Un nouveau reconfinement parait désormais inévitable, au vu de la dangereuse montée du nombre de personnes en réanimation. La cote d'alerte des 4.000 patients approche dangereusement. Il faudrait une inflexion, même mineure, dans les chiffres désormais pour éviter de calfeutrer les Français, et singulièrement les Franciliens, chez eux. Et peut-être une évolution dans les choix sanitaires du gouvernement...
La situation sanitaire devient peu à peu délicate, particulièrement en Ile-de-France où 103 personnes ont été placées en réanimation hier contre 71 le mardi précédent.
L’engorgement des réanimations pousse au reconfinement
Comme le montre le graphique ci-dessus, la pente ascendante des réanimations s’est subitement durcie ces derniers jours, après une lente crue. En un mois, le “stock” de patients a augmenté de 33%, atteignant désormais les 4.000 personnes.
L’Ile-de-France est la région la plus touchée, avec 300 personnes réanimées.
Cette cote a justifié l’an dernier et à l’automne le recours à un confinement plus ou moins strict. Il est très probable que le sujet soit remis sur le tapis ces prochains jours si les choix habituels en matière de santé publique sont maintenus : la saturation des réanimations y condamnera le gouvernement.
Première déprogrammation hospitalière en Ile-de-France
On se souvient que, depuis la mi-février, les hôpitaux sont supposés s’être réorganisés pour faire face à l’urgence. En Ile-de-France, hôpitaux et cliniques ont dû déprogrammer 40% de leur activité. C’est une première étape pour augmenter le nombre de lits de réanimation. Il est très probable que cette augmentation ne soit pas indéfiniment extensible et que le gouvernement se décide à confiner pour ralentir la circulation du virus.
Problèmes de stratégie sanitaire
Comme l’an passé, les problèmes habituels sont posés. En particulier, l’utilisation des cliniques privées fait toujours débat. D’une manière générale, les ARS rechignent à mobiliser les capacités du secteur privé et à les intégrer dans leurs actions.
Bonne nouvelle dans cette montée en puissance de l’épidémie, toutefois, le nombre de décès continue à refluer…
Pourrait-on savoir si la vaccination est à l’origine de “l’aggravation” de la situation ?
Ce serait intéressant n’est-ce pas ?
En définitive il se pourrait que ce soit un bon moyen pour générer des cas, pour en faire une véritable épidémie en attendant la pandémie… .
Qui sait…
Qu’ils reconfinent l’ile de France, en n’oubliant surtout pas de verbaliser tous ceux, protégés du pouvoir, qui fréquentent les restos clandestins!
La province a respecté les consignes – même si ça lui a fait mal – mais ne pleurera pas pour l’ile de France.
A moins que cette rechute ne viennent des vaccins… mais encore faudrait-il être capable de le savoir. Et là, l’omerta domine!!
Et le premier resto clandestin de France est celui de l’Elysée. Macron organise des diners tous les soirs dans son restaurant privatif étoilé à nos frais pour récompenser ses courtisans. Ce sont censés être des réunions de travail bien entendu …
Depuis le début le privé est écarté, les traitements non reconnus, de quoi ont ils peur? La dernière vidéo de Raoult pose question . Les cartes montrent que le traitement a évité de toute évidence de nombreux morts partout où il a été favorisé au stade précoce . Même au niveau franco-français il y a une différence importante lorsqu’il y a eu prise en charge ou doliprane et à la niche . Comme par hasard les pays les plus touchés sont ceux qui ont attendu le vaccin miracle (qui n’en est d’ailleurs peut-être pas un) . Je n’aime pas les hypothèses non étayées mais la barque commence à être bien chargée . Quelle que soient les causes de ce fiasco il faudra que certains répondent de leurs choix .
Cette logique du critère de saturation des réanimations est débile.
Si les réanimations sont saturées, on se bouge pour créer des marges et on ne prend pas des mesures générales de sorcelleries (confinements = zéro efficacité).
Exactement, plus les traitements que la secte du Doliprane refuse. Reste à Persuader Castex et Macron, c’est pas gagné !
C’est pire que cela. Quand le nombre de personne en réanimation à cause du COVID augmente trop, c’est la panique au sein du gouvernement donc il ouvre justement des places en repoussant les opérations. Comme il y a donc des places de libres, et que les administrations détestent le gaspillage (lol, je veux dire ont peur de montrer leur inutilité donc de risquer une baisse de budget), elles diminuent les critères d’admission pour augmenter le taux de remplissage. Donc le nombre de personne en réanimation à cause du COVID monte en flèche même si le nombre de malade hospitalisé baisse ou stagne. La panique gouvernemental, le nez sur les courbes, augmente d’autant plus. Le gouvernement oublie que tous ces indicateurs ne sont que des mesures indirectes de l’épidémie qui peuvent donc subir des influences. Il confond les chiffres et la réalité.
Il n’est pas étonnant que l’engorgement des réanimations pousse au reconfinement quand on constate que l’on a fait l’impasse totale sur la médecine de ville, autrement dit, la médecine de première ligne, pour prévenir, traiter et soigner alors que les traitements existent bel et bien, en dépit des déclarations contraires émanant des autorités.
Il devient évident que s’en remettre uniquement à la vaccination, c’est entrer dans un engrenage dont l’aboutissement est gros de périls sanitaires, psychologiques et sociaux comme le souligne le physicien Philippe Guillemant qui décrit la chaîne des mesures prises par les autorités : “Je ne suis personnellement ni réellement anti-masque ni pro-masque, je suis seulement contre l’obligation du port du masque. Les « pro-masques » et plus précisément ceux qui sont pour l’obligation du port du masque sous-estiment grandement le fait que le masquage est un prélude à la vaccination, qui est elle-même un prélude à l’identification numérique puis au traçage humain qui s’ensuivra naturellement, avant de nous conduire en très peu de temps à l’ère transhumaniste, introduite par l’analyse en temps réel de tous nos gestes, actes, déplacements et rencontres par des programmes, ma spécialité. Or cette perspective est à mes yeux bien plus grave que n’importe quelle bombe atomique ou guerre mondiale. »
Comme le dit encore Guillemant, « rien ne se passe jamais comme prévu, surtout quand on a prévu qu’il ne devait rien se passer. »
A titre d’exemple, en Belgique, la ministre de l’Intérieur est en train d’élaborer un projet de loi “Pandémie”. Rien que le titre laisse imaginer un fourre-tout qui donnera dans le plus total arbitraire; il comprend entre autres joyeusetés l’obligation du port d’un bracelet électronique pour tous les citoyens, que l’on soit en période Covid ou après que l’alerte soit passée, soit pour toujours.
Au début je pensais les masques nécessaire. après tout, en Asie, cela avait l’air de réussir. maintenant, je pense comme vous à savoir qu’avec la “stratégie du consentement” contre la science, ce gouvernement gouverné par Macron cherche à faire avancer les projets du forum de Davos , de Bill Gates et consort. ils nous teste, les masques le confinement, les tests salivaires dans les écoles, bientôt le vaccin obligatoire ?
Ce n’est pas parce qu’une mesure peut être efficace dans certains cas que c’est la panacée qui mettra fin à l’épidémie. On nous a vendu les masques comme efficaces à 90%. En réalité, ce chiffre ne correspond qu’à la protection contre une transmission ponctuelle aérienne en diminuant la distance de projection. Mais si on est exposé en continu ou que l’on laisse l’air souillé s’accumuler dans la pièce, le fameux 90% va diminuer drastiquement. Et il faut tenir compte des autres modes de transmissions. Idem pour le confinement car il faut bien sortir pour faire les courses au minimum et être en contact avec ses proches … D’où la baisse des effets de tout cela. Plus personne ne réduit ses courses à une fois tous les 15 jours en n’y allant pas en couple ou avec les enfants …
Quand on regarde les courbes, celle des réanimations est en contradiction avec toutes les autres qui sont stables ou diminuent. Le nombre de personne en réanimation subit donc une influence spécifique. Je pense que c’est justement cette directive de repousser les opérations inutiles et d’ouvrir de nouveaux lits. Comme il y a des places de disponibles, les hôpitaux les remplissent avec des cas moins graves. Le nombre de personne ne réanimation augmente alors qu’il y a moins d’hospitalisation et de décès. La courbe des décès total est même revenu à un niveau normal hors épidémie. Au final, en voulant repousser l’épidémie, le gouvernement via ses actions fait monter les courbes et se fait peur lui même avec son ombre.
Bonne analyse ! En résumé, c’est loffre qui crée la demande. Il y a un appel d’air vers la réanimation pour les remplir…Les remontées de données concerneront l’activité du service mais pas du profil médical admis en réa. L’hôpital public a horreur du vide…Remplir pour faire son activité prévisionnelle, base de son financement.
Plus les cas augmentent moins il y a de morts . Plus on pédale moins vite moins on avance plus vite . Les Shaddocks ont encore frappé . Vite, un peu de remdesivir, on va trouver quelques mutants de plus . J’ai parfois l’impression de vivre dans un asile gardé par les fous .
De toute façon, il faut justifier l’annulation des élections régionales.
De même, je peux déjà vous prédire une grosse panique covidiste en mars 2021 pour imposer le veaute par correspondance aux présidentielles
Si seulement ces chiffres sont vrais, effectivement on peut se demander combien de cas sont dus aux thérapies géniques ou aux vaccins, pas forcément comme vaccinés mais aussi comme familiers d’un vacciné le/se croyant protégé ?
Mais la principale question est : qu’en serait-il si on avait prêché la prévention à base de molécules naturelles (de large préférence) comme artificielles, précautions pertinentes qu’il n’est jamais trop tard – plutôt que jamais – de décider de prendre.
Tout à fait, je vous conseille une tisane de muguet ou une décoction de colchique. Cela soigne de tout DEFINITIVEMENT. Je vous garanti que vous ne figurerez pas sur la liste des victimes du COVID, c’est prouvé scientifiquement.