Les chiffres officiels du COVID sont-ils bidonnés ? Après les analyses précises de Nice-Matin qui, il y a quelques semaines, avaient montré la distorsion entre les chiffres officiels des hospitalisations sur la Côte d'Azur et la réalité, la presse mainstream s'intéresse désormais à la surévaluation des cas de COVID par Santé Publique France. Les chiffres seraient surévalués de 10% au moins. De quoi entamer un peu plus la confiance des citoyens dans le discours tenu par les gouvernants sur cette maladie.
Selon mes informations, le nombre de cas en France serait, depuis plusieurs semaines surestimé, en raison d’un problème lors du dedoublonnage des tests. (1/n)
— GRZ – CovidTracker (@GuillaumeRozier) March 14, 2021
L’information a commencé à filtrer depuis quelques jours, et se trouve de moins en moins contestée, même par les média mainstream qui dénoncent les complotistes à chaque coin de rue : le nombre de cas quotidiens en France serait surévalué de 10% depuis de nombreuses semaines.
Dans la pratique, il n’y a pas de quoi crier au scandale : cette surévaluation tiendrait à des difficultés techniques facilement compréhensibles. De nombreuses personnes sont testées deux fois avec des méthodes différentes, et Santé Publique France peinerait à éliminer les doublons.
Ce qui gêne, comme d’habitude, ce sont les innombrables retards à l’allumage. L’erreur dure depuis de nombreuses semaines, et l’on vient à peine de s’en rendre compte. Et, au lieu de bénéficier d’une communication transparente et explicative de la part des autorités sanitaires, le mutisme règne, laissant penser qu’il y a anguille sous roche.
Cette affaire rappelle la surestimation des hospitalisations sur la Côte d’Azur, révélée par Nice Matin, sans que les autorités ne choisissent une communication adéquate pour y répondre.
Chiffres officiels du COVID : une dramatisation orchestrée ?
Une fois de plus, les chiffres sont donc surestimés à la hausse par les pouvoirs publics, avec une évidente passivité des pouvoirs publics dans la correction des données. Sans la presse, rien ne serait révélé.
Pourquoi les autorités sanitaires diffusent-elles des chiffres faux et ne s’empressent-elles pas de rétablir la confiance du public dans les données produites ? Il est évident plus facile de crier au complot dès qu’un doute est émis sur la validité de données vermoulues. Mais, le temps passant, plus personne ne peut raisonnablement accueillir la parole officielle sans prendre en compte la volonté de dramatisation qui est à l’oeuvre pour diffuser la peur dans la population.
Scandale en vue : les chiffres de l’épidémie sont-ils faussés ou truqués ?
L’épidémie de coronavirus est-elle, comme beaucoup le pensent ou le pressentent, intentionnellement dramatisée pour rendre l’opinion publique plus malléable et passive vis-à-vis d’une prise de
Ah oui, des doublons maintenant ? Ah bon ! De toute façon ces chiffres n’ont pas d’importance, ils ne sont pas scientifiques ! Il faudrait arrêter de rapporter le nombre de cas de contaminés.
Les cas sont évalués par des tests PCR non fiables qui ne veulent rien dire (pas de normalisation, la charge virale est imprécise, on peut y trouver : très très peu ou peu de traces de virus (personnes immunisées ayant croisé le virus auparavant), un peu plus, plus encore, beaucoup ou énormément… et dans tous les cas ne présageant rien du devenir des porteurs). Faire voler les chiffres inquiétants c’est bon pour la peur.
Par crédulité, des gens sans prescription se font tester au coin de la rue, sollicités par la pression ambiante.
C’est ainsi qu’on alimente le tourbillon de données, chiffres et pronostics…qui rendent assurément fou c-a-d malade.
Grégairement , comme de bons mougeons, le monde médiatique en particulier utile , sans aucun sens critique, ni analyse logique, voire étymologique, suit un rigolo ou pas qui invente un néologisme ou une nouvelle formule.
Exemple quasi-parfait « la distanciation sociale », alors que la distanciation est un concept abstrait et qu’il fallait dire logiquement « distance de sécurité » ou « distance hygiénique » évaluée on ne peut plus « « « scientifiquement » » » selon les pays (et les taux de change ou le cours du bitcoin du jour ?) à 1 mètre, 1,5 mètre(s) ou 2 mètres.
Qu’en est-il en particulier du « taux d’incidence » ? Plus on teste les peureux trompés ou les contraints , plus on trouvera des faux et vrais positifs agressés par un des variants mutants virus plus ou moins virulents. Alors que quelqu’un sérieusement testé peut être réellement négatif le mardi et devenir réellement positif le mercredi et faire UNE (et pas un) covid « douce » sans même s’en rendre compte ou si peu comme ça semblerait être le cas de beaucoup quel que soit leur groupe sanguin.
Quelle est la définition sérieuse et intelligente et logique de « taux d’incidence », indépendamment du contexte actuel, formulation victime de la suffisance – intestable et non mesurable, elle ! – de certains médecins, en sus de celle des locataires de l’Elysée et de Matignon réunis pour le moins ?
Merci
Cette chaine youtube fait de très bonnes (inmplacables) statistiques et analyses , en se basant sur la mortalité déclarée de l’insee et non pas sur les fantaisies administratives et stratégies technocratiques plus ou moins mises en place par des cabinets conseils privés:
Covid 2020 vs grippe 2017 :
https://www.youtube.com/watch?v=E8IWRZ-_nDU&t=0s
Évaluation statistiques des “mesures” :
https://www.youtube.com/watch?v=-g0v7_e2t6k&t=1s
On ne peut que proposer , de nouveau, d’observer les taux d’incidence donnés par le réseau SENTINELLES chaque mercredi.
Nous radotons !
Les chiffres sur le nombre des cas de Covid sont modulés selon le nombre de tests effectués. Plus on teste, plus il y a de cas et vice versa. Et l’administration joue avec cela pour obtenir les chiffres correspondant aux messages qu’elle veut nous faire passer, pour alimenter la panique publique ou la calmer. Et personne ne dénonce cette corrélation crapuleuse !
Les chiffres sur le nombre des cas de Covid sont modulés selon le nombre de tests effectués. Plus on teste, plus il y a de cas et vice versa. Et l’administration joue avec cela pour obtenir les chiffres correspondant aux messages qu’elle veut nous faire passer, pour alimenter la panique publique ou la calmer. Et personne ne dénonce cette corrélation crapuleuse !
le gouvernement ce sont des voyous de memes que les medias parque c est une plandemie pour aneantir l etre humain et le rendre esclave mais une mutinerie general arrive suivis d une greve general