Nous avions parlé à nos lecteurs de la défection de Dong Jingwei, maître-espion chinois. Nous avions à cette occasion rappelé l’expérience accumulée au cours de la période soviétique: les motivations des défecteurs sont souvent complexes: 1. Il ne faut jamais exclure une manipulation du parti communiste qu’ils disent fuir. 2. Ils ont tendance à faire de leur expérience directe une clé d’explication pour l’ensemble de la politique du régime qu’ils ont servi. 3. Ils sont souvent conditionnés par une forme d’analyse intellectuelle apprise au sein d’un parti communiste. or le communisme est un des plus évidents complotismes de l’histoire.
C’est pourquoi nous recommandons à nos lecteurs de la prudence face à une autre révélation fracassante d’un ancien communiste chinois, Wei Jingsheng. Il affirme que le SARS-Cov2 aurait été inoculé volontairement lors des Jeux Militaires Internationaux qui ont eu lieu à Wuhan en octobre 2019. Dans le documentaire de Sky News intitulé « What Really Happened in Wuhan », l’ancien communiste chinois a déclaré que le gouvernement de Pékin aurait profité des Jeux mondiaux militaires pour répandre le virus.
Pour information, cet événement a réuni 9.000 athlètes en provenance de différents pays du monde en octobre 2019, soit deux mois avant la déclaration officielle de l’existence du virus. Par ailleurs, cette rencontre sportive s’est tenue dans la ville de Wuhan, le premier foyer de l’épidémie.
A l’époque, toujours selon M Jingsheng, les participants à l’évènement, notamment les athlètes allemands, français et américains, ont été atteints d’une maladie mystérieuse. Ils présentaient les symptômes du Covid-19 mais n’ont jamais fait l’objet d’un test.
L’informateur chinois pense que la première épidémie a débuté à Wuhan lors des Jeux militaires et certains évènements ont tendance à confirmer ses allégations.
Que des militaires français en soient revenus avec ce qu’on allait appeler quelques mois plus tard le COVID 19, c’est aujourd’hui pratiquement établi. Cependant, comme nous l’avions expliqué à nos lecteurs avant l’été, l’épidémie de COVID 19 a commencé à Wuhan en plein coeur de l’été. Elle est selon toute vraisemblance, le résultat d’un accident de laboratoire. Et pendant presque cinq mois, le Parti Communiste Chinois a tout fait pour dissimuler ce qui s’était passé. C’est pour cela que les Jeux militaires internationaux se sont tenus comme si de rien était – et que des athlètes étrangers ont été contaminés.
Nous avons choisi de republier, mis à jour, la série d’articles que nous avions publiés à la mi-juin 2021 sur les origines du COVID. Aujourd’hui, deuxième volet, nous revenons sur le comportement de l’Armée chinoise.
Nous poursuivons aujourd'hui l'analyse des origines du COVID-19. Depuis la fin des années 1990, l'armée chinoise a beaucoup parlé de "guerre biologique". Mais, comme nous le montrons aujourd'hui, il y avait, jusqu'en 2017, loin du discours à la réalité en termes de recherche scientifique. En 2017, la recherche civile chinoise s'était enfin mise à niveau international et obtenait la reconnaissance de l'OMS pour ouvrir un laboratoire dit "P4" à Wuhan. Aussitôt l'Armée Populaire de Libération s'est installée également à l'Institut de virologie de Wuhan pour profiter de la recherche civile. Mais la pression mise sur les civils par l'Armée et le Parti pour obtenir des résultats rapidement a obtenu le contraire de l'effet recherché. Depuis le déclenchement de la crise du COVID 19 - et malgré les efforts diplomatiques de la Chine - tous les regards sont tournés vers Wuhan. Pour limiter les dommages, l'Armée a pris complètement le contrôle du P4.
L'Armée chinoise parle depuis vingt ans de "guerre biologique" mais n'en avait pas les moyens
C’est ce que voudrait nous faire croire le titre sensationnel d’un article du Daily Mail, qui s’appuie en fait sur un autre article de The Australian:
« La Chine préparait une troisième guerre mondiale avec des armes biologiques – y compris des coronavirus – il y a six ans, selon un dossier produit par l’Armée de Libération Populaire et découvert par le Département d’Etat américain. »
Les auteurs du document chinois insistent sur le fait qu’une troisième guerre mondiale « sera biologique », contrairement aux deux premières guerres qu’ils qualifient de respectivement « chimique » et « nucléaire ». Curieux résumé: il y a bien eu l’utilisation de gaz lors de batailles de la Première Guerre mondiale mais ce ne fut pas l’essentiel de la guerre; quant à la bombe nucléaire, elle ne fut pas utilisée avant la fin de la Seconde Guerre mondiale et par un seul pays. Il parait donc difficile de mettre les armes biologiques au centre d’une hypothétique nouvelle guerre mondiale. En fait, ce qui fait frétiller les journalistes du Daily Mail, c’est la volonté affirmée de l’Armée chinoise, en 2015, de déclencher une attaque qui entraînerait un afflux de patients nécessitant un traitement hospitalier, ce qui « pourrait provoquer l’effondrement du système médical de l’ennemi. Mais nos pays n’ont pas eu besoin du COVID-19 pour voir leurs hôpitaux engorgés. C’est le cas, tous les hivers depuis des années lors des poussées de grippe.
On peut bien entendu s’emballer, évoquer la « guerre hors limites » selon le célèbre titre d’un ouvrage de Qia Liang et Wang Xianghui paru en février 1999. C’était l’époque un peu folle ou les USA se voyaient comme la seule hyperpuissance, bombardaient la Yougoslavie, ripostaient à l’attaque du World Trade Center en lâchant des « faucheuses de marguerite » sur les massifs montagneux afghans limitrophes du Pakistan et inventaient des armes de destruction massive en Irak pour justifier leur attaque. C’est à cette époque aussi que le Ministre de la défense chinois, Chi Haotian prononçait un discours pour expliquer que la Chine devrait être plus rationnelle que le 3è Reich pour faire avancer ses objectifs face à l’Occident.
Mais tout cela a relevé pendant longtemps du discours. Cela fait en fait plus de vingt ans que l’armée chinoise réfléchit au thème de la « guerre biologique » Et il est facile d’en déduire un syllogisme erroné: l’armée chinoise avait marqué de l’intérêt pour les coronavirus depuis 2015. C’est un coronavirus qui a causé l’épidémie de COVID-19. Donc c’est l’armée chinoise qui a déclenché la pandémie.
En fait les auteurs de l’article du Daily Mail veulent rester prudents. Ils évoquent un climat d’inquiétude aux Etats-Unis quant à la possibilité d’un « accident de laboratoire à Wuhan » qui serait à l’origine du coronavirus planétaire. « De hauts responsables gouvernementaux ont déclaré que cela « soulève des inquiétudes majeures » quant aux intentions des proches du président chinois Xi Jinping, dans un contexte de craintes croissantes quant à l’absence de réglementation de l’activité des laboratoires dans le pays« .
Comment l'Armée chinoise, en mettant la pression sur la recherche civile a braqué les yeux du monde sur Wuhan
Tournons-nous à présent vers notre enquêteur favori, le Professeur Joseph Tritto. Il recense toutes les publications de militaires chinois consacrées à la question de la « guerre biologique » depuis les années 1990. Mais il souligne le décalage entre les discours militaires et la réalité des capacités scientifiques chinoises jusqu’à récemment. L’Armée chinoise n’avait absolument pas les moyens de développer des armes biologiques comme elle en avait l’ambition. Il a fallu pour cela passer par le détour de la recherche civile et l’acquisition des technologies appropriées, maîtrisées aux Etats-Unis et en Europe, en particulier, ce qu’on appelle le « gain of function« : il s’agit d’une technique qui modifie un organisme (en l’occurrence un virus) ou une maladie d’une manière qui augmente la pathogenèse, la transmissibilité ou la gamme d’hôtes (les types d’hôtes qu’un micro-organisme peut infecter). L’espoir de l’Armée chinoise est d’être bientôt à la pointe de ce type de recherches pour se préparer à une éventuelle « guerre biologique ».
C’est là que l’ouverture du laboratoire « P4 » au sein de l’institut de virologie de Wuhan était cruciale du point de vue du régime chinois et de l’Armée. Nous raconterons demain comment la France et les Etats-Unis ont aidé les chercheurs civils chinois à acquérir cette technologie. Mais ce qu’il faut bien comprendre c’est que le label de l’OMS et l’autorisation d’ouverture du P4 de Wuhan par le gouvernement chinois, obtenus en 2017,étaient, du point de vue de l’ambition scientifique (et militaire) chinoise un début et non un aboutissement. La Chine pouvait désormais jouer dans la cour des grandes nations scientifiques.
A l’abri de la recherche civile, l’APL a installé son propre laboratoire. La Chine allait pouvoir se mettre à fabriquer les armes de la guerre du futur, en profitant de la recherche de niveau international menée à Wuhan. Mais il est essentiel de comprendre que l’Armée dépendait de la recherche civile ! L’équipe de scientifiques concernée a été de ce fait soumise à la pression de l’Armée soucieuse d’aller vite pour fournir les « gains de fonction » qui permettraient ensuite de développer des armes. Joseph Tritto raconte comment les chercheurs civils chinois ont fait des manipulation de plus en plus dangereuses, sous la double pression du rattrapage de l’Occident et des attentes de l’Armée .
Et voilà qu’au mois d’octobre 2019, des satellites américains repéraient une activité inhabituelle autour des hôpitaux de Wuhan. Nous verrons ce que l’on peut reconstituer d’un enchaînement fatal. Soudain, le Parti Communiste Chinois et l’Armée obtenaient le contraire de ce qu’ils avaient voulu. Au lieu de permettre à l’APL de travailler discrètement à l’abri de la recherche civil, la Chine communiste voyait soudain tous les regards se tourner vers Wuhan pour se demander ce qui s’était vraiment passer. Pendant un an, la capacité d’influence chinoise, en particulier sur l’OMS, aura réussi à maintenir la thèse d’un virus purement naturel. Mais aujourd’hui la thèse ne tient plus.
(A suivre)
1 Ce cochonavirus est le faux-nez de la crise phynancière que les « élites » occidentales ont laissée se développer en ne déclarant pas faillies les banques toubiguetoufaile.
2 Que le virus soit apparu en Chine à Wuhan ne signifie pas que là était son origine.
3 Nous avons maintenant l’habitude de l’intox du type Tavistock pour devoir prendre avec la plus extrême prudence ces désignations de « l’ennemi » ou du « fautif responsable ».
Ouais, il reste quand même 3000 pages d’E-mails de Fauci, la preuve d’un financement américain, la censure des réseaux sociaux sur le sujet . On peut penser ce que l’on veut de la non gestion de la crise de 2008 par les gouvernements, on n’en dira jamais assez de mal comme toutes les fois où l’on met la poussière sous les tapis mais ça n’explique pas tout . Par contre, il n’est absolument pas exclu que ce ne soit qu’un nuage de fumée destiné à détourner l’attention d’autre chose . Il y a eu un tel paquet de saloperies pendant l’épidémie de covid à travers sa gestion hasardeuse et contraire, en UE comme aux USA, aux intérêts des peuples qu’on a surtout l’embarras du choix comme cause d’une éventuelle diversion . Refus de traitements, vaccins qui n’en sont pas, qui plus est expérimentaux, confinements contre productifs, couvre feux injustifiables, si les choses tournent mal il y a de quoi envoyer tous nos polytocards en galére pendant quelques décennies, plus un bon paquet de parasites qui gravitent autour de la fosse à merde .
On peut aussi renverser la proposition en pensant que les occidentaux, dont notamment les USA, qui ont agi au sein du labo P4 de Wuhan, ont en fait chercher à reproduire le cheval de Troie, de façon à affaiblir la puissance de la Chine de l’intérieur sans prévoir ni imaginer que le virus se répandrait dans le monde entier.
Après l’idéologie funeste de la Ligne Maginot qui a enrichi les entrepreneurs du BTP corrupteur, il est par vos propos cruel de retourner le couteau dans la plaie en idéalisant que nos élites bureaucratiques puissent être dotées d’un gramme de pragmatisme lucide. De bon sens paysan pour résumer.
Regardez la dette souveraine française accumulée depuis 40 ans et vous comprendrez aisément que l’intelligence tant vantée de notre formation élitaire n’est pas établie pour accéder même momentanément au classement PISA de la meilleur gouvernance !
Par contre, au niveau de l’arrogance intellectuelle idéologique détachée du réel, je persiste à dire que la France fait la course en tête depuis bien longtemps, hors de portée d’ailleurs de ses poursuivants.
On se console comme on peut en France, le Coq s’égosille sur son tas de fumier. A l’image de nos élites, nous parlons plus que nous n’agissons.
Chacun son talent dans la gloire du monde et qui remplit nos bibliothèques comme legs à l’humanité. Il y a là des perles !
« La nature compense presque toujours le tort qu’elle fait aux sots par une dose plus forte d’amour-propre : plus ils sont ridicules et désagréables plus ils se croient de mérite. »
Louis Charles Fougeret de Monbron (1706-1760), homme de lettres français
« En France, on laisse en repos ceux qui mettent le feu, et on persécute ceux qui sonnent le tocsin. »
« On court le risque du dégoût quand on voit comment se préparent l’administration, la justice et la cuisine. »
Sébastien-Roch Nicolas de Chamfort (1741-1794), poète, un journaliste et un moraliste français
« Ce que l’Etat encourage dépérit, ce qu’il protège meurt. »
Paul-Louis Courier (1773-1825), pamphlétaire français
« Les diplomates ne sont bons que par beau temps fixe. Lorsqu’il pleut, ils se noient dans une goutte d’eau. »
« Les gens de gauche ont rarement de grands projets. Ils font de la démagogie et se servent des mouvements d’opinion. La gauche tire le haut de la société vers le bas, par idéal d’égalitarisme. C’est comme cela que l’on a finit dans l’abîme en 1940… Les socialistes sont d’éternels utopistes, des déphasés, des apatrides mentaux… Ils
gaspillent toujours la plus grande partie des crédits. On ne les jamais vus dépenser efficacement les crédits… Je n’aime pas les socialistes, car ils ne sont pas socialistes…Parce qu’ils sont incapables, ils sont dangereux… »
« Une porte a livré passage à tous les malheurs qui frappèrent la France à travers son histoire ; C’est la porte où avaient fui les enseignements du passé ! La fin de l’espoir est le commencement de la mort. »
Charles de Gaulle (1890-1970), militaire, résistant, homme d’État et écrivain français
Il n’y a pas que la puissance de la Chine qui est visée, c’est la puissance de tous les pays non alignés sur l’Empire anglo-yankee, d’où les « éclaboussures » hors de Chine qui n’en sont probablement pas, mais plutôt des « secondes » frappes, qui malheureusement, elles, ont débordées.
qui a envoyé le cheval de Troie
qui y gagne ?
suivez la monnaie … !
Qui y gagne? Bonne question à laquelle on a un peu de mal à répondre si l’on se cantonne à faire une fixette sur l’argent seulement . A intérêts multiples, réponses multiples, argent, pouvoir, idéologie, sans doute un peu des trois selon les intervenants . La seule chose dont on peut être sûr c’est que si nous laissons faire le dindon de la farce est tout trouvé, c’est nous, et aucun parti politique, tous à la dérive, ne nous offre de solution crédible .
De mon point de vue qui n’engage que moi, après la lecture du prophétique « Quand la Chine s’éveillera… » d’Alain Peyrefitte (1973), on reste confondu et interdit pour le peu d’estime voire le mépris qu’on est en droit d’avoir pour la formation arrogante des élites françaises progressistes postérieures au Gaullisme, encore moins pour celle de l’IEP de Paris et de l’ENA version « power flower ». L’acmé du ridicule « qui tue » ayant été incarné par feu Richard Descoings.
Passé ce constat. Il y a une généalogie de la passivité, de l’incompétence, de la corruption, de la collaboration intrinsèque au sommet de l’Etat français, selon l’adage « Le Poisson pourrit toujours par la tête ». Le planisme comme toile de fond. Il serait utile, postérieurement à cette série probablement passionnante d’articles sur l’origine du covid, qu’Eric Verhaeghe s’attache à nous décrire les dérives successives des renoncements depuis la mort du Grand Charles en 1969. C’est dans sa capacité d’analyse et celle d’Edouard Husson que nous pourrons affermir nos convictions pour le futur d’une République constitutionnelle réformée. Le chantier est immense, quand bien même nos générations baby-boomeuses mais non soixante-huitardes ne verront certainement pas le terme de cette Renaissance quand la première s’est étalée bien au-delà d’un siècle.
Mais pourquoi faire le procès de la Chine ici ? La Chine fait son travail de progression hégémonique comme elle l’a toujours fait depuis Sun Tzu. Maître incontestée dans le Jeu de Go, à quoi d’autre pouvions-nous nous attendre ? Faut-il être désormais estampillé abruti pour exercer au sommet de l’Etat français, et signer un contrat de laboratoire P4 en espérant que la Chine en usera de manière vertueuse pour la santé de ses concitoyens ? Après le laogaï et les 50 millions de morts du Grand Bon en Avant ? Déjà, alors que l’acte d’accusation est en train d’accéder à la surface des méninges des dirigeants « néo complotistes » occidentaux éconduits pitoyablement par la stratégie de Pékin, se vengeant par ailleurs infantilement de leur « échec et mat » sur leurs propres peuples alors qu’on aurait aimé que leur hypothalamus primitif n’ait pas été euthanasié par l’idéologie dévitalisante du progrès, à quoi sert-il de former des élites qui, de Ligne Maginot en « transferts de technologies », font tout pour anéantir leur pays par la traîtrise, ou le « rêve suranné d’un monde meilleur » post carboné, à côté d’une somme d’incompétence et de désintérêt pour faire face à l’amour de l’onctuosité corruptrice de l’Extrême-Orient, le tout avec le sentiment débile de défendre les intérêts typiquement français (des petits fours) par des France China Foundations et ses Youngs Leaders qui endorment la vigilance des « éloims », via des joint ventures admirablement vantées par AmbaFrance Pékin alors qu’il s’agit pragmatiquement pour le PCC de siphonner les derniers restes d’indépendance stratégique d’une France à bout de souffle.
Il serait donc passionnant qu’Eric Verhaeghe s’attache à nous décrire les dérives successives des renoncements divers depuis la mort du Grand Charles.
Quand je vois l’honneur pompeux des suicidaires discours des « élites » françaises à l’étranger, installant glorieusement en 2017 un Laboratoire P4 à Wuhan en grandes pompes, je me dis que la France est très proche d’une nouvelle débâcle. Parce que, comme le disait un de mes amis très retraité proche du renseignement militaire, « nous avons dépassé depuis longtemps les Accords de Munich ».
Avons-nous fini de boire le calice jusqu’à la lie alors qu’un exemplaire dudit laboratoire P4 aurait été promis à nos « alliés » islamo-arabo-saoudiens par le régime hollando-macronien ?
« Visez l’iceberg, cher ami, visez bien ! »
Cf. Pierre Conesa sur Thinkerview.
(…) J’ai coprésidé avec le ministre de la santé chinois le comité franco-chinois sur les maladies infectieuses ; nous avons créé un laboratoire P4 à Wuhan en Chine. On n’imagine pas l’hostilité que ce projet a soulevée en France : on imaginait une fabrique de virus qui allaient être déversés sur l’Occident… La coopération est fondamentale, mais il ne faut pas négliger l’impact, en politique internationale, de la connaissance des agents pathogènes. (…)
M. Alain Mérieux, président de la Fondation Mérieux.
In chapitre : L’ATELIER DE PROSPECTIVE DU 24 MAI 2012/ RAPPORT SENAT 2012
A quand la lecture des mails de Mérieux ?
Source et liens svp ?
Chinois, russes, américains, iraniens aussi sans doute et l’Europe qu’on le veuille ou non, tous les continents ont des labos où l’on joue aux apprentis sorciers : plus besoin d’armement ni même d’hommes, un petit virus – l’un pour l’humanité, l’autre pour la technologie – et le monde est foutu.
Je ne sais pas si nous aurons un jour l’apocalypse mais dont je suis sûre est bien que nous en serons les seuls responsables.
La course au nucléaire durant la Guerre Froide a généré similaire psychose mondiale, je m’en souviens fort bien dans mon enfance. J’aide aujourd’hui mes enfants et ceux des autres à ne pas psychoter inutilement, car la mortalité du Sars-cov-2 est quasi nulle ou équivalente à l’Influenza.
La malaria et la bilharziose ont tué bien plus pendant des décennies dans l’indifférence crasse de l’Occident.
Aujourd’hui ce n’est pas le virus SARSCOV 2 qui est dangereux mais les pseudo-sérum toxiques appelés « vaxins » que l’on inocule par millions de doses aux populations mondiales y compris aux enfants qui ne sont pas concernés par la pandémie, le tout sous la passivité létale des médicastres vaccinateurs qui appliquent une politique aveugle dont Hitler aurait rêvé !… notre folie collective irresponsable est sans limite parce que sans conscience!
La réalité est, comme d’habitude, bien plus complexe que ce raisonnement qui bien que logique, ne peut pas prendre en compte ce qu’il ignore, comme par exemple la recherche de guerre bactériologique qui a lieu depuis maintenant 50 ans en dehors de tout contrôle, dont celui du gouvernement actuel (et, une fois de plus, avec une intervention américaine à la base, du temps de Mao cette fois-ci).
C’est d’ailleurs cette recherche qui a débouchée sur la fuite du H1N1 en son temps, car heureusement, malgré le temps qu’ils ont eu devant eux, les Chinois n’ont pas trouvé grand chose, sinon, la crise du H1N1 aurait bien pu être la dernière du genre humain, car ils sont tout aussi tarés que les autres.
Le SARS-Cov-2, c’est tout autre chose, en fait, une externalisation des recherches sur les gains de fonction par un pays qui les a fait interdire définitivement en 2014, nommément, les usa – c’est pour ça que Faucille (qui est marteau) payait le BL4 de Wuhan, donnant en même temps, la clé qui leur manquait aux militaires Chinois pour développer des armes bactériologiques efficaces – c’est donc une arme à deux coups, le premier dont nous voyons les effets actuellement, qui est et reste bénin, et le second, qui dépendra de ce que les militaires vont faire de ce savoir – autant dire tout de suite qu’ils vont faire bien pire et qu’il y a du mouron à se faire pour les décades à venir…