Aux Etats-Unis, Gilead Sciences a décidé de retirer du marché un lot de son traitement contre le Covid-19, Velkury (remdesivir). Cette décision a été prise suite à une enquête qui a confirmé la présence de particules de verre dans le produit. Au début de la crise COVID, l’OMS avait pourtant déconseillé officiellement l’utilisation du Remdesivir, à cause des effets secondaires de ce médicament. Bien avant l’autorisation de mise sur le marché en France et en Europe, il était évident que le Remdesivir présentait des effets secondaires tout aussi préoccupants, voire plus, que l’hydroxychloroquine. Pourtant, les autorités sanitaires ont choisi de discréditer l’hydroxychloroquine tout en approuvant le Remdesivir.
Dès la fin mars 2020, la presse américaine alertait sur les effets néfastes de ce médicament. Vomissements, nausées, mais surtout augmentation dangereuse des enzymes hépatiques, pouvant causer des dommages irréparables au foie, étaient signalés. Ces effets dangereux étaient répétés dans de nombreuses publications scientifiques. Malgré sa toxicité, en octobre 2020, l’Union européenne s’était engagée à acheter 500.000 doses de ce médicament dangereux, une précipitation qui a toujours intrigué.
Présence de particules de verre
Gilead a pris la décision de rappeler le lot de Veklury (Remdesivir) 100 mg/flacon, identifié sous le numéro 47035CFA, après qu’un client a signalé la présence de particules de verre dans un flacon. Ce signalement a conduit à une enquête interne qui a confirmé la contamination. Le produit concerné, distribué à l’échelle nationale à partir du 16 juillet 2024, a été immédiatement retiré du marché, et Gilead a rapidement informé les distributeurs et les pharmacies d’arrêter l’utilisation du lot incriminé.
Notons que Gilead a déjà retiré deux lots de son médicament Remdesivir en 2024 pour la même raison. Aux USA, en 2022, la FDA avait pourtant autorisé son usage chez les bébés. Il s’agissait à l’époque du premier traitement Covid destiné aux patients de moins de 12 ans.
l’OMS reconnaissait son inefficacité face au Coronavirus, en France, faisant suite à l’avis favorable de l’Agence européenne des médicaments (EMA), et en dépit des réserves de l’OMS, l’ANSM avait octroyé une autorisation temporaire d’utilisation de cohorte (ATUc) à ce médicament.
Les risques pour la santé
L’administration d’un injectable contaminé peut présenter des risques graves pour la santé, notamment une irritation locale, un gonflement, et dans les cas les plus graves, des complications potentielles comme des blocages vasculaires dans les organes vitaux. Si les particules de verre pénètrent dans la circulation sanguine, elles peuvent entraîner des accidents vasculaires cérébraux, voire des décès.Selon Gilead, aucun effet grave de ce genre n’a été signalé.
Pour rappel, Velkury est un produit antiviral à large spectre. Il permet de lutter contre plusieurs agents pathogènes incluant notamment le virus d’Ebola ou encore le Marburg. Il permet d’empêcher la réplication virale et de perturber l’activité du virus lorsqu’il est déjà présent dans l’organisme. Mais il n’est pas du tout sûr qu’il a été approprié contre le COVID-19.
Selon Gilead, sa vente a diminué au second semestre de l’année 2024 suite à la baisse du nombre d’hospitalisations liées au Covid-19.
Toute la question est de savoir pourquoi les autorités sanitaires mondiales ont continué (et continuent) toujours à autoriser l’usage de cette molécule aussi toxique qu’inefficace, comme les injections ARN COVID.
Le Courrier des Stratèges
Pensez par vous-même
Il apparaît nettement que les autorités sanitaires gouvernementales dites indépendantes ne font qu’endosser la responsabilité des laboratoires pharmaceutiques pour toutes les conséquences dommageables corporelles ou mêmes criminelles par négligence ou mensonge, occasionnées les substances mises sur le marché.
Qu’est devenu le rôle de la justice et son indépendance, l’un des trois piliers pouvoirs fondamentaux de la démocratie.