Au Royaume-Uni, dans le cadre de l’enquête Covid, la principale organisation caritative de santé mentale, Mind, a demandé à la baronne Hallett, de faire de l’évaluation de l’impact de la crise COVID sur la santé mentale du public une priorité. Dans une décision publiée au début du mois d’avril, la présidente de l’enquête Covid a rejeté cette requête. Les audiences prévues avoir lieu en automne ne prendront pas en compte l’impact de la pandémie sur la santé mentale des adultes. Mind accuse Lady Hallett d’ignorer la réalité en prenant une telle décision. En effet, le confinement, théoriquement entré en vigueur dans le but de freiner la propagation du coronavirus et de limiter le nombre des victimes, était une véritable source de stress et d’anxiété pour la population. Si le Covid-19 a affecté physiquement les individus, il a également mis en exergue la hausse des syndromes dépressifs.
La crise du Covid a entraîné une détérioration alarmante de la santé mentale des populations occidentales. Les mesures mises en place par les gouvernements, basées sur les recommandations du Great Reset, ont semé la peur et l’agitation, ce qui a eu des conséquences néfastes sur notre bien-être psychique. L’enquête Covid, initiée pour examiner les systèmes de santé, suscite désormais des critiques pour avoir omis d’inclure la crise de santé mentale dans ses audiences. Alors que la pandémie a eu un impact significatif sur le bien-être psychologique du public, Mind, une organisation caritative de santé mentale, exhorte à une réévaluation de la portée de l’enquête.
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