L'annonce d'un couvre-feu avancé à 18 heures pour tout le monde hier a suscité un nouvel agacement dans l'opinion, alors que la France figure dans les lanternes rouges de la vaccination européenne et même mondiale. De son côté, l'exécutif commence à hausser le ton contre les critiques dont il est l'objet sur cette question. Le durcissement des restrictions à la libre circulation se heurte pour l'instant à un constat : aucun signe sanitaire de troisième vague n'est visible dans la réalité, et le nombre de personnes hospitalisées reste stable.
Le Premier Ministre a annoncé hier le durcissement du couvre-feu à compter de samedi, qui entre en vigueur à compter de samedi 18 heures. Officiellement, le gouvernement craint une 3è vague qui submergerait les hôpitaux.
Pour l’instant, les chiffres de l’épidémie sont stables
La difficulté, pour justifier cette mesure très impopulaire, tient à la stabilité des chiffres épidémiques. Comme on le voit sur le graphique ci-dessus, le nombre de personnes en réanimation reste stable, et globalement inférieur à la situation du début décembre. Le nombre de personnes hospitalisées suit la même tendance. En outre, aucune incidence claire des fêtes de fin d’année n’apparaît, alors même qu’un délai de quinze jours s’est désormais écoulé depuis le Nouvel An. Le raz-de-marée annoncé n’a toujours pas eu lieu…
Avec 2.700 personnes en réanimation, pour une capacité ordinaire de 7.500 lits, qui est montée à 15.000 lits au printemps, le système de santé est donc très loin d’être submergé aujourd’hui.
La réponse est-elle dans les eaux usées ?
Le gouvernement s’est-il fié à l’indicateur des eaux usées pour anticiper une flambée des cas graves ? C’est l’explication la plus probable (mais l’expérience montre que plus le gouvernement fait de la pédagogie, moins on comprend ses motivations). Selon le Monde, la présence du virus dans ces eaux qui révèleraient par anticipation l’évolution de l’épidémie aurait cru de 50% en Ile-de-France. Mais le quotidien de Xavier Niel n’est lui-même très affirmatif sur la fiabilité de ces données.
On saura rapidement si cette affirmation se vérifie : le délai entre la contamination des eaux usées et l’apparition des symptômes n’est que de quelques jours. Dans la semaine, on devrait donc constater une remontée des hospitalisations… au moins à Paris.
Les vaccinations toujours en rade
L’une des causes de l’impopularité de ce durcissement tient à la lenteur de la vaccination. Beaucoup de Français ont le sentiment que le gouvernement ne fait pas ses diligences pour lutter contre le virus, et qu’il fait payer le prix de sa lenteur sur les travailleurs indépendants, notamment les restaurateurs, qui ne sont pas près de rouvrir leur enseigne.
De fait, comme le souligne le Parisien, la France ne fait pas partie du Top 10 mondial des pays qui vaccinent le plus. Beaucoup y voient la preuve d’un décrochage de notre économie. C’est en tout cas la preuve que le gouvernement n’est pas si pressé de sortir de la crise sanitaire, si l’on admet l’hypothèse que le vaccin est la meilleure façon de la dépasser (ce qui reste à prouver).
Dans tous les cas, l’ambiance se tend entre la moitié des Français qui souhaite des mesures protectrices, et l’autre moitié qui s’en méfie.
Sympa la photo de Castex, il lui manque malgré tout un nez rouge et du maquillage . Quand cette bande de clowns ridicules va t elle s’apercevoir que nous n’avons pas besoin d’eux?
Si les ministres ne se font pas vacciner c’est parce qu’ils savent qu’ils sont non-essentiels!
La présence du virus dans les eaux usées témoigne du taux de contamination, mais ceci n’influe pas forcément sur le nombre d’hospitalisations. Si les gens se font soigner, par leur médecin traitant, dès qu’ils sont testés, avec différents traitements existant, Hydroxychloroquine, azythromicine, mais aussi d’autres antibios, de l’ivermectine etc. et s’ils testent bien leur oxygène, pas de raison qu’ils aillent à l’hopital, en tout cas pas en réanimation.
D’autre part, bien sûr la part disponible des lits de réa qui sont toujours occupés en moyenne à plus de 90% en temps ordinaire n’est pas de 7500, mais plutôt disons de 1500 à 2000 (si on constate qu’il n’y a pas de grippe cette année, moins de bronchiolites etc.). On pourrait bien sûr augmenter le nombre de lits de soins intensifs et on n’aurait pas besoin de confiner et autres mesures sociales qui sont de moins en moins légitimes d’un point de vue médical.
Encore une fois, il resterait à donner des preuves que les réa sont bien remplies (toute communication sur le sujet est bloquée) et que les lits occupés le soient par des réels cas covid et pas autre chose nécessitant une réa.
Bonsoir.
Je viens de recevoir un mail dont je vous communique le “stupéfiant” contenu .
Qu’en pensez-vous ?
Cordialement.
Stupéfiant !
Pfizer et BioNTech ont commandé leurs flacons il y a plus d’un an !
Le BND (Bundes Narichten Dienst, le service de renseignement allemand) a entendu les patrons du verrier Schott dont il a perquisitionné le siège et l’usine de Mayence ce jour.
Schott fabrique aussi bien du verre pour les fours et plaques de cuisson, que des flacons pour vaccins, les tuiles de protection thermique pour les navettes spatiales, etc. Mais surtout du verre en borosilicate ultra résistant aux très grandes et très basses températures, domaine dans lequel il est le leader mondial.
Pourquoi la perquisition ? Parce que Pfizer et BionNtech lui ont commandé 2 x 800 millions de flacons pour vaccin résistants à une température de – 100 degrés, température jamais utilisée à ce jour pour cette application.
Mais surtout, cette commande a été passée le 2 novembre 2019, soit bien avant qu’on entende parler du CoVid !
Cela signifie que Pfizer et BioNTech savaient ce qui se préparait !
Deux jours plus tard, Agnès Buzyn faisait interdit l’hydroxychloroquine…
BioNTech dont les deux dirigeants ont également été interrogés est un tout petit laboratoire subventionné par l’Etat allemand afin de déterminer comment le système immunitaire peut être renforcé chez les patients dans différents cancers. Ils n’ont jamais obtenu de résultats ni produit quoi que ce soit en terme de médicament. Comment auraient-ils pu trouver un vaccin si vite là où des milliers de chercheurs ont échoué pendant des années ?
La Lumière vaincra !
Merci. Parlez plus en ligne, on a besoin de vous
????
désolé, Fake News …
https://www.liberation.fr/checknews/2021/01/12/non-les-renseignements-generaux-allemands-n-enquetent-pas-sur-une-commande-geante-de-flacons-schott-_1810854
qui a raison et qui a tord ???? de toutes les façons les polices allemand ou français ces rentiers inutiles se gavent toujours et toujours sur le dos des agriculteurs et des restaurateurs qui sont en train de crever !!!! pour produire de telles quantité de flacons il faut surement s’organiser bien en amont !!!!
Pareil pour les produits qui emplissent les seringues !!!
A ce jour on ne comprends qu’une seule chose : le restaurateur crève alors que le ponctionnaire aussi incompétent qu’inutile continue à se gaver : on voit où est le vrai voyou !!!!
A mon avis, il est dangereux de se baser sur les chiffres des hôpitaux, comme le fait le gouvernement pour prendre des décisions. En effet, ces chiffres ne sont pas des mesures directes de l’épidémie car ils sont fortement influés par la politique et les choix des hôpitaux. En effet, en temps normal, seul 50% des décès ont lieu dans les hôpitaux. Une grande partie des personnes âgés meurent chez elles ou en EPHAD. Le nombre d’hospitalisé pour le COVID dépend donc grandement du choix ou non de transférer des patient vers l’hôpital. Avec 2000 décès en moyenne par jour, il suffit de 5% de transfert en plus à l’hôpital pour y augmenter les décès de 100 personnes donc de 10%. Suivant la saturation actuelle ou anticipée, les hôpitaux changent donc leurs critères d’admission. Pendant le pic de novembre, ils ont durcis leurs critères. Maintenant, ils les réduisent, maintenant donc artificiellement leur remplissage à un taux relativement fixe. Quand on regarde les courbes des décès suivant les lieux (https://www.insee.fr/fr/statistiques/4487837), on voit très la baisse des morts à domicile et en établissement spécialisé depuis novembre alors que celles à l’hôpital augmente car ils rapatrient plus les malades vers eux.