Dans un article publié dans le BMJ Public Health, les chercheurs ont déclaré que les effets secondaires des vaccins anti-Covid pourraient être responsables de décès. Mais la revue s’est vite rétractée et a émis un communiqué précisant que les conclusions de la recherche ne soutiennent pas l’idée que les vaccins contre le COVID-19 sont un facteur majeur des décès excessifs. La revue a souligné que certains médias ont mal interprété les résultats de l’étude, ce qui a conduit à des allégations trompeuses. Pourtant, dans cette étude, les chercheurs néerlandais de la Vrije Universiteit d’Amsterdam avaient bien révélé qu’il y avait eu plus de 3 millions de décès supplémentaires depuis 2020, et que ces chiffres « sans précédent soulevaient de sérieuses préoccupations concernant les vaccins .»
Des chercheurs néerlandais de la Vrije Universiteit d’Amsterdam ont mené une étude sur la surmortalité durant la pandémie du Covid-19. Ils ont analysé les données de 47 pays occidentaux et ont découvert plus de 3 millions de décès supplémentaires depuis 2020. Malgré les confinements et le déploiement massif des vaccins COVID-19, selon l’étude, la surmortalité reste élevée depuis 3 ans dans ces 47 pays, augmentant de 87% en 2020 à 91% en 2022. Mais la revue a fait son mea culpa et a indiqué que les informations issues de différents médias sont de « fausses informations » et que la recherche ne prouve pas que les vaccins aient réellement contribué à la surmortalité depuis la pandémie.
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Rien n’est fiable, y compris « les revues ». Cela a d’ailleurs été avoué par des dirigeants de ces revues.