Nous avons déjà relaté le nombre d’officiers de l’OTAN accidentellement décédés dans des circonstances pour le moins curieuses, et très souvent sans témoignage. La faute à pas de chance ? Hum… En fait, à chaque fois, il y a des informations probantes données par les autorités militaires ou les gouvernements occidentaux, mais impossibles de procéder à des vérifications. Comme dirait Mulder dans X Files, « la vérité est ailleurs ». En outre, lorsque l’on recoupe ces morts mystérieuses, il y a toujours eu quelques jours auparavant des frappes de missiles hypersoniques russes sur des bunkers de commandement ou des immeubles où se tenaient certaines réunions ». On sait que les Russes ont la réputation d’être rancuniers. Alors, « Bizarre… Comme c’est bizarre. Vous avez dit bizarre ? ». Heureusement, le site Tsargrad nous apporte quelques éléments à nous mettre sous la dent.
Cet article initialement publié sur le site tsargrad.tv n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.
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Le général d’armée, Jean-Louis Georgelin, ancien chef d’état-major des armées françaises avait-il fini par en apprendre trop sur les origines de l’incendie de la cathédrale Notre-Dame-de-Paris qu’il était chargé de reconstruire, avec l’énergie et la réussite indéniable que l’on lui a reconnu ? Oui, c’est une supposition gratuite. Plus d’info serait bienvenu, à charge ou à décharge.
J’imagine que l’incendie de ND de Paris a fait l’objet d’une opération militaire secrète exécutée par un service de renseignements ayant pignon sur rue à Paris. Mais, avec Macron, on risque de ne jamais savoir ce qu’il y avait dans le rapport que le Général devait remettre à son retour de ballade en montagne. Cependant, grâce à toutes les autorisations administratives concernant la reconstruction de la Cathédrale, on n’oubliera pas que la “privatisation” de tout l’espace foncier autour de ND de Paris, a permit à certains milliardaires français de prendre le contrôle du meilleur emplacement touristique de la Capitale, bien mieux que la mise en appel d’offre de l’espace foncier d’une partie de l’aéroport Charles De Gaulle. Et les bénéficiaires de ses opportunités administratives et fiscales ont sans doute des intérêts bien compris avec cette entité secrète à l’origine de l’embrasement d’une charpente de 800 ans. On a quand même échappé à une guerre de religion grâce à la lenteur de l’enquête de police.
Quand les guides de montagne ariégeoise disent que les sentiers où est tombé le général Georgelin n’était pas spécialement dangereux nous sommes étonnés par l’imprudence d’un homme de ce niveau? Aurait il fait un petit tour par un QG ukrainotan visé par un missile hyper véloce russe ?