Vaccins : les effets secondaires sont plus dévastateurs que la presse mainstream ne l’avoue

Les vaccins contre le coronavirus ont fait l'objet de débats très animés. Les partisans des vaccins n'ont pas manqué de mots peu amènes contre les sceptiques. Mais, à l'usage, même les plus fervents partisans de ce dispositif médical deviennent suspicieux. La preuve : à Brest, les personnels soignants se sont massivement arrêtés après avoir été vaccinés par la solution Astra Zeneca.

Les vaccins contre le coronavirus font la une de la presse mainstream depuis de nombreux mois. Ils sont présentés comme la solution absolue à la lutte contre la maladie. Mais certains dénoncent depuis aussi longtemps que la mise sur le marché des solutions de Pfizer et d’Astra Zeneca les conditions dans lesquelles ces vaccins ont été développés.
Des vaccins sous la haute surveillance des Français
Quelques semaines après l’arrivée du vaccin Pfizer, et quelques jours après la mise sur le marché du vaccin Astra Zeneca, ce dernier fait déjà parler de lui, négativement. Nous avions déjà alerté sur la précipitation avec laquelle le gouvernement avait mis sur le marché le vaccin Pfizer. Les événements qui arrivent désormais nous donnent raison.
À Brest, la campagne de vaccination avec la solution Astra prend des allures de fiasco. Nombreux sont les soignants qui, à peine vaccinés, ont dû se mettre en arrêt maladie pour faire face aux effets secondaires du produit qui leur a été inoculé. On parle d’un quart des personnels vaccinés arrêté dans la semaine, ce qui est colossal.
Manifestement, tout n’avait pas été annoncé, et tout n’est pas clairement dit par la presse mainstream sur les effets secondaires du vaccin.
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