Un traitement mêlant ivermectine et hydroxychloroquine qui pourrait détrôner le vaccin anti-COVID 19?

Un traitement mêlant ivermectine et hydroxychloroquine qui pourrait détrôner le vaccin anti-COVID 19?


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Mettre ensemble hydroxychloroquine et ivermectine  - les deux traitements refusés par l'establishment - pour faire un médicament efficace contre le COVID? Et rendre le vaccin obsolète? Une entreprise pharmaceutique finnoise a obtenu un brevet américain sur un traitement anti-Covid et cherche à présent à lui donner une dimension internationale. Alors que les gouvernements ne cessent de répéter "hors du vaccin point de salut", l'industrie pharmaceutique cherche d'autres types de traitements.

Therapeutica Borealis, entreprise pharmaceutique de Turku, en Finlande, a développé un spray nasal contenant de l’ivermectine, de l’hydroxy chloroquine et de l’aprotinine, comme traitement contre le Covid. Ce médicament a déjà fait l’objet d’un brevet enregistré aux Etats-Unis. L’entreprise cherche à présent à le faire reconnaître au niveau international.

Les réserves de l’OMS

En mars dernier, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) avait recommandé de ne pas utiliser d’ivermectine ni d’hydroxy chloroquine pour traiter les patients atteints du Covid-19.

Cependant de nombreux pays, dont  l’Inde et l’Afrique du Sud, ont eu recours à ces traitements avec des résultats probants si on les compare à ceux observés en Europe.

Un questionnement sur le « brevetage » de ce traitement

La mainmise de la Chine sur l’OMS après le retrait des Etats-Unis, la frilosité de l’Agence du Médicament Européen trop occupé à traiter le dossier Astra Zeneca dont elle a elle-même autorisé la mise sur le marché du vaccin, nous laissent penser qu’à part aux Etats-Unis une telle solution ne semble pas vouée à être massivement utilisée.

Certains posent la question : est-il approprié d’obtenir un brevet en mélangeant simplement deux substances connues – un brevet ne réclame-t-il pas une innovation ? Cependant, il est évident, que, la vaccination n’étant pas « ce long fleuve tranquille » que décrivent gouvernements et médias, l’industrie pharmaceutique recherche des traitements plus maniables. Pfizer cherche aussi une pilule « miracle »  et a annoncé être en phase 1 d’expérimentation.

Une alternative au vaccin ?

Alors que nous pouvions penser que le vaccin allait devenir le seul moyen utilisé contre le virus, le retour des solutions médicamenteuses démontre l’insuffisance des vaccins de première génération face aux variants. Au lieu de laisser les services de réanimation se remplir une nouvelle fois, acceptera-t-on lors de prochaines « vagues » d’un coronavirus la prescription à domicile de traitement médicamenteux?

Reste maintenant aux gouvernements de se saisir de cette opportunité qui leur est offerte, car en cas de succès cela pourrait marquer la fin des restrictions de liberté et le retour au monde d’avant le Covid-19. La véritable question est de savoir si nos dirigeants le souhaitent ? Affaire à suivre.


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