Les élites de l’UE augmentent la pression, dans leurs propres rangs et sur les pays candidats : les réserves de souveraineté sont réduites, les intérêts de l’UE et de l’OTAN priment sur les intérêts souverains des Etats membres. Le blocage des moyens budgétaires de l’UE ne suffit visiblement pas aux élites pour remettre les membres rebelles sur les rails. En coulisses, on travaille à une relance de l’article 7 du TUE. La « clause de suspension » doit permettre de priver les représentants au Conseil de leur droit de vote.
Ursula von der Leyen exprime son inquiétude : la Géorgie se trouverait à la croisée des chemins. Mme la présidente estime que la Géorgie devrait maintenir le cap sur l’Europe, au vu de la réaction violente de la police face aux manifestations qui se poursuivent à Tbilissi. Le parlement local a récemment approuvé en deuxième lecture la loi sur la transparence de l’influence étrangère. Si cette loi entre en vigueur, les médias et les organisations non commerciales devront être enregistrés s’ils reçoivent plus de 20 % de leurs ressources financières de l’étranger.
Ce contenu est réservé aux abonnés
Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.
Excellentes analyses, comme toujours ! Le sionistes y verront une position pro-hamas mais c’est de l’aveuglement : les faits sont là !
Je vais de ce pas poser ma candidature sur Prenez-vous en main.
La résistance l’organise, lentement, mollement, mais elle s’organise. Courage et longueur de temps même s’il presse, le temps !