Une étude américaine affirme que 150.000 Américains sont morts du vaccin. Elle fait évidemment grand bruit par la gravité des accusations qu'elle porte. Nous en proposons aujourd'hui une lecture critique, en laissant chacun libre de se forger sa propre opinion sur le sujet. Pour notre part, nous considérons que la meilleure réponse aux différentes évaluations sur les effets secondaires du vaccin consiste à élargir les données publiques actuelles, notamment en autorisant systématiquement les autopsies demandées par les familles en cas de décès suspect après une vaccination.
Faut-il admettre sans nuance l’idée que 150.000 Américains seraient déjà morts du vaccin ? Ce chiffre ressort d’une étude documentée (et bannie par Twitter) émanant du groupe qui gravite autour du TrialSite News, un site qui promeut les traitements précoces contre le COVID et a donc intérêt à montrer les risques et les inconvénients de la vaccination. Nous vous proposons ici une lecture critique de cette étude pour en ramener ses résultats dans leurs justes proportions.
150.000 Américains morts du vaccin selon une étude orientée
Les auteurs assumés de l’étude sont Steve Kirsch, Jessica Rose et Mathew Crawford.
Steve Kirsch est un entrepreneur connu pour ses positions favorables aux traitements précoces contre le COVID. Il a personnellement donné 1 million $ au fonds qu’il a créé en faveur de la recherche sur les traitements précoces. Il travaille régulièrement avec Jessica Rose, scientifique de l’université de Stanford.
Ces auteurs ne cachent donc pas leur “parti pris” en faveur d’une solution alternative aux vaccins. Ce point leur est régulièrement reproché. On notera toutefois que leurs détracteurs sont ouvertement des partisans d’une vaccination à outrance et sans nuance, ce qui affaiblit fortement la contradiction.
Une évaluation purement statistique
Les lecteurs attentifs de l’étude sur ces 150.000 morts auront noté que ce chiffre ne résulte d’aucune observation “réelle”, mais seulement d’une évaluation statistique à partir des chiffres officiels notamment ceux des accidents anaphylactiques.
Using the VAERS database and independent rates of anaphylaxis events from a Mass General
study, we computed a 41X under-reporting factor for serious adverse events in VAERS, leading
to an estimate of over 150,000 excess deaths caused by the vaccine.
Il faut bien comprendre que cette étude repose sur une extrapolation du nombre plausible de morts à partir des observations en matière d’accidents ordinaires. Selon les auteurs de l’étude, les chiffres officiels sous-estiment très fortement le nombre réel de morts du vaccin et doivent être multipliés par 41 ! Au vu des éléments sur les conflits d’intérêts des auteurs, on comprendra donc avec quelles réserves il faut accueillir cette étude.
Le silence officiel et le trouble qu’il crée
Bien évidemment, la question qui nous intéresse au premier chef est celle du nombre de décès en Europe, et tout particulièrement en France, du fait du vaccin. Face au mutisme officiel, il serait intéressant de faire parler un peu plus les chiffres.
Sur ce point, et sans prendre parti sur une possible extrapolation de l’étude américaine dont nous venons de souligner les limites, on ne peut qu’être embarrassé par le manque de données transparentes, pourtant prévues par le consentement libre et éclairé au vaccin. Il semblerait en particulier que les médecins et même des procureurs refusent systématiquement les autopsies demandées par les familles après des décès potentiellement liés au vaccin.
Cette impossibilité dans laquelle nous sommes de rechercher des liens avérés, documentés, entre le vaccin et le décès nourrit tous les fantasmes et pose un sérieux problème démocratique. Il est temps que le gouvernement fasse la lumière sur les innombrables suspicions relatives aux effets secondaires du vaccin.
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Quelle est la base/fondement juridique sur laquelle s’appuie un procureur de refuser une autopsie ?
Aucun et c’est une violation de la loi, qui stipule que lorsque la cause de la mort ne peut être déterminée par les moyens habituels, c’est l’anatomo-pathologiste qui _doit_ prendre le relais, afin d’avoir une certitude sur ces causes (ce qui est évidemment sage, au cas où ça soit quelque chose de totalement nouveau et très mortel).
Il y a déjà ce débat en Allemagne, suite aux découvertes d’un anatomopathologiste qui a fait cette interview sur France Soir :
Des morts vaccinés non-déclarés ? Il faut autopsier davantage, selon le Dr Peter Schirmacher : https://www.francesoir.fr/societe-sante/peter-schirmacher-autopsier-vaccins
Un peu de logique, cher Eric, s’il n’y avait rien à cacher, on saurait tout ! Si le Conseil de Défense comme les ARS et les Instituts de Veille Sanitaire occultent en masse la vérité, en font un tabou au diapason des journalistes de Radio Paris lèche-bottes du pouvoir, c’est de la même manière qu’à l’époque du Goulag lors duquel Soljenitsyne libéré a été ostracisé puis honni en Europe quand il a publié l’Archipel, c’est qu’il y a un loup derrière le flou, comme le disaient nos grands-mères !
La vérité n’est pas forcément derrière les statistiques – comme le soin efficace ne fut pas le produit des recherches randomisées – mais assurément derrière les mensonges en chapelets de saucisses.
Pourquoi tant de blablabla ? Qu’ont-ils à cacher ?
La vérité.
On comprend l’inquiétude du pouvoir sanitaire, quand elle sortira, ils iront en prison.
Le chiffre me semble bien trop grand pour être réaliste. Cela se verrait nettement dans les statistiques de mortalité. En effet, la vaccination s’est faite massivement au début de cette année en parallèle d’une baisse rapide du nombre de mort. Un choc anaphylactique est quelque chose qui se produit rapidement pas 6 mois après. Il aurait donc été impossible de camoufler de tels évènements. Un tel “complot” nécessiterait d’impliquer tous les soignants.
Il y a des morts avec le vaccin, comme avec tous les médicaments d’ailleurs, même ceux que l’on préconise avant, pendante et après le COVID. Mais pas à cette échelle.
Comme vous, je n’ai pas de données sur le sujet et seulement des faisceaux de présomptions dans “Un Monde de menteurs” (cf. Pat Jaulent). Néanmoins vous devriez tempérer vos certitudes par ce dossier antécédent aux USA sur les mêmes thèmes pharmaceutiques, comme quoi le Dolder Club n’en est pas à son premier coup. Ce scandale a démarré dans les années 1990 et est apparu au grand jour dans les années 2015…
Crise des opioïdes : https://fr.wikipedia.org/wiki/Crise_des_opio%C3%AFdes
UN MONDE DE MENTEURS : https://www.amazon.fr/MONDE-MENTEURS-PAT-JAULENT/dp/B08Y49S91R
Crise des Opioïdes aux USA : 500.000 morts !
c’est marqué entre 72k et 180k mort dans l’étude. Maintenant je trouve ça énorme aussi. Ce qui est bien c’est que tous les pays ont vacciné en 2021 donc dans 3 mois on sera exactement les effets a courts termes des vaccins et on pourra voir la surmortalité ou non de ces soit disant vaccins.
On se rassure comme on peut mais 150000 morts sur une population de + de 300 millions, non, ça ne saute pas aux yeux même en tenant compte du fait que là-bas comme ici les signalements ne sont pas systématiques et ne représente au plus que 5 à 10% des effets réels .
Qui plus est pour vous suivre pabizou, 150.000 décès noyés dans une masse de 300 millions d’Américains éparpillés sur une surface de 9.834.000 kilomètres carrés, cela fait seulement 0,015 morts de la vaccination covid par km2. Soit 15 morts de la vaccination covid par 1000 km2. C’est quasiment indétectable à l’œil nu, encore moins par des médecins isolés, encore moins par les instituts de veille sanitaire s’il n’y a pas de remontée d’expérience et d’autorisation d’autopsie par les procureurs en cas de doute… Ce d’autant plus dans une ambiance mafieuse d’omerta généralisée imposée par la puissance technologique des GAFAM et financière des BIG PHARMA !
Sur un sujet sans relation avec ce qui nous concerne ici, mais qui éclairera notre champ de vision sur le mensonge institutionnel qui entoure la vaccination Covid, l’omerta judiciaire en UK dans les Affaires des viols collectifs de Rotherham et de Telford a duré plus de 20 ans, parce qu’elle impliquait des élites politiques, policières, judiciaires et aristocratiques du Royaume-Uni, car il y avait des intérêts financiers avec le Golfe Persique alors qu’on connaissait l’origine des trafiquants de chair fraîche et les clients hype dont une fameuse star de la BBC…
Il suffit donc de procéder par analogie dans ce que nous cherchons, par équations, comme on sait en minéralogie que l’opale se trouve dans des couches d’argiles sableuses déposées au Crétacé.
Non ! Après relecture de cet article d’Eric rempli de précautions sémantiques – spécialité verhaeghienne pour ne pas se faire vilipender et ostraciser par la meute politico-médiatique ; quelle talent pour sortir la pépite du minerai ! – je peux dire que ce chiffre de 150.000 morts de la vaccination Covid aux USA me parait de moins en moins improbable statistiquement parlant. C’était ma spécialité lors de ma Licence ès Sciences-Eco.
C’est tout comme dans un avion à réaction, Deres, vous ne pouvez pas vous fier à vos sensations, seulement à vos yeux et aux instruments,évidemment , si vos instruments ont été volontairement faussés et que vous-êtes dans la mélasse…
Nul n’est besoin de corrompre tout le monde, il suffit, tout comme aux USA, de faire en sorte que le formulaire de déclaration d’accident lié au “vaccins” nécessite 30′ de remplissage et de pousser un petit peu à la roue envers les chefs de service, c’est tout (et n’oubliez pas que même pour ces gens qui sont éduqués en la matière, la vaccination est, à tort, le nexus, donc une petite réflexion sur “le mal que feraient de gros chiffres à toute la vaccination” suffit à con-vaincre).
En complément à ces dispositions toutes simples et efficaces pour limiter les remontées sur les effets secondaires, il faut mentionner la rémunération assez généreuse des vaccinations par les médecins. Le dispositif de pharmacovigilance est d’ailleurs calibré depuis longtemps pour minimiser les risques d’arrêt d’une campagne vaccinale. L’essentiel était déjà en place et bien rodé.
Une étude de Harvard sur trois ans a déterminé que les rapports d’effets secondaires des médicaments au VAERS représentaient MOINS DE 1% des effets réels, pour les raisons connues (je n’ai pas la référence sous la main). Dans le cas présent, les autorités sanitaires (centres régionaux, hôpitaux…) refusent souvent d’enregistrer ces effets, et les médecins ne le font pas plus (on les décourage). Compte-tenu des mécanismes connus de l’action des pseudo-vaccins, notamment des protéines de pointe (responsables des thromboses et microthromboses) et d’autres ingrédients toxiques (non révélés par les fabricants, mais le monde est vaste et la science ne se limite pas aux cercles restreints des conseils dits scientifiques), il faut certainement s’attendre à bien plus d’effets sévères et de décès dans l’avenir. Les anticorps facilitants sont une autre cause de graves inquiétudes. Cependant, on continue à pousser à la vaccination, y compris des enfants et des jeunes dont on sait que le risque qu’ils souffrent de la maladie est nul. Dormez bien !
Un lien vers l’étude de Harvard ?
Why We’re Not Hearing About COVID Vaccine Side Effects
“As tragic as those numbers are, these too represent an undercount, as the U.S. vaccine adverse event reporting system (VAERS) is a passive surveillance system that relies on voluntary reporting. Historically, less than 10% of vaccine side effects are reported to VAERS.(16) An investigation by the U.S. Department of Health and Human Services put it as low as 1%.(17,18)”
(16) BMJ 2005;330:433
(17) AHRQ December 7, 2007
(18) The Vaccine Reaction January 9, 2020
(Références dans les commentaires)
https://undercurrents723949620.wordpress.com/2021/05/13/why-were-not-hearing-about-covid-vaccine-side-effects/
VAERS, Underreporting, and the Mysterious 1%
Greg Nigh Jul 5
https://gnigh-66270.medium.com/vaers-underreporting-and-the-mysterious-1-5b4f9b109145
Il semble que l’étude du MIT citée partout ne donne que les nombres sans références.
On remarquera que les CDC, dont le système VAERS était l’objet de l’étude, a refusé toute amélioration de ce système.
D’aitres études (UK notamment) parlent de 10 %. C’est sans doute pourquoi d’autres experts placent le niveau de rapport entre 1 et 10 %. Il faudrait faire une recherche plus approfondie.
Même avec un taux de 10 %, le nombre d’effets secondaires devient impressionnant.
Voici une autre information :
May 1, 2015,08:50am EDT
Failing To Report Severe Drug Side Effects: A National Embarrassment
Luke Timmerman
Former Contributor
Pharma & Healthcare
I give biotech insiders an edge at Timmerman Report.
Extrait :
Une revue systématique qui a tenté de mesurer l’ampleur de la sous-déclaration a révélé que dans 37 études, dans 12 pays, le taux médian de sous-déclaration était de 94 %, selon les résultats publiés en 2006 dans la revue Drug Safety. Une autre étude publiée trois ans plus tard dans la même revue a révélé que la sous-déclaration des effets indésirables était principalement due à l’ignorance des médecins, à la peur d’avoir l’air ridicule en signalant simplement les effets indésirables suspectés des médicaments, à la procrastination, à l’indifférence, à l’insécurité et à la complaisance. Dans une logique tordue, les chercheurs ont découvert que de nombreux médecins ne signalaient pas les effets indésirables parce qu’ils pensaient que la FDA n’autorisait que les médicaments sûrs sur le marché. Apparemment, ces médecins ne comprennent pas que les régulateurs doivent obtenir leurs données de quelque part.
https://www.forbes.com/sites/luketimmerman/2015/05/01/under-reporting-of-severe-drug-side-effects-a-national-embarrassment/?sh=ef468c1251d8
Ma réponse n’a pas été publiée. Deux références pour le 1 %. D’autres experts donnent une fourchette de 1 à 10 %. Qui d’entre nous rapporte aux médecins les problèmes rencontrés avec certains médicaments, et combien de médecins font un rapport aux autorités sanitaires ? On ne se tromperait sans doute pas beaucoup en disant que ce nombre est presque nul. L’un des articles indique que les CDC ont refusé d’améliorer leur système de recueil d’effets adverses.
Why We’re Not Hearing About COVID Vaccine Side Effects
“As tragic as those numbers are, these too represent an undercount, as the U.S. vaccine adverse event reporting system (VAERS) is a passive surveillance system that relies on voluntary reporting. Historically, less than 10% of vaccine side effects are reported to VAERS.16 An investigation by the U.S. Department of Health and Human Services put it as low as 1%.17,18”
16 BMJ 2005;330:433
17 AHRQ December 7, 2007
18 The Vaccine Reaction January 9, 2020
(Références dans les commentaires)
https://undercurrents723949620.wordpress.com/2021/05/13/why-were-not-hearing-about-covid-vaccine-side-effects/
PS- Mon texte concaténé à la publication est difficile à lire !
Voici une autre référence intéressante :
Underreporting
Since VAERS is a passive system, it is inherently subject to underreporting. For example, a confidential study conducted by Connaught Laboratories, a vaccine manufacturer, indicated that “a fifty-fold underreporting of adverse events” is likely.13 According to David Kessler, former commissioner of the FDA, “only about one percent of serious events [adverse drug reactions] are reported.”14 Less serious vaccine adverse events (e.g., swelling, fever, or redness at the vaccination site) are more underreported than more serious vaccine adverse events (e.g., hospitalizations and death).15 The current analysis made no attempt to quantify underreporting due to age, type of adverse event, or other factor since only relative trends were utilized.
Réf. 13, 14 et 15 :
Institute of Medicine . Vaccine safety committee proceedings. Washington, DC: National Academy of Sciences, 11 May 1992, pp.40–41.
Google Scholar
________________________________________
Kessler, DA , the Working Group , Natanblut, S, Kennedy, D, Lazar, E, Rheinstein, P. Introducing MEDWatch: a new approach to reporting medication and device adverse effects and product problems. JAMA 1993; 269(21): 2765.
Google Scholar | Crossref | Medline | ISI
________________________________________
Rosenthal, S, Chen, RT. Reporting sensitivities of two passive surveillance systems for adverse events. Am J Public Health 1995; 85: 1706–1709.
Google Scholar | Crossref | Medline | ISI
________________________________________
Référence de l’article :
Relative trends in hospitalizations and mortality among infants by the number of vaccine doses and age, based on the Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), 1990–2010
GS Goldman, NZ MillerFirst
Published April 24, 2012 Research Article Find in PubMed
https://doi.org/10.1177/0960327112440111
https://journals.sagepub.com/doi/10.1177/0960327112440111
Le chiffre de 150000 n’est pas aberrant. Les effets secondaires, quelque soient les substances testées, sont rarement remontés par les professionnels de santé, pour des questions de procédure et de responsabilité. Beaucoup de médecins et de patients n’osent pas remonter les données, ne serait-ce que par la peur d’endosser la responsabilité, ou par déni. Il est cependant du devoir du médecin de remonter toute pathologie ou effet suspect suivant l’administration d’une drogue, de façon à éviter que d’autres patients suivent le même sort. En pharmacovigilance, on a l’habitude d’utiliser un facteur de 10 à 50 pour évaluer les effets réels, voire même 100 dans certains pays. Dr Sylvain B