L’un des indicateurs de la hausse de la pauvreté en France est le nombre grandissant de ses habitants qui, en ce moment, frappent à la porte des associations caritatives, du type Secours catholique ou Restos du cœur. Quand on observe de près le phénomène, on distingue les pauvres arrivant de régions du monde où la misère est encore plus grande, et un nombre croissant de « nouveaux pauvres » de souche. Le ministre de l’Économie a déclaré que leur augmentation est « le signe que l’inflation touche très durement beaucoup de nos compatriotes ». Ceci est un constat, mais l’on attend une explication plus complète, qui nous conduirait jusqu’à la sphère des causes, où l’on reconnaît la figure du pompier pyromane. Entrons dans le détail.
Une cause ancienne aura été la rupture des flux et des stocks, conséquence de la pandémie du coronavirus qui a désorganisé l’économie mondiale. Mais ces conséquences s’estompaient à mesure que l’activité économique retrouvait ses marques : nous sommes donc passés d’une crise mondiale à une crise française, causée moins par un contexte économique que par la conduite d’une politique. Commençons toutefois par les responsabilités collectives.
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Alfred Sauvy avait raison, comment voulez-vous redresser la France qui représente 1% du PIB mondial et 9% des dépenses sociales mondiales aggravées par le déferlement de l’immigration. A se demander si cela ne relève pas de la stratégie du chaos voulue par les étasuniens, comme les US ont détruit l’Irak, la Lybie, tenté de détruire la Syrie et rêvé de briser la Russie.
La faim est la meilleure arme au monde pour soumettre une population.