Normalement un « vaccin » est fait pour protéger les populations pas pour les exposer à un risque. Avec l’avènement des injections Covid émerge la théorie des “turbo-cancers”, suggérant que les vaccins à ARN messager pourraient déclencher ou accélérer la survenue de cancers. L’usage de ce terme suggère l’idée de cancers extrêmement agressifs attribués à la vaccination. Cette théorie est largement discréditée par la communauté scientifique. Des études antérieures ont pourtant déduit que la vaccination rendait vulnérable le système immunitaire de la population injectée. Si les conséquences des injections restent inconnues, chaque jour des cas suspects d’effets secondaires graves se multiplient, voire des décès. Malgré tout, ces effets secondaires n’ont eu aucune incidence sur la suite de la campagne de vaccination.
Dès leur apparition, les vaccins à ARNm contre le Covid-19 ont fait l’objet de nombreuses critiques. Le terme “turbo-cancers” ne correspond à aucun concept médical établi, popularisé par Alexandra Henrion-Caude, ancienne directrice de recherche à l’INSERM, désormais une figure influente parmi les opposants à la vaccination contre le coronavirus. Elle affirme que depuis la vaccination de masse, il a été constaté que des cancers se développent chez les personnes vaccinées.
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Nous avons eu l’exemple du professeur de génétique Axel Khan qui était un ardent promoteur du vaccin ARNm en 2021 et qui a vu son cancer (qui était en rémission) flamber pour mourir à l’été 2021. Que l’on ne vienne pas me dire que c’est une coïncidence.
La fameuse “communauté scientifique” celle qui nous a affirmé malgré les chiffres que leur injection chérie évitait la transmission et les cas graves. Puis qu’il n’y avait pas d’effets secondaires, (Nous attendons toujours leurs remarques sur les propos sur ce sujet de notre ancien ministre de la Santé) alors que parmi mes connaissances vaccinées, les coïncidences se sont multipliées : problèmes cardiaques chez des moins de 40 ans, maladie de Charcot, et cancers.
Mais cette fameuse communauté dans une démarche peu scientifique a décidé de ne rien voir.
Question : parmi cette communauté si sûre de ces produits combien ont fait leurs rappels trimestriels comme recommandé par Pfizer “pour être protégé et protéger les autres”.
Oui, en complément cet article de Gérard Maudrux
https://www.covid-factuel.fr/2023/09/24/arn-messager-et-cancers-le-poids-des-mots-le-choc-des-photos/
Ce qui a changé avec l’ARNm sur les cancers…
L’âge des personnes, la taille des tumeurs, de multiples lésions tumorales, augmentation du nombre de récidives, des récidives particulièrement agressives et rapides qui se produisent peu de temps après la vaccination, « turbo-cancers »…
https://www.francesoir.fr/la-vaccination-contre-le-sars-cov-2-favorise-t-elle-le-developpement-du-cancer
Que fait la « communauté scientifique » ?…
Les turbo cancers, embolies, myocardites, arrêts cardiaques chez les jeunes sportifs et autres joyeusetés sont parfaitement observées un peu partout mais pas en France où l’on persiste à nous dire que le lien n’est pas fait avec cette injection et que, oui, il y a de très rares complications. La vérité ne pourra pas être cachée éternellement et le scandale éclatera tôt ou tard : des millions de personnes se sont fait injecter un produit expérimental, pas encore au point, en contradiction totale avec des lois Françaises, Européennes et internationales (Nuremberg). Un produit qui n’est MÊME PAS UN VACCIN, c’est un mensonge gros comme la tour Eiffel.
Dès 2020 un chercheur français dont j’ai oublié le nom ( Jean-Marc Sabatier ?) à publié un article dans lequel il expliquait que le gène que nous possédons tous et qui s’active dès qu’une cellule cancéreuse ou pré cancéreuse est produite par notre corps, ce qui est presque quotidien, à fin de produire une enzyme qui détruit la dite cellule, est inhibé par le vaccin.
Ses recherches ont été depuis largement corroborées par d’autres scientifiques à l’international.
Personnellement, depuis 2021 j’ai dans bon entourage proche 8 personnes qui sont atteintes d’un cancer très invasive dont trois sont morts. En un an.
Et pas que des lymphomes.
Cancer de la vessie, du sein, de l’est, du poumon…
Résistant à des chimiothérapies puissantes.
Ça fait beaucoup je trouve.
Quand au sein de sa famille il y eut des morts suite aux injections, quand tout autour de nous des amis ont eu de graves problèmes de santé allant jusqu’à l’AVC, ce qui est endommage de manière irréversible le cerveau, quand on constate les troubles menstruels chez pratiquement toutes les femmes de mon entourage et des anomalies au niveau des hormones de grossesse qui contraignent à un IVG, quand nos amis ne cessent de contracter des Covid, on ne peut guère nier la dangerosité de ce faux vaccin.
Le gouvernement s’entête jusqu’à s’enfoncer dans la négation. Il prouve ainsi son incurie.
Raoult a parfaitement raison, comme tous les spécialistes et médecins qui osent résister en dépit des critiques qu’ils doivent endurer. Ils ont un beau courage!
@ZOÉ Le gouvernement ne s’enfonce pas jusqu’à la négation, il sait parfaitement ce qu’il fait. Veran est médecin, ou plutôt l’était.
Vous parlez de l’avis de Mathieu Molinard qui a touché 42k€ de l’industrie pharmaceutique ? Le croyez-vous sincère ? A mon avis, ses multiples communications méritent une bonne rallonge car le top 10 dépasse facilement les 100k€.
Sans énumérer les cas individuels, les sociétés savantes (spécialités médicales françaises) ont perçu 17 millions et cela ne comprend pas les versements aux hôpitaux.
Voilà pourquoi les effets Indésirables quelle que soit leur gravité doivent être cachés sous le tapis. Il ne faut surtout pas tuer la poule aux oeufs d’or. La santé publique est tout à fait accessoire dans cette histoire de gros sous.