Plus personne n’y croyait ! Après être passé à côté de sa politique anti-covid, de la fabrication de ses masques, de ses tests et de ses vaccins, la France a enfin son variant Covid-19. Il est breton et INDETECTABLE aux tests RT-PCR. Il était temps… Comme tous virus, il était attendu que le coronavirus SARS-CoV-2 mute et donne naissance à des variants, tels les variants anglais, sud-africain et brésilien. Il faudra attendre plus d’un an pour que soit détecté dans le département des Côtes d’Armor, un variant breton. A la différence de ses homologues étrangers, celui-ci n’est pas classé comme “inquiétant“. Une particularité unique le caractérise néanmoins, il n’est pas détectable par les test RT-PCR. Bref, pour l’heure les autorités sanitaires se veulent rassurantes : de quoi s’inquiéter donc !
Seules les trois souches “étrangères“ font l’objet d’études à échelle mondiale. Ce qui n’empêche pas de découvrir d’autres. Le 22 février dernier, au sein du centre hospitalier de Lannion (Côtes d’Armor), une dizaine de personnes avaient présenté des symptômes du coronavirus, mais leurs tests PCR s’étaient révélés négatifs. Au bout de trois semaines et après une campagne de tests plus massive, on découvrait 79 cas, dont huit porteurs d’une souche du virus non répertoriée.
1.Des autorités sanitaires rassurantes
Encore faut-il s’entendre sur la notion de “rassurante“.
Les huit patients positifs au variant breton sur les 79 cas de Covid-19 détectés au CHU de Lannion sont décédés. Cette information a été divulguée lors d’une conférence de presse de l’ARS Bretagne, mardi 16 mars. Pour l’instant, “il n’y a pas de lien causalité établi entre ces huit décès et le nouveau variant” a précisé le directeur de l’ARS Bretagne Stéphane Mulliez. Les personnes hospitalisées étaient “assez âgées avec des facteurs de comorbidités.”
Inquiètes face à une possible diffusion de ce nouveau variant, les autorités sanitaires de la région et la préfecture des Côtes d’Amor (département où le variant a été détecté) ont annoncé sur Twitter une accélération de la vaccination avec 55 000 créneaux ouverts cette semaine pour mars et avril dans les centres existants et l’ouverture d’un centre éphémère ce 17 mars. La Préfecture des Côtes d’Armor a, de plus, renforcé le respect de gestes et mesures barrières.
2.Les tests PCR peuvent-ils détecter le variant breton ?
Le variant breton n’a pas été détecté par les tests PCR nasopharyngésau CHU de Lannion, non pas à cause de la méthode de test mais parce que “les patients n’en excrètent pas au niveau du nez” a expliqué le Pr Tattevin. Le virus n’était ainsi pas présent dans la muqueuse nasale des patients infectés. “Le diagnostic a pu être fait par la sérologie ou la réalisation de RT-PCR sur des prélèvements respiratoires profonds” rapporte la Direction Générale de la Santé (DGS).
Faut-il alors être inquiet de la fiabilité des test PCR négatifs ?
3.Les vaccins sont-ils efficaces contre le variant breton ?
“Des expérimentations vont avoir lieu afin de déterminer comment ce variant réagit à la vaccination et aux anticorps développés lors de précédentes infections” a indiqué la DGS. Ce qui en langage courant se traduit par : on n’en sait rien.
En résumé, à part le fait qu’on ne sait pas s’il est plus grave ou plus transmissible que les autres variants, qu’on ne sait pas le détecter, ni le soigner, il n’y a aucune raison de s’inquiéter du variant breton. La seule certitude, c’est que les huit patients connus atteints par celui-ci sont morts ! Mais morts d’un variant français !
Le sujet est sérieux mais, désolée, le fou rire me gagne. Je suppose que c’est nerveux.
Le Breton n’est-il pas un pigeon voyageur? Il faudrait que ce variant indétectable aille faire un tour chez nos voisins allemands. Le très influent virologue Pr. Drosten, qui a mis au point le test PCR utilisé dans le monde entier, en ferait une jaunisse. Avouez que c’est un moindre mal quand on a de tels lien et conflit d’intérêts!
Intelligent et rebelle ce variant breton qui remet en cause le test PCR… Nous vivons déjà dans le Grotesque, alors pourquoi ne pas lui imaginer une suite? Le test anal de nos amis chinois deviendra obligatoire, et ce à chaque coin de rue (le nombre de cas positifs ne doit surtout pas baisser). Pour plus de facilité nous serons tous cul nu. Pauvres “Sans-culottes” du XXIe siècle!
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Je me demande s’il n’y a pas une forme de communication type « épopée guerrière » qui a échappé aux communicants eux mêmes. Quand Raoult en septembre exposait les nouveaux variants, il montrait la complexité de ce virus. Quand il parle du variant breton, 30 mutations! , on se dit qu’effectivement c’est une maladie qui nous réserve des surprises. Dont celle annoncée par Raoult d’avoir des variants inaccessibles à des vaccins centrés sur Spike.
Alors le problème c’est que la communication du gouvernement n’ose jamais dire: on est en face d’un problème inconnu. La seule chose est comment a -t -on soigné ces personnes face à leurs symptômes. Étaient ils très différents des autres et est ce pour ça qu’ils n’ont pas été soignés adéquatement car non reconnus COVID? Ou bien s’agissait il comme souvent de personnes mortes de cancer maladies cardiaque vieillesse etc et en même temps COVID? Le mutant a t il été attrapé à l’hôpital?
Et donc comment isoler les porteurs de ce variant?
En revanche continuer à communiquer sur les variants comme si on était face à des « ennemis » est absurde
Le variant breton est soluble dans le cidre. C’est comme cela qu’on le traite.
Qu’on ne me critique pas : c’est moins cher que les traitement de Gilead, et c’est scientifiquement aussi validé.
« Il a un chapeau rond,
« vive la Bretagne !
« Il a un chapeau rond
« le virus breton… »
… c’est pourquoi il est indétectable !