Michaël Rochoy affirme avoir voulu défendre la réputation des sérums miracle en consultant sans autorisation le statut vaccinal de Macron, dont les dates ne coïncidaient pas avec celles communiquées par l’Élysée. Qu’il soit sincère ou non, le moment est certainement venu de prendre les covidistes au mot – qu’ils s’appellent Rochoy ou Macron.
On pourrait épiloguer longuement (et la presse subventionnée ne s’en prive pas) sur la personnalité et les intentions de ce docteur Rochoy, se demander pourquoi – tout en affirmant qu’il a accédé au statut vaccinal du Président avec les meilleures intentions d’un covidiste de compétition – il ne fait pas appel de la sanction (au demeurant légère) que lui a valu son geste, etc..
On ne s’en prive pas, parce que – du moment que l’intrigant Rochoy ne remet à aucun moment en cause le récit covidiste – tout cela n’a, en réalité, aucune importance.
Ce qui est capital, c’est de relever que cet acte aux motivations obscures et aux conséquences incalculables a mis en évidence l’une des contradictions majeures du covidisme : donnée médicale (donc confidentielle au regard de droit de l’Ancienne Normalité), le statut vaccinal est devenu (du moment que n’importe quel agent de sécurité peut exiger un « pass » le contenant) une information de facto publique – alors même qu’il reste illégal de publier, et même de consulter celui des dirigeants de nos Etats pseudo-démocratiques.
La solution Modeste Schwartz pour faire disparaître le Covid
Il nous reste impossible de contraindre lesdits élus – pourtant soumis à des déclarations de patrimoine, dans le souci légitime d’écarter tout soupçon de corruption – à nous prouver qu’ils se sont effectivement appliqué à eux-mêmes les vertueux principes vaccinalistes qu’ils ont pratiquement tous professés avec zèle. Ce qui revient, en pratique, à poser que toute personne physique ou morale peut être soupçonnée de corrompre des décisionnaires démocratiques, sauf les société Pfizer, Moderna etc..
Dans le contexte de l’actuelle relance du covidisme, le moment est donc venu d’étendre la transparence démocratique à ce domaine ô combien délicat de la vie publique en régime de néo-normalité : exigeons que nos élus soient désormais immunisés publiquement, dans la même file d’attente que le reste des citoyens, et que n’importe lequel de ces derniers puisse à tout moment céder sa place (et la dose qui lui est proposée) à tout élu situé derrière lui dans la file.
Que voilà une bonne idée!!!
C’est une très bonne idée! Je plussoie.
Ils invoqueront le secret médical qui sera réserve à la caste.