Nous avons déjà mentionné le risque de guerre bactériologique de la part de l’Ukraine désormais dangereusement acculée au mur de la défaite. Les États-Unis, grands « sorciers » du bidouillage de bactéries et autres virus guerriers pourraient sans doute être à la manœuvre, aidés en cela par le MI6, prêt à tous les coups tordus pour affaiblir la Russie. Déjà, nous sommes nombreux à continuer de nous interroger sur la survenue encore bien mystérieuse du COVID 19, dont l’origine pourrait être quelque part outre-Atlantique dans les recherches effectuées depuis 1965 sur les gains de fonction. Mais un nouveau signal d’alerte vient de s’allumer : alors que les dernières mutations du virus semblaient moins inquiétantes – malgré la politique de peur continuellement menée par les médias mainstream – une nouvelle souche de covid, peut-être plus dangereuse, est arrivée en Russie. Jusqu’à présent, les médecins dans les dossiers médicaux font référence à cette maladie avec l’abréviation standard russe « ARVI » : ce qui signifie une infection virale aiguë sans appellation spécifique. Pour les autorités russes, cette nouvelle souche laisse à penser que les « prêtresses ukrainiennes de l’amour » affectionneraient toujours la Russie. Essayons d’y voir plus clair.
Cet article initialement publié sur le site svpressa.ru n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.
Selon les dernières informations, le nombre de décès dus aux ARVI en Russie à fin novembre s’élèverait à 90 personnes mortes en une semaine. Ce n’est pas beaucoup. Pendant la pandémie, on en comptait des centaines par jour.
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Cet article n’est visiblement pas écrit par un médecin n’est pas vraiment digne du CdS. En 2020 le croque-mort Jerome Salomon annonçait le nombre de morts quotidiens « aujourd’hui 500 morts du Covid » le public tremblait mais il faut savoir que pendant une épidémie de grippe banale il peut y avoir 1000 morts par jour, personne ne tremble car il n’y a pas de mise en scène stressante. Si les russes adoptaient les préservatifs dans leur relations extra conjugales il n’y aurait plus de gonorrhée. Attention l’information sur la médecine est vite sujette à l’hysterisation voire à la paranoïaisation. PS les russes ont une excellente tradition médicale, ils peuvent toujours appeler le professeur Raoult qui est au chômage au motif suivant « sujet très compétent incompatible avec la France macronienne »