Depuis plusieurs semaines, l’Arabie Saoudite et la Russie s’entendent pour diminuer la production de pétrole et faire ainsi monter les cours. L’attaque surprise d’Israël par les Palestiniens de Gaza, sous étendard du Hamas, a provoqué une nouvelle hausse du prix du baril ce matin. Les marchés retiennent leur souffle : le conflit va-t-il se généraliser, auquel cas nous assisterons à un nouveau choc pétrolier comme en 1973, dans la foulée de la guerre du Kippour ? L’implication de l’Iran dans l’offensive palestinienne sera déterminante pour la suite. Pour l’Occident, et surtout pour les Occidentaux, confrontés à une inflation galopante, c’est une bien triste nouvelle, annonciatrice de souffrances sociales profondes. La stratégie du chaos menée dans le monde depuis une quinzaine d’année par le Deep State américain entre probablement dans une phase décisive.
La mécanique a déjà été expérimentée en 1973 : un conflit au Moyen-Orient provoque une diminution brutale de l’offre pétrolière venue du Moyen-Orient. Les prix flambent, les réserves se vident, et la crise économique éclate, du fait du renchérissement brutal du prix de l’énergie.
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C’est vrai ! Je n’avais pas vu. C’est du plus mauvais effet, n’est-ce pas ?
D’accord avec vous ! Ça l’est depuis le début. Ça m’écorche également les yeux, mais je n’ai rien dit, honte à moi.