Comme annoncé par le président de la République Emmanuel Macron début mai, la vaccination des adolescents contre le Covid-19 s’ouvre, ce mardi 15 juin, à la tranche d’âge des 12-18 ans. La Haute Autorité de Santé a donné son feu vert à la vaccination des adolescents début juin. Dans le même temps, on apprenait, jeudi dernier, que les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis, avaient signalé 475 cas de myocardite ou de péricardite chez les personnes de 30 ans et moins - soit un nombre plus élevé que prévu - après leur deuxième injections de Pfizer et Moderna.
La vaccination des adolescents sera ouverte à tous les enfants de 12 ans et plus à partir de mardi, soit potentiellement plus de 3,5 millions de personnes. Avec une exception : les adolescents ayant développé un syndrome inflammatoire multi-systémique pédiatrique (PIMS) à la suite d’une infection par le coronavirus, pour lesquels la vaccination n’est pas recommandée.
1.Top départ présidentiel pour la vaccination des adolescents
Jusqu’ici, les jeunes de 16 et 17 ans pouvaient être vaccinés dans deux cas de figure : s’ils souffraient d’une pathologie à très haut risque de forme grave de Covid-19 ou s’il s’agissait de proches de personnes immunodéprimées. A compter du 15 juin, la vaccination des adolescents sera possible en centre avec le vaccin Pfizer-BioNTech, le seul à ce jour à disposer d’une autorisation de mise sur le marché pour cette tranche d’âge.
2.Le rapport bénéfice/risque de la vaccination des adolescents est moins évident pour cette tranche d’âge que pour le reste de la population
Les décès du Covid-19 sont exceptionnels chez les adolescents : le Centre européen de Prévention et de Contrôle des Maladies, ECDC, a comptabilisé 98 décès sur 1,1 million de cas chez les 10-19 ans. Le risque de forme grave nécessitant une hospitalisation est lui aussi très faible (0,9 %, selon l’ECDC).
3.Les CDC ont enquêté sur des cas d’inflammation cardiaque
Le ministère israélien de la Santé a signalé qu’il avait trouvé un lien probable avec la maladie chez les jeunes hommes qui ont reçu Pfizer. D’après un article du site CNBC, les cas d’inflammation cardiaque chez les 16-24 ans sont «plus élevés que prévu» après la deuxième injonction de Pfizer ou de Moderna. L’agence a déclaré qu’elle évaluait toujours le risque de la maladie et n’avait pas encore conclu qu’il existait une relation de cause à effet entre les vaccins et les cas de myocardite ou de péricardite.
4.Alors pourquoi vacciner les adolescents ?
La vaccination des adolescents permettra surtout d’immuniser une plus grande part de la population et ainsi mieux lutter contre la circulation du virus. Si on ne vaccine pas les mineurs, il faudrait vacciner plus de 90 % des adultes pour parvenir à une telle couverture, un chiffre ambitieux au vu des réticences d’une partie de la population. D’autre part, l’ambition purement statistique, qui est également recherchée ici par nos dirigeants (lire l’article d’Edouard Husson), est plus que discutable. N’est-ce pas là les véritables raisons ?
La vaccination d’un individu (qui prend le risque) pour protéger une collectivité qui n’en prend aucun est contraire au droit naturel et à la propriété de son propre corps par chaque individu. C’est une régression humaniste.
Vous achetez encore trop les arguments des vaccinateurs compulsifs.
En réalité, les vaccins COVID sont inutiles et dangereux pour toutes les classes d’âge, vu l’efficacité des cocktails inoffensifs à base d’ivermectine et d’antibiotiques.
100 % d’accord.
Bravo -et nulle part je n’ai lu que être vacciné réduisait la circulation du virus !!!!
200% ‘accord avec vous jamais moi
Et ma famille ne seront vacciné Avéc
Leur merde, ha le jour où on verra les traitements de nos professeurs émérite
Sur le marché he bien on changera !!!??