelques injections dont l’effet… mérite vérification – la bagatelle d’une annulation de la démocratie.
En attendant de reconnaître (comme l’ont déjà fait, entre autres, le Danemark et… la Chine) qu’il n’existe pas de différence de gravité entre « Covid » et grippe, Rousseau nous explique, toute honte bue, que :
« Aujourd’hui, l’OMS n’émet pas d’alerte, on n’a pas à changer nos comportements, mais on a à avoir les réflexes qu’on avait eus : on a des symptômes, on porte un masque… »
Alors, de deux choses l’une : soit les croyances covidistes (et alter-covidistes) de 2020 restent défendables – auquel cas Rousseau serait en train de provoquer un « génocide des plus faibles d’entre nous » (pour reprendre la délicieuse rhétorique plandémique d’il y a trois ans) ; soit toute cette pseudoscience était aussi solide que le mythe de la surmortalité covidienne – et alors…
Faire rentrer le bobard dans son tube ?
Alors, comment caractériser (et surtout : punir) une activité de sabotage de l’ampleur d’un confinement ? A la Noël 1989, c’est en vertu de cette accusation (bien injuste, au demeurant) de « sabotage de l’économie nationale » que le peuple roumain, pas tout à fait Charlie dans ses moments de disette, avait plaqué Nicolae Ceaușescu et sa chère et tendre contre un mur d’école.
Comme tout le reste des dirigeants covidistes, le Maréchal Macron – maintenant de facto nanti des pleins pouvoirs – le sait pertinemment, et surveille probablement d’un œil un peu nerveux le retour du tam-tam de l’arnaque aux injections, orchestré via le Parti Démocrate américain par la mafia pharmaceutique propriétaire du pantin Ursula.
Car du coup, il faut ménager la chèvre et le chou : éviter de tirer brutalement les anti-covidistes de leur sommeil ukrainien, tout en feignant d’accorder un minimum d’attention à la ritournelle des variants, dans l’espoir de ne pas réveiller en sursaut la masse des naïfs tous piqués et tous protégés, qui ont gobé pendant deux ans les saintes vérités sur lesquelles Aurélien Rousseau vient de s’asseoir.
Nous devrions être nombreux à ne plus suivre ces bobards d’hypocondriaques rivés sur leur toujours plus ! Admettons que les asthmatiques et les fortement enrhumés ou grippés mettent leur masque tissu lavable pour épargner leur prochain de gouttelettes douteuses. En revanche, le temps passant, la lucidité gagnant du terrain, aux dernières nouvelles, les pires soupçons planeraient sur les masques industriels. https://www.epochtimes.fr/les-porteurs-de-masques-covid-pourraient-etre-exposes-a-des-produits-chimiques-toxiques-selon-une-etude-2408624.html?
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Le ministre se rend-il compte des conséquences de ce qu’il dit?