« Une offensive à Rafah provoquerait une catastrophe humanitaire sans précédent ». Il y a quelques jours, alors qu’il se trouvait à proximité de la frontière avec la bande de Gaza afin de renouveler les appels à un cessez-le-feu, le secrétaire général des Nations Unies Antonio Guterres a crié son indignation « Le monde en a assez de ce cauchemar sans fin », alors qu’Israël menace de lancer une opération militaire d’envergure dans la ville de Rafah avant la fin de ramadan.
Nous sommes dans une guerre des nerfs, soutenue par une forme de fatalité insupportable, illustrées par ces résolutions au conseil de sécurité qui n’aboutissent jamais. On a des condamnations, des espoirs de trêves, des négociations. Mais aucun cessez-le-feu.
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