L'obligation vaccinale des soignants prépare une implosion des hôpitaux, au nom de la lutte contre une maladie qui tue de moins en moins, et pour vendre des vaccins dont l'inefficacité face à la maladie est de plus en plus documentée par des instances officielles comme la FDA américaine. Au lieu de persévérer dans une erreur qui constitue une bombe à retardement pour nos sociétés, il est encore temps, pour le gouvernement, d'accorder un moratoire sur cette disposition imposée au forceps, qui ne servira à rien sanitairement, et qui épuise le pays pour servir la soupe aux marchands de vaccins.
L’obligation vaccinale des soignants fait partie de ces fausses bonnes idées qui se terminent en catastrophe collective. Pour tous ceux qui ont admis l’hypothèse chimérique (manipulée de A à Z par l’industrie pharmaceutique et son lobbying sur-financé) de l’immunité collective contre le vaccin, obliger les soignants à se vacciner répondait à la nécessité d’éviter tout foyer de contamination partant des hôpitaux.
Sauf que cette hypothèse repose sur un grand fantasme philosophique sans fondement scientifique (le groupe serait une entité fermée, finie, sublimant les individus qui la composent) aux accents hygiénistes très Berlin 1938 (la pureté du groupe protège des maladies extérieures). Elle repose aussi sur un immense mensonge qui enrichit à coups de dizaines de milliards l’industrie vaccinale : être vacciné empêcherait d’être contaminé et de contaminer.
L’inefficacité du vaccin devient une évidence
Mais qui soutient encore (à part Pascal Praud et quelques autres chroniqueurs footballistiques) que le vaccin constitue une arme efficace pour enrayer l’épidémie ? Le Conseil Scientifique lui-même a écrit, au mois d’août, que son efficacité était de plus en plus limitée : 50% au maximum. Encore ces chiffres ont-ils été publiés en l’état des connaissances de l’époque.
Un mois après ce terrible aveu du Conseil, qui a préconisé le port du masque pour les vaccinés, tant ils sont des bombes virales, l’ANSM a commencé à s’interroger sérieusement sur les échecs du vaccin Johnson. Et que dire des terribles aveux de la FDA sur l’inefficacité du vaccin, qu’évoque Edouard Husson aujourd’hui dans nos colonnes ?
Bref, plus aucune autorité scientifique sérieuse dans le monde ne soutient la théorie désormais folklorique selon laquelle la campagne de vaccination permettra de lutter efficacement contre le virus. Mais les dirigeants français ont peut-être un retard à l’allumage, ou des engagements particuliers auprès des laboratoires pharmaceutiques, qui passent avant la santé du peuple français.
Le tabou règne sur le danger des vaccins
Début août, la France comptait 40% de soignants non-vaccinés. Après six semaines d’intimidation, de harcèlement moral, de bourrage de crâne, elle en comptait encore 10% . Autrement dit, un quart des récalcitrants a continué à refuser de se faire inoculer de l’ARN messager… malgré un déferlement de haine institutionnelle et malgré l’annonce d’une interruption brutale de salaires.
Il faut se demander pour quelle raison les soignants continuent à refuser une solution médicale dont ils devraient être les premiers promoteurs si elle était fiable. C’est peut-être à cause des innombrables effets secondaires de ce produit encore sous autorisation conditionnelle, dont ils sont témoins dans les hôpitaux ou les établissements pour personnes âgées. Sur ce point, la statistique officielle a toutes les apparences d’une opération de propagande, car l’ANSM limite aujourd’hui à 80.000 patients les effets secondaires, dont 20.000 cas graves.
Au vu des témoignages qui fleurissent partout, nous sommes pourtant convaincus que le scandale de la dangerosité du vaccin finira par éclater : explosion vraisemblable du nombre de thromboses, décès massifs dans les semaines qui suivent l’injection, AVC en tous sens. Pour l’instant, les médecins s’opposent aux autopsies, mais chaque jour apporte son lot de témoignages troublants sur ce qui apparaît de plus en plus comme un manquement grave, critique, au principe de précaution.
L’irresponsabilité de l’obligation vaccinale pour les soignants
Qu’après tout le gouvernement soit composé de talibans obtus de la vaccination, cela n’impliquerait pas forcément que nous passions à une obligation de se vacciner. Mais la déraison sectaire pousse ces idéologues à déstabiliser un système hospitalier déjà fortement éprouvé par dix-huit mois de COVID. D’où d’abord une dangereuse politique de bannissement et de harcèlement des non-vaccinés qui laissera de longues traces dans la cohésion des équipes (y compris chez ceux qui ont accepté le vaccin la mort dans l’âme pour payer leur loyer à la fin du mois), mais aussi une orchestration de l’éviction physique des récalcitrants à partir du 15 septembre qui crée de terribles problèmes d’organisation dans les structures.
Rappelons que, depuis quinze ans, l’essentiel des moyens nouveaux accordés à l’hôpital est allé à la bureaucratie hospitalière, qui vit sur le dos des soignants. Ceux-là sont souvent à l’os. Et, pour satisfaire les laboratoires pharmaceutiques, le gouvernement a interdit les traitements précoces qui permettent de limiter très fortement le recours à l’hôpital en cas de contamination, et il leur impose maintenant une saignée dans les effectifs.
Cette politique irresponsable aura des effets boomerangs terribles : les hôpitaux qui ne renonceront pas à appliquer l’obligation vaccinale vont majoritairement connaître une désorganisation critique dont les vaccinés seront les premiers à se plaindre. Lorsque la prise de rendez-vous à l’hôpital va gravement cafouiller, lorsque des pénuries de chirurgiens, d’infirmières réanimatrices, d’ambulanciers, vont progressivement bloquer la machine à soigner, il sera trop tard.
C’est ce risque-là que l’obligation vaccinale des soignants fait courir aux vaccinés. Mais ceux-ci sont manifestement trop obtus pour le comprendre.
Pour un moratoire sur l’obligation vaccinale
Nous pensons que le rôle d’un gouvernant n’est pas de cliver son peuple, même si des élections présidentielles approchent (nous nous souvenons tous de cette théorie de Nicolas Sarkozy sur le clivage nécessaire pour gagner), mais qu’il est plutôt de fédérer. Or l’obligation vaccinale est d’abord une stratégie de clivage pour conforter l’électorat macronien, avis de bannissement bourgeois contre les petites gens, mais elle ne répond à aucune logique sanitaire.
Dans l’intérêt du pays, il devient urgent d’apaiser les tensions internes et de préserver un appareil hospitalier qui fonctionne.
Il faut donc que, rapidement, le gouvernement adopte un moratoire sur l’obligation vaccinale des soignants.
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« l’immunité collective contre le vaccin». Je suppose que c’est un lapsus pour « l’immunité collective par le vaccin ».
« le vaccin constitue une arme inefficace pour enrayer l’épidémie. Je suppose que c’est un lapsus pour « e vaccin constitue une arme efficace pour enrayer l’épidémie ».
Si un quelconque moratoire devait voir le jour il n’y a aucune raison qu’il soit limité aux soignants . Un vaccin inefficace, favorisant les mutations, affaiblissant les défenses naturelles et cerise sur le gâteau, aux effets secondaires graves voire létaux n’a pas à être commercialisé avant la fin de ses phases d’expérimentations et doit être réservé aux seules personnes pour qui il présente un bénéfice/risque avéré . Tout le reste n’est que littérature pour lapereaux de 3 semaines .
Demander un moratoire à nos gouvernants, c’est comme demander aux talibans de faire un gouvernement “inclusif” !!!
Ils ne le feront pas, ils inventeront n’importe quoi pour maintenir cette vaccination obligatoire pour les soignants, puisque leur but est la vaccination obligatoire pour tous, dès 6 mois.
Ce sont des “vaxtalibans” !
Raison de plus pour construire le rapport de force…
Concernant le corps médical il me semble que la seule façon d inverser le rapport de force , c est d éveiller leur instinct de survie en leur démontrant le risque mortel pour l ensemble de leur profession inhérent à la politique actuelle de la Macronie -cf vidéo de BillGates visible sur le site Reinfocovid, et mon msg ci dessous-
je préfère le terme vaccinolâtre.
ARTICLE DE FRANCE SOIR DU 20 SEPTEMBRE
…..Dans notre article en date du 17 août 2021, la validité de l’AMM (autorisation de mise sur le marché) « conditionnelle » des vaccins contre la Covid-19 a été questionnée.
Les questions soulevées ont été relayées auprès de Madame la « directrice générale » de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) par notamment un avocat qui représente des associations de professionnels de santé et de citoyens. L’ANSM vient de répondre à cet avocat.
Rappel des faits
Ces vaccins, qui sont des médicaments, ne bénéficient que d’une AMM temporaire dont la durée de validité n’excède pas un an. Mais, les laboratoires fabricants doivent, de façon impérative, introduire une demande de renouvellement « six mois avant l’expiration » de cette AMM conditionnelle.
En l’absence de cette demande de renouvellement, cette AMM n’est plus valable. Et la vente de ces produits doit immédiatement cesser.
Les quatre vaccins concernés sont ceux des laboratoires pharmaceutiques BioNTech/Pfizer ; Moderna ; Astra Zeneca ; Janssen. Ils ont obtenu cette AMM européenne centralisée conditionnelle respectivement le 21 décembre 2020 ; le 6 janvier 2021 ; le 29 janvier 2021 ; le 11 mars 2021.
En application du règlement européen n°507/2006 de la Commission, la demande de renouvellement de ces AMM aurait dû être introduite avant le 21 juin 2021 (pour le vaccin BioNTech/Pfizer) ; avant le 6 juillet 2021 (pour Moderna) ; avant le 29 juillet 2021 (pour Astra Zeneca) ; avant le 11 septembre 2021 (pour Janssen).
Par ailleurs, dans notre article, en date du 2 avril 2021, pour chacun de ces quatre vaccins, et selon le paragraphe « E. Obligation spécifique relative aux mesures post-autorisation concernant l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle » de l’annexe II de l’AMM conditionnelle, publié par l’Agence européenne du médicament (EMA), celui-ci précise que « conformément à l’article 14-bis du règlement (CE) n°726/2004, le titulaire de l’AMM doit mener à son terme, selon le calendrier indiqué, les mesures suivantes : (…) ». Des preuves complémentaires étaient donc également attendues aux dates fixées indiquées dans les tableaux disponibles aux pages « 18-19 » (pour le vaccin BioNTech/Pfizer) ; page « 15 » (pour Moderna) ; pages « 14-15 » (pour Astra Zeneca) ; page « 18 » (pour Janssen).
Or, plusieurs de ces dates sont également dépassées : janvier 2021, 31 mars 2021, avril 2021, juillet 2021 (pour le vaccin BioNTech/Pfizer) ; janvier 2021, avril 2021, juin 2021 (pour Moderna) ; 5 mars 2021, 30 avril 2021 (pour Astra Zeneca) ; 31 mars 2021, 15 août 2021 (pour Janssen).
Pour chacune de ces dates, des preuves étaient attendues. Ces preuves concernent notamment la « qualité » de la « substance active » et des « excipients », du « procédé de fabrication », de la « reproductibilité des lots » commercialisés ; c’est-à-dire la qualité intrinsèque, la composition, le cœur même, de ces vaccins contre la Covid-19. Ce qui est inédit.
Interrogée sur ces points, la « direction générale » de l’ANSM vient donc de répondre à l’avocat.
Sur la validité des AMM conditionnelles des vaccins contre la Covid-19 : la réponse de l’ANSM envoyée à un avocat
Cet avocat avait interrogé la « directrice générale » de l’ANSM en adressant une lettre, en date du 26 août 2021, dans laquelle il faisant part à l’ANSM que « ces délais sont impératifs car ils concernent les différents vaccins anti-covid-19 actuellement inoculés à la population (…) administrés à des personnes humaines dans plusieurs pays du monde ». Il ajoutait : « Mes clientes sont évidemment enclines à penser que l’AEM et l’ANSM sont en possession de ces informations essentielles et que la procédure susvisée a bien été respectée au regard des enjeux mais elles souhaitent néanmoins s’assurer du respect de ces obligations puisque le non-renouvellement des autorisations rendrait automatiquement caduque les AMM conditionnelles ». Et puis, cet avocat relève :
« J’attire en tant que de besoin votre attention sur l’existence de l’article 20.4 du règlement (CE) n°726/2004 qui prévoit que lorsqu’une action d’urgence est indispensable pour protéger la santé humaine ou l’environnement, un État membre peut, de sa propre initiative ou à la demande de la commission, suspendre l’utilisation sur son territoire d’un médicament à usage humain autorisé conformément au présent règlement. »
Or, par un courrier, en date du 7 septembre 2021, la « directrice générale » de l’ANSM répond à cet avocat notamment ceci :
« Maître,
Vous m’avez adressé, en votre qualité d’avocat de (…), un courrier en date du 26 août 2021, par lequel vous me faites part de votre inquiétude à l’égard de plusieurs sujets d’ordre juridique concernant le respect de délais impératifs issus de règlements européens, de l’annexe II de chaque autorisation de mise sur le marché (AMM) conditionnelle reprise dans le rapport public d’évaluation européen (EPAR) des différents vaccins anti-covid-19.
A cet égard, je suis à même de vous préciser les éléments suivants.
S’agissant dans le cas présent de spécialités pharmaceutiques bénéficiant d’AMM centralisées octroyées par la Commission Européenne, les demandes d’AMM, les demandes de modifications ainsi que les demandes de renouvellement de celles-ci sont déposées par les industriels auprès de l’Agence européenne des médicaments (EMA) pour évaluation de ces éléments.
En conséquence, je vous informe que j’ai transmis votre demande à la Directrice exécutive de l’EMA afin que celle-ci puisse vous apporter les éléments de réponse souhaités.
(…). »
Cette réponse est surprenante.
Cela voudrait-il dire que l’ANSM ʺne sait pasʺ si les AMM conditionnelles de ces vaccins sont toujours valables ? Que l’ANSM ne s’était pas inquiétée du respect de ces délais impératifs qui conditionnent pourtant la validité de ces AMM temporaires ?
Comment, dans ce cas, et lorsqu’une « action d’urgence est indispensable pour protéger la santé humaine » des citoyens, la France pourrait-elle « de sa propre initiative (…) suspendre l’utilisation sur son territoire d’un médicament à usage humain autorisé » si l’ANSM, qui est le gendarme du médicament, n’effectue pas de suivi desdits délais impératifs dont le respect conditionne la validité desdites AMM ?
Mais, une autre information interpelle. Aux interrogations d’un médecin, cette fois, l’ANSM fournit une autre réponse, d’une autre nature !
Sur la validité des AMM conditionnelles des vaccins contre la Covid-19 : l’autre réponse de l’ANSM adressée, cette fois, à un médecin
Le 7 septembre 2021, un médecin interroge ainsi l’ANSM :
ʺL’AMM conditionnelle rassemble tous les verrous de contrôles d’une autorisation de mise sur le marché standard pour garantir un niveau élevé de sécurité pour les patients.ʺ
Pouvez-vous me dire quels sont ces verrous de contrôles ?
Cordialement. »
Le lendemain, 8 septembre 2021, la « Cellule Accueil des usagers » de l’ANSM répond à ce médecin, de façon impersonnelle, notamment ceci :
« Madame, Monsieur,
Nous avons bien reçu votre demande datant du 07/09/2021 concernant l’AMM conditionnelle des vaccins contre la covid-19.
Pour accélérer la mise à disposition des vaccins contre la Covid-19 dans le contexte de pandémie, l’Agence Européenne des Médicaments (EMA) a mis en place un examen continu des demandes d’autorisation de mise sur le marché (AMM), autrement appelé ʺrolling reviewʺ (lien sur le site de l’ANSM : (…). Les données, transmises par les fabricants, sont ainsi analysées en temps réel par les agences nationales compétentes au sein de l’EMA, dont l’ANSM.
(…)
Une fois qu’une AMM conditionnelle a été accordée, les laboratoires doivent fournir les données complémentaires provenant d’études nouvelles ou en cours dans des délais fixés par l’EMA.
(…)
Les AMM conditionnelles sont valables 1 an et la demande de renouvellement de l’AMM doit être déposée 6 mois avant la fin de l’AMM conditionnelle. Les demandes de renouvellement des AMM conditionnelles des vaccins anti-Covid ont bien été déposées par les laboratoires concernés dans les délais réglementaires soit 6 mois avant la fin de l’AMM conditionnelle. Ces renouvellements sont en cours d’évaluation par l’EMA.
(…). »
Que dire ?
Conclusion
L’ANSM fournit donc deux réponses différentes selon la qualification de l’auteur des questions d’une part ; et selon la qualification de l’auteur de la réponse au sein de l’ANSM d’autre part.
À l’avocat, spécialiste du droit, la « directrice générale » de l’ANSM se contente de relayer les questions posées à la directrice exécutive de l’EMA.
Au médecin, qui prescrit ces vaccins contre la Covid-19, la « Cellule Accueil des usagers » de l’ANSM répond que ʺtout va bienʺ : les AMM conditionnelles de ces vaccins contre la Covid-19 sont toujours valables.
Il y a lieu de rappeler que dans un rapport, publié en 2017 par l’Agence européenne du médicament (EMA) qui a fait un bilan sur les dix premières années de sa pratique des AMM conditionnelles de 2006 à 2016, souvent, ces preuves attendues ne sont pas fournies par les laboratoires pharmaceutiques. La revue Prescrire relève : « Des questions qui restent en suspens si l’EMA n’est pas plus exigeante, avec le risque de laisser longtemps les patients exposés à des médicaments dont la balance bénéfices-risques n’est pas favorable ».
Et ce sont des professionnels de santé, et des professionnels relevant d’autres professions, qui sont, depuis mercredi 15 septembre 2021, automatiquement suspendus de leurs fonctions, immédiatement privés de leur rémunération, interdits d’exercer toute autre activité rémunérée ; pour avoir refusé de s’injecter ces produits dont la validité même de l’AMM serait, plus que jamais, douteuse.
Donc, qu’est-ce qu’on fait ?
On harcèle de courriers
L’ANSM ?
les députés et sénateurs ?
Les ARS ?
Delfraissy and co ?
Les administrations scolaires qui incitent aux injections?
Les hôpitaux ? ( dans leur choix d’appliquer la vax sans AMM, ils mettent en danger les patients pour manque de soins)
Une solution plus simple : rentrer à l’Élysée en masse et lui passer les menottes.
Doux rêve!
Douce réalité historique.
Journées des 5 et 6 octobre 1789 : https://fr.wikipedia.org/wiki/Journ%C3%A9es_des_5_et_6_octobre_1789
Soignant suspendu, j’ai officiellement alerté toutes les instances de la Santé et de l’état compétentes pour alerter sur ce constat, avec expérience empirique depuis le 09 août dernier et face à leur silence, j’ai déposé une plainte en ce sens (réceptionnée au tribunal judiciaire de Paris le 14 septembre, contre X, pour mise en danger de la vie d’autrui et non assistance à personne en danger). Entre temps, le 13, le chef de cabinet de Jean Castex, m’a répondu avoir pris connaissance de ma réflexion et me remercier de mon message…
Suspendu, le 17 à l’aube, en sortant de poste de nuit… https://odysee.com/@PAGA:f/ParoleDeSoignantR%C3%A9fractaire:d
Selon l’interview du Dr Bryan Ardis par Me Fuellmich du 05.08.2021, une séance interne entre la FDA (Food and Drug Administration) et le CBER (Center for Biologics Evaluation and Research)a eu lieu le 22.10.2020 :
Présentation de 25 diapositives; diapositive n° 16 listant les effets secondaires : plus de 110 maladies causées par les injections, incluant les fausses couches et la mort. Et 5 différents troubles de la coagulation du sang.
La FDA était au courant dès octobre 2020 AVANT la mise sur le marché des injections. Alors, négligence ou malveillance ? Le but semble clair.
Dès 23:30 :https://www.infovf.com/video/depeuplement-fda-savait-avance-pour-les-effets-secondaires–10350.html
Originale, dès 43:50 : https://open.lbry.com/@Corona-Ausschuss:3/Bryan-Ardis—sitzung_63_converted_720p:7
Ne cherchez pas des causes raisonnables au fascisme, c’est une erreur magistrale de réfléchir notre temps comme un temps constitutionnel. Il faut le réfléchir de manière révolutionnaire, car ces périodes génèrent toujours des morts surnuméraires. La population semble oublier que le régime criminel qui est à la tête de l’État français depuis 2012-2017 a déjà des dizaines de milliers de morts à son actif. On ne peut plus parler de « gouvernement » quand ce genre de « gouvernance » a du sang sur les mains. On parle de « Crimes d’État », de « Régime Criminel ». Ce ne sont plus des conjectures, la réalité est établi par des centaines de milliers de preuves et de faits. Le 12 juillet 2021, l’actuel locataire du 55, car on ne peut le nommer que de la sorte ayant rompu par son action et ses discours toutes les digues de la loi constitutionnelle, a rompu le pacte républicain en jouant avec des symboles, celui de la 9ème Ordonnance du 8 juillet 1942, ce au beau milieu de deux dates anniversaires dont celle du 16 juillet 1942, la Rafle du Vel’Hiv’ ; le pire du pire comme programme politique, en créant les mêmes discriminations contre les non-vaccinés covid que celles imposées aux juifs lors de cette épouvantable semaine de juillet 1942. C’est l’intention qui fait l’homme, et là, l’intention était honteuse sous l’apparence d’une nostalgie planiste et collaborationniste. Une raclure au sommet de l’Etat. On ne joue pas avec ces symboles. Là, c’était mort pour son matricule d’un vichysme salement revendiqué.
Mais la chose la plus déplacée intellectuellement aujourd’hui est de considérer bêtement que le retour à une situation normale passera par une loi fantasmée « qui nous sortirait naturellement de ce guêpier ». Les élites s’en foutent comme de leur dernière chemise de la loi ! Ils la bafouent dans chaque allocution, à chaque seconde, à chaque sourire cynique, à chaque poignée de main hypocrite, à commencer par le Code de la Route qui est une loi pour les manants. Quand en face, au sommet du pouvoir, on prépare un Coup d’État en trafiquant déjà les futures élections de 2022, de la même manière qu’ont été trafiquées celles de 2017 en France et de 2020 aux USA.
Quand on en est là, c’est la guerre du Peuple contre les Élites. C’est la Guerre, la Guerre, la Guerre, la Guerre, la Guerre, la Guerre, la Guerre, injonction 7 fois répétée ! Ce n’est pas un scoop depuis les nombreux livres qui parlent de ce sujet, dont celui de Christopher Lasch :
La révolte des élites et la trahison de la démocratie : https://www.amazon.fr/gp/product/B087V5FWLH/ref=dbs_a_def_rwt_bibl_vppi_i0
Constitution du 24 juin 1793 : https://www.conseil-constitutionnel.fr/les-constitutions-dans-l-histoire/constitution-du-24-juin-1793
Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen
« Le peuple français, convaincu que l’oubli et le mépris des droits naturels de l’homme, sont les seules causes des malheurs du monde, a résolu d’exposer dans une déclaration solennelle, ces droits sacrés et inaliénables, afin que tous les citoyens pouvant comparer sans cesse les actes du gouvernement avec le but de toute institution sociale, ne se laissent jamais opprimer, avilir par la tyrannie ; afin que le peuple ait toujours devant les yeux les bases de sa liberté et de son bonheur ; le magistrat la règle de ses devoirs ; le législateur l’objet de sa mission. En conséquence, il proclame, en présence de l’Être suprême, la déclaration suivante des droits de l’homme et du citoyen. »
Article 35. – Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.
Il semble bien qu’une bonne partie de la population ait déjà développé une immunité bien avant que la vaccination ait été généralisée. En effet si l’on a 100000 morts positifs et un taux de mortalité des positifs inférieur à 0,5% (le chiffre a constamment été réévalué à la baisse), cela fait déjà 20 millions de français qui ont vaincu le virus et en ont gardé une protection au moins contre les formes sévères. Et comme les soignants sont forcément bien plus exposés que la population moyenne, cela signifie qu’une grande majorité d’entre eux sont déjà protégés même sans vaccination. Et quand on sait en plus qu’une personne dans la force de l’âge ayant déjà monté ses défenses immunitaires contre le virus risque de faire de bien plus fortes réactions au vaccin qu’une personne n’ayant jamais rencontré le virus, on peut comprendre que les professions médicales ne soient pas enchantées à la perspective d’être vaccinées. Et comme en plus on sait qu’un vacciné peut néanmoins refaire des infections légères et être contaminant, l’acharnement à vouloir vacciner tout le monde est dur à justifier !
Il serait temps de reconnaitre que cette épidémie est terminée et ne mérite maintenant pas plus d’attention que les autres maladies respiratoires aiguës qui frappent les personnes fragiles.
Le maintien sous pression de la population est clairement de nature politique plus que sanitaire.
Je confirme ce que vous énoncez avec une clarté sans détour.
Mon père était pharmacien en milieu rural, ayant pris la suite de son père, et côtoyait chaque jour des agriculteurs dont les vaches étaient atteintes de toutes les pathologies vétérinaires. Qui plus est, le pays où il officiait était perclus d’humidité basse-normande propice à toutes les affections respiratoires, rhumatismales, allergiques, la cerise sur le gâteau, dans un petit bassin industriel fort peu écologique, etc. Un authentique « Parc Disney » pour un épidémiologiste situé à 25 kilomètres d’un des élevages de visons visés par les conférences du Professeur Didier Raoult… On était gâté !
Il y avait en ces contrées presque sauvages des stocks de Bacille du Charbon référencées, dont on notifiait aux agriculteurs les emplacements pour éviter qu’ils n’y retournent trop la terre ; quelques régionales industries poulaillères et porcines de renom étaient situées à quelques encablures pour corser le tableau, en conclusion mon père faisait des cultures et des analyses dans son laboratoire de campagne pour la population. Je n’ai pris conscience que tardivement que j’avais vécu mon enfance dans une boite de Pétri.
C’était la médecine de campagne d’après la 2ème guerre mondiale.
Je n’ai jamais connu mon père malade, et il est décédé en 2018 à l’âge canonique de 93 ans.
Son immunité devait être phénoménale pour résister à ce bain bactériologique.
Les industries pharmaceutiques financiarisées veulent détruire ce patrimoine naturel (transhumanisme 2.0) pour vendre de plus en plus de médicaments. Nazis jusqu’au fond de leur tripes, leur business model passe par l’éradication de la population « résistante » (aux virus et bactéries) et faire du résiduel des peuples esclaves de leurs molécules. On a tort de continuer à ignorer que le WWF, l’icône mondiale de l’écologisme, a été fondé en 1961 par deux nazis notoires, le Prince Philip Mountbatten, feu le mari de la Reine d’Angleterre rattrapé par le virus dans lequel il voulait se faire réincarner pour éradiquer la population mondiale, et le frère de George Orwell.
« Chassez le naturel, il reviendra au galop. »
je ne vois pas de moratoire en route,mais plutôt une prochaine vaccination des 0/100 ans.
les récentes communications de Pfizer semblent être de nature à nous “rassurer”!!
Deux confirmations du projet long terme mondialiste Implémenté par Macron:
1.la vaccination mondiale en période de pandémie avec des vaccins à ADN et arn-m favorise l émergence de « virus recombinant(s) potentiellement plus dangereux que le sarsCov2- Notre avenir est désormais sous le signe des pandémies et la menace totalitaire portée par par le cheval de Troie de l industrie pharmaceutique.
2:Destruction voulue du corps médical et de la science :dans une vidéo en ligne sur le site Reinfocovid, on voit Bill Gates présenter son ‘plan du »tout vaccinal »: plus d hôpitaux ni de personnel soignant, mais des « operateurs » disséminés sur tout le territoire et formés à l administration de vaccins….donc, la mort des hôpitaux est sciemment voulue.
Des failles dans la loi :
https://viruswar.fr/breches_a_gogo_obligation_vaccinale_soignants.php