Le Japon prend partie pour l’ivermectine dans la lutte contre le COVID-19

Le Japon prend partie pour l’ivermectine dans la lutte contre le COVID-19


Partager cet article

Le Japon a jeté un sérieux pavé dans la mare et pris parti officiellement pour un traitement du COVID 19 à l'ivermectine. Nous avons beau être protégés du reste du monde par le mur de propagande des médias subventionnés et de l'injonction gouvernementale permanente, il n'a pas fallu quinze jours pour que nous apprenions qu'un des médecins les plus respectés du pays, le Docteur Haruo Ozaki, avait déclaré publiquement qu'il fallait avoir recours à l'ivermectine dans la palette des traitements administrés pour lutter contre le SARS-Cov2. De quoi flanquer par terre toute l'argumentation des autorités sanitaires occidentales.

Tokyo Medical Association Chairman Haruo Ozaki, August 13 2021 pic.twitter.com/ANgEbdm1Rn

— Joe (@FonzyDizzle) August 23, 2021

Le Dr Haruo Ozaki est le président de l’Association médicale métropolitaine de Tokyo. Il est connu pour avoir tenu des propos très durs quant à l’organisation des précautions sanitaires durant les Jeux Olympiques. Aussi sa prise de position, le 13 août 2021, en faveur de l’utilisation de l’ivermectine, équivaut à une recommandation officielle. Le Japon est confronté à une recrudescence des infections dans le pays, a expliqué le Dr Ozaki lors d’une conférence de presse dont la vidéo avec des sous-titres se trouve ci-dessus. Et c’est pour cette raison qu’il a appelé à la généralisation de l’utilisation de l’Ivermectine par les médecins généralistes.

Frappantes leçons données par l'Afrique

Well, what a strange coincidence… pic.twitter.com/ohK0h64XE9

— Robert W Malone, MD (@RWMaloneMD) August 30, 2021

L’une des raisons pour lesquelles le médecin japonais recommande l’ivermectine se trouve sur la carte reproduite ci-dessus, produite à l’Université Johns Hopkins. Nous l’avons copiée du compte twitter de Robert Malone, l’un des inventeurs des vaccins à ARN messager, lui-même très critique du manque d’esprit scientifique des gouvernements et des autorités de santé qui ne veulent pas voir les problèmes que posent des vaccins encore en phase expérimentale. Malone, parce que c’est un vrai scientifique, n’a aucun problème à reconnaître que le nombre de morts du Covid est bien plus bas dans les pays qui utilisent l’ivermectine. 

Et le Dr. Ozaki d’expliquer, l’ors de sa conférence de presse: « En Afrique, nous avons comparé les pays qui prescrivent l’Ivermectine avec ceux qui n’en prescrivaient pas… Dans les pays qui donnent de l’Ivermectine, le nombre de cas est de 134,4 pour 100 000 et le nombre de décès est de 2,2 pour 100 000. Dans les pays qui n’utilisent pas l’Ivermectine, le nombre de cas est de 950,6 et le nombre de décès est de 29,3. »

Pendant une épidémie, la priorité est...de soigner !

Le Dr. Ozaki a continué, le 13 août dernier, en déclarant: « Bien sûr, on ne peut pas conclure que l’Ivermectine est efficace uniquement sur la base de ces chiffres mais quand on a tous ces éléments on ne peut pas dire que l’Ivermectine n’est absolument pas efficace, en tout cas pas moi. Nous pouvons faire d’autres études mais nous sommes dans une situation de crise. En ce qui concerne l’utilisation de l’Ivermectine, il est évidemment nécessaire d’obtenir le consentement éclairé des patients et je pense que nous sommes dans une situation où nous pouvons nous permettre de leur donner ce traitement. » 

Rendez-vous compte, un médecin en situation de responsabilité, et qui ose affirmer que la priorité est de soigner !  Le journaliste Robert Harneis, commentant cette conférence de presse, conclut ironiquement:  » Face à l’évidence du Dr Ozaki, il sera désormais très difficile pour les obscurantistes anti-traitements précoces en France ou en Angleterre de continuer à laisser mourir des gens alors que l’existence de médicaments pour les sauver a été clairement démontrée par une source médicale indéniablement réputée. »


Partager cet article
Commentaires

S'abonner au Courrier des Stratèges

Abonnez-vous gratuitement à la newsletter pour ne rien manquer de l'actualité.

Abonnement en cours...
You've been subscribed!
Quelque chose s'est mal passé
Retraites : l’échec perpétuel du "jardin à la Française"

Retraites : l’échec perpétuel du "jardin à la Française"

Demain, mercredi 12 novembre 2025, l’Assemblée Nationale s’apprête à accomplir un acte hautement symbolique : voter, dans le cadre du Projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) 2026, la suspension de la réforme des retraites de 2023. Cet événement, qui peut sembler n'être qu'une manœuvre budgétaire initiée par le Premier ministre Sébastien Lecornu, est en réalité l'épilogue (provisoire) d'un fiasco politique majeur. Il clôt une décennie d'obstination réformatrice qui aura


Éric Verhaeghe

Éric Verhaeghe

Comme la France, la Belgique décrédibilise sa dette. Voici comment ! par Veerle Daens

Comme la France, la Belgique décrédibilise sa dette. Voici comment ! par Veerle Daens

Observons nos voisins. En France, les débats font rage sur un déficit qui s'envole et une dette dépassant les 115 % du PIB. Paris est sous le regard attentif de Bruxelles. Mais la Belgique, dans un silence médiatique relatif, suit exactement la même trajectoire. La crise politique aiguë qui paralyse Bruxelles n'est pas la cause de nos problèmes ; elle en est le symptôme le plus visible. Par Veerle Daens. La mission de 50 jours que s'est auto-attribuée le Premier ministre Bart De Wever n'est p


CDS

CDS

Qui est Veerle Daens, nouvelle chroniqueuse du Courrier ?

Qui est Veerle Daens, nouvelle chroniqueuse du Courrier ?

Dans le paysage médiatique francophone, Veerle Daens détonne. Chroniqueuse pour Le Courrier des Stratèges, cette jeune analyste flamande apporte une perspective libertarienne souvent absente des débats traditionnels. Formée sur les bancs exigeants des universités de Flandre, elle allie une rigueur analytique impressionnante à une clarté d’expression remarquable. Entretien avec une intellectuelle qui assume ses convictions. Le Courrier des Stratèges (CDS) : Veerle Daens, bonjour. Votre profil


Rédaction

Rédaction

Par quoi voulons-nous remplacer la démocratie représentative?

Par quoi voulons-nous remplacer la démocratie représentative?

Ce pont du 10 novembre, moment de répit dans l'agitation nationale, offre une occasion de prendre du recul sur le spectacle de notre propre impuissance. La France est paralysée. Le chaos parlementaire, les blocages institutionnels et la déconnexion béante entre le pays légal et le pays réel ne sont plus des accidents de parcours ; ils sont le symptôme d'une maladie chronique. La tentation est grande, comme toujours, de personnaliser la crise. On accuse volontiers l'hyperprésidentialisation


Éric Verhaeghe

Éric Verhaeghe