Les répercussions du COVID risquent de perdurer pendant quelques années. En effet, un rapport établi par le réassureur Swiss Ré, publié lundi, a révélé que le taux de mortalité est encore très élevé dans de nombreux pays. Cette surmortalité pourrait persister jusqu’à 2033. Les maladies cardiovasculaires comptent parmi les principales causes. Les effets secondaires des vaccins seraient ils l’explication? La situation interpelle.
Selon un récent rapport du réassureur Swiss Re, de nombreux pays, y compris les États-Unis, font encore face à une surmortalité persistante. Cette surmortalité, en partie liée aux séquelles du COVID-19, pourrait persister jusqu’en 2033, avec des effets marqués sur les maladies cardiovasculaires, respiratoires, et d’autres affections chroniques. Pour mémoire, nous avons déjà rapporté une étude de la Vrije Universiteit aux Pays-Bas, sur les taux de morbi-mortalité liés aux injections contre Covid dans les pays occidentaux, y compris les États-Unis. Après avoir analysé les données de 47 pays occidentaux, des chercheurs des Pays-Bas ont découvert qu’on a y a recensé plus de 3 millions de décès supplémentaires depuis 2020, malgré le déploiement des vaccins et des mesures de confinement.
Vague de surmortalité persistante
Alors que l’urgence sanitaire mondiale a pris fin et que la situation sanitaire a évolué positivement, le bilan ne s’est pas encore amélioré. A priori, la crise COVID a encore des répercussions qui risquent de perdurer.
Un rapport du réassureur Swiss Ré publié lundi a révélé qu’un taux de mortalité excessif est encore constaté dans de nombreux pays. Cette tendance haussière pourrait persister jusqu’en 2033. Aux Etats-Unis par exemple, le taux de mortalité pourrait augmenter de 3% par rapport à ce qu’il était avant la pandémie dans 10 ans.
Le rapport de Swiss Re met en lumière les principaux facteurs derrière cette surmortalité persistante. Les maladies respiratoires, cardiovasculaires, les cancers et les troubles métaboliques sont identifiés comme des causes majeures. Il existe un lien direct entre le COVID-19 et l’augmentation du taux de mortalité des maladies cardiovasculaires, ce qui inquiète particulièrement les experts en santé publique.
Par ailleurs, la surcharge des systèmes de santé durant la pandémie a entraîné des retards dans les diagnostics et les traitements, entrainant des affections non traitées comme l’hypertension.
Effets indésirables liés aux injections COVID ?
Swiss Re souligne que pour réduire cette surmortalité, il est crucial d’intensifier les efforts de vaccination, en particulier pour les personnes âgées et les groupes vulnérables. De plus, une normalisation des systèmes de santé, des avancées médicales et une promotion de modes de vie plus sains sont nécessaires pour minimiser les effets à long terme du virus.
Pour autant, une étude néerlandaise de la Vrije Universiteit d’Amsterdam met en avant les risques liés à la « vaccination » Covid sur des bases scientifiques. Les chercheurs ont mené une étude sur la surmortalité durant la crise Covid-19 et ont analysé les données de 47 pays occidentaux, y compris les Etats-Unis.
Ils ont alors découvert qu’il y avait eu plus de 3 millions de décès supplémentaires depuis 2020. Selon l’étude, le nombre total de décès en excès dans 47 pays du monde occidental était de 3 098 456 entre le 1er janvier 2020 et le 31 décembre 2022. Cette surmortalité a été observée dans 41 pays (87 %) en 2020, 42 pays (89 %) en 2021 et 43 pays (91 %) en 2022. L’étude affirme que les effets indésirables liés aux vaccins pourraient expliquer ces décès aussi bien en Europe qu’aux Etats-Unis. Ils comprennent des hémorragies cérébrales, des syndromes coronariens aigus et des accidents vasculaires cérébraux ischémiques. Pour rappel, le Vrije Universiteit est classé 150e sur 20 000 universités mondiales selon le Centre de Classement Mondial des Universités.
Il va bien falloir expliquer cette vague de surmortalité qui dure. Ce qui est tout à fait anormal, puisque les pics de surmortalité dus à la grippe (« années moisson ») sont habituellement suivis d’une baisse de la mortalité les années suivantes.
Petit retour en arrière…
« Il a été observé un type de pathologies très particulières. Ce ne sont pas des embolies pulmonaires, ce ne sont pas phlébites, ce ne sont pas des infarctus. C’est une maladie de la coagulation très particulière qui nous a amené à nous pencher sur l’utilisation de ce vaccin. »
Ainsi s’exprimait la HAS en mars 2021 sur le vaccin AstraZeneca, ce qui ne l’a pas empêchée de continuer à recommander ce produit pour certaines tranches d’âge.
Et les effets vasculaires des autres injections géniques sont les mêmes.
Et voici à quoi ressemblent ces pathologies particulières…
https://x.com/Dr_Steph_GAYET/status/1833801086106247577
Il y a aussi les expériences visant à observer ce que devient le sang au contact du vaccin (next dose sur Crowdbunker).
Ça fait beaucoup. Le bobard du Covid ne pourra pas durer autant que les années pendant lesquelles vont se manifester les effets secondaires.
Fichtre !
Soit les injections ARNm sont responsables soit elles n’ont aucune utilité !
Dans tous les cas de figure je ne vois pas comment la promotion de ces produits puissent continuer !
Mais quand on dit ça tout de suite c’est complotiste !