Parfois, pour comprendre la tectonique des plaques économiques mondiales, il faut remonter aux sources de l’information financière. Et, sur ce point, le Financial Times nous donne aujourd’hui de précieuses indications pour décrypter l’actualité des mois à venir : non seulement les profits des hedge funds (les fonds d’investissement les plus rapaces, comme ceux de George Soros) sont en baisse tendancielle depuis une quinzaine d’années, mais ils sont désormais, en plus ! mis en difficulté par la remontée des taux. Selon toute vraisemblance, les actionnaires prédateurs vont donc exiger une meilleure rentabilité de leurs placements. Voici concrètement ce que cela annonce pour vous.
Le Financial Times a eu la bonne idée, aujourd’hui, de consacrer un point très éclairant sur la situation des hedge funds, et sur leurs difficultés grandissantes, accrues brutalement par la remontée des taux dont nous vous avons abondamment parlé, et que nous avons expliquée. Ces fonds “alternatifs”, dits tour à tour vautour, activistes ou prédateurs, sont connus par quelques figures emblématiques comme George Soros, dont le cynisme fait régulièrement les choux gras de la presse.
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Je crois qu’il y a une grande différence entre un libéralisme et un capitalisme ( créateur de richesse contrairement au communisme) ET le néolibéralisme prédateur de l’économie réelle depuis une trentaine d’années. Le néolibéralisme et son capitalisme de connivence ( Soros, Rothschild….) sont entrain de sombrer, mais leurs complices Macron et Ursula v. d. La Hyène sont encore en place pour les servir.