La vaccination obligatoire contre le COVID doit être débattue la semaine prochaine au Sénat. Ce débat devrait donner lieu à une passe d'armes biaisée et hystérisée sur un sujet de santé publique qui mérite mieux que le clivage binaire et manichéen imposé par les talibans du vaccin. En particulier, on voit mal comment concilier raisonnablement le principe de précaution inscrit dans la Constitution avec l'obligation de recevoir un vaccin qui a moins de deux ans d'existence. Le législateur est-il encore crédible s'il ne débat pas de ce projet sous l'angle des sacrifices humains qu'il risque d'imposer sans bénéfice sanitaire absolument sûr et incontestable ?
La vaccination obligatoire contre le COVID est, depuis plusieurs mois, au coeur du débat public en France, soit explicitement (avec la proposition de loi socialiste qui sera débattue au Sénat à la semaine prochaine), soit implicitement ou en ombre chinoise, avec le passe sanitaire, outil de coercition et pour ainsi dire succédané de l’obligation vaccinale. Au demeurant, la France n’est pas le seul pays industrialisé où ce débat hante les esprits. On l’a vu en Italie, aux Etats-Unis, et ailleurs : l’idée de vacciner à grande échelle est semée dans les esprits.
Vaccination obligatoire contre le COVID : un débat manichéen hystérisé
Vacciner massivement les populations apparaît, si l’on écoute les partisans du vaccin (soutenus largement par l’industrie pharmaceutique et ses méthodes d’influence médiatique), comme une décision simple à prendre, une décision de progrès qui ne permet pas seulement de faire reculer la maladie, mais qui permet aussi d’endiguer l’obscurantisme, l’ignorance, la résistance à la civilisation, en quelque sorte. C’est largement sur cette vision binaire que s’appuient chaque jour les ayatollahs du vaccin pour justifier leur position.
Les sophismes qui sont utilisés dans ces “éléments de langage” sont connus depuis l’Antiquité. Ils procèdent tous par l’imposture selon laquelle le vaccin contre le COVID, qui ne dispose aujourd’hui que d’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle, serait aussi sûr que les vaccins les plus anciens. Au fond, le débat mené sur ce sujet fonctionne par l’amalgame manichéenne, hystérisante, clivante, selon laquelle tout doute sur un vaccin expérimental signifierait que l’on est, par principe et de toute éternité, contre toute forme de vaccination.
Ce simplisme prospère grâce à des idéologues sectaires qui transforment cette question majeure de santé publique en débat d’opinions : nous sommes intimés d’être pour ou contre la vaccination, comme on peut être pour ou contre l’augmentation des impôts, ou la baisse des déficits, ou la signature d’un traité de libre-échange. Au fond, la vaccination obligatoire est devenue un enjeu moral, et l’on peut féliciter ses défenseurs d’avoir transformé cette très grave question de santé publique, cette question de précaution scientifique, en une simple affaire d’avis qu’on s’échange au café du commerce ou sur les plateaux de télévision. C’est une très belle opération de manipulation des foules qui a réussi.
Mais le vrai débat (et eux-mêmes le savent) est ailleurs. Ce que nous devons trancher aujourd’hui n’est pas d’être pour ou contre le progrès, d’être pour ou contre la médecine, l’allopathie, le vaccin, l’ARN Messager, mais de savoir si oui ou non nous mettons inutilement ou témérairement des vies en danger en obligeant toute la population à recevoir ce vaccin sans connaître tous les risques que nous lui faisons courir, et sans connaître les bénéfices exacts que nous en retirerons. C’est bien l’application du principe de précaution à la santé des Français qui est en cause.
Sommes-nous prêts à des sacrifices humains ?
La question de la vaccination obligatoire contre le COVID n’est pas une question morale ou idéologique. Ce n’est pas un débat de société. C’est un problème de précaution scientifique qui peut causer la mort, le sacrifice, de dizaines de milliers de vies si nous nous trompons, et peut-être même plus.
En l’état actuel, nous avons déjà tout lieu de penser que le vaccin contre le COVID tue massivement. Bien évidemment, le climat délétère de terreur instauré autour de ce sujet interdit de crever l’abcès. Mais les chiffres du Center of Disease Control, la CDC américaine, éveillent très fortement le soupçon : à près de 400 millions d’injections, les autorités américaines reconnaissaient, le 27 septembre, sur 9 mois de vaccination, donc, que 8.164 décès rattachables au vaccin étaient signalés. Certes, la CDC ne se prononce pas sur l’imputabilité réelle de ces décès à la vaccination.
Il n’en demeure pas moins que le gouvernement américain reconnaît officiellement plus de 8.000 suspicions de décès sur son territoire après 400 millions d’injections. Autrement dit, avec près de 100 millions d’injections en France à ce jour, nous pourrions compter 2.000 morts imputables aux mêmes vaccins.
Le débat sur l’obligation vaccinale ne porte donc pas sur le combat du bien contre le mal. Il se résume, au fond, à celui de décider de la mort plausible, imaginable, anticipable de 2.000 personnes pour en sauver un nombre hypothétique d’autres. Et c’est cette décision-là qui est en discussion.
Encore le chiffre des morts, cachent-ils le chiffre des personnes qui tomberont malades, gravement ou non, du fait de la vaccination. Aux Etats-Unis, les autorités reconnaissent entre 800 et 2.000 cas de chocs anaphylactiques, et bien d’autres effets secondaires. En France, l’ANSM reconnaît un peu plus de 20.000 cas d’effets secondaires graves du fait des vaccins, sans préciser le nombre de décès.
Ces chiffres ne sont pas issus d’élucubrations complotistes. Ils proviennent des données officielles, que beaucoup considèrent comme très au-dessous de la réalité. Mais sans entrer dans cette polémique, il suffit de lire les données publiques publiées par les autorités sanitaires pour se demander si un gouvernement, un parlement, une assemblée élue, ont le droit d’obliger tous les citoyens à subir un vaccin qui met leur vie et leur santé en péril de façon aléatoire.
Sommes-nous prêts à décider des sacrifices humains pour enrayer l’épidémie ?
La vaccination obligatoire contre le COVID, une terrible régression morale
Nous avons tous bien entendu que des esprits très très “légers” réduisent le débat sur la vaccination obligatoire à une lutte du progrès contre l’obscurantisme, qui ne supporte aucune forme de doute. Les partisans de l’intelligence sont supposés approuver l’obligation vaccinale sans mollir, comme si le doute, au pays de Descartes, était devenu le symbole de la bêtise, et le dogme le symbole de la raison.
Ce dogmatisme binaire caractéristique de notre époque, où le débat public est biaisé par des lobbys et des influences souterraines, illustre le profond déclin intellectuel de l’Occident. Car même aux heures les plus sombres de notre époque, jamais la haine et le simplisme, et encore moins l’insouciance pour la vie humaine, n’ont atteint ce niveau.
On en veut pour preuves la tempête que les décès de 72 enfants à Lübeck en 1930, du fait de la vaccination contre la tuberculose, avaient créée. La tuberculose était pourtant une maladie aussi terrible, peut-être plus, que le coronavirus. Mais le seul fait que l’inoculation du vaccin tue quelques dizaines d’enfants avait suffi pour que le processus de vaccination soit bloqué pendant plus de 10 ans.
Précisons que le fameux BCG existait alors depuis 10 ans, et qu’il résultait d’études menées depuis les années 1880. Lorsque la campagne de vaccination s’arrête du fait du scandale survenu en Allemagne, l’Europe s’apprête alors à sombrer dans le nazisme et dans les pires tragédies de l’histoire. Malgré cela, quelques dizaines de morts suffisent à indigner les populations et à bloquer la vaccination pendant vingt ans…
La suspension sans traitement des soignants non-vaccinés est le pire recul social en France depuis 1945. Soutenez-les, aidez-les, signez la pétition pour obtenir un moratoire sur cette mesure…
Objectif : 500.000 signatures !
Comment qualifier notre époque, où des gouvernements sont capables d’imposer un vaccin dont on reconnaît qu’il peut causer des milliers de morts, des dizaines de milliers de cas d’effets secondaires graves, en phase expérimentale ? Puisque, répétons-le, les vaccins contre le COVID ne bénéficient que d’une autorisation conditionnelle, preuve que les autorités sanitaires manquent de recul sur leur nocivité. Ils ne sont donc pas “définitifs”, et bénéficient en tout cas de beaucoup moins d’ancienneté que le BCG lorsque l’Allemagne pré-nazie a décidé d’en bloquer l’administration. Difficile d’imaginer que cette religion du sacrifice s’appelle le progrès. En tout cas, ce n’est pas comme cela que nous l’imaginions.
Un bénéfice-risque non prouvé aujourd’hui
Nous connaissons tous l’argument officiel utilisé pour justifier ces sacrifices humains dignes des plus vieilles tribus gauloises : c’est pour sauver le groupe et gagner l’immunité collective qu’on offre des innocents aux dieux. Et nous connaissons tous la justification annexe des sacrifices : le bénéfice-risque du vaccin est toujours positif. C’est comme si on expliquait à un poilu sur le front à Verdun qu’il vaut mieux jouer à la roulette russe que d’attaquer les lignes allemandes, car le risque de mourir à la roulette est inférieur à celui de mourir sous une balle allemande.
Mais sommes-nous bien sûrs de ces affirmations ?
Selon la communication officielle du gouvernement (qui ne repose sur aucune documentation vérifiable de façon démocratique), le COVID a tué plus de 100.000 personnes en France. Nous avons tous compris que nous vivons désormais sous l’injonction de ne jamais remettre en cause les chiffres du gouvernement, même lorsqu’ils ne reposent sur aucune preuve. Mais enfin, l’INSEE a publié un constat très différent, affirmant que, en 2020, la France avait connu une surmortalité de 55.000 personnes seulement.
Nous n’entrerons pas ici dans une querelle de chiffres où les binaires vaccinolâtres crient sans cesse au complot des complotistes. Mais il est indispensable de rappeler que la comptabilité officielle est tout sauf mathématique. Nous avons tous en tête des cas de décès déclarés “COVID” dont étaient victimes des malheureux porteurs de multiples morbidités. Et beaucoup ont été étonnés d’apprendre qu’un proche ou une connaissance malade de cancer depuis longtemps était déclaré mort du COVID.
On comprend bien l’utilité qu’il y a eu pour nos gouvernants à gonfler les chiffres du COVID, à dramatiser sa gravité, pour justifier des mesures liberticides d’exception. Il n’en reste pas moins que les statistiques peinent à étayer raisonnablement ces chiffres. Selon toute vraisemblance, le COVID a de toute façon très faiblement tué chez les moins de 70 ans.
Il faut, sur ce graphique, retenir la barre rouge carmin sur chaque tranche d’âge. Elle montre clairement que, en 2020, par rapport en 2019, la France a connu une sous-mortalité forte sous 25 ans, une très légère sous-mortalité entre 25 et 49 ans, et une surmortalité de 2,5% environ jusqu’à 59 ans.
Compte tenu des variations annuelles habituelles, on peut considérer que la seule catégorie de population où la France a connu une surmortalité avérée du fait du COVID est la tranche des plus de 70 ans. Autrement dit, sous les 70 ans, les Français n’ont pas de raison objective de mettre leur vie en danger en se vaccinant, puisque l’épidémie n’a pas causé de surmortalité dans leur catégorie.
Aucune statistique officielle ne peut en tout cas prouver de façon significative, claire et évidente, qu’une personne de moins de 70 ans a plus intérêt à risquer sa vie en se vaccinant qu’en attrapant le COVID.
L’imposture de l’immunité collective
Nous devons ici faire un sort particulier à la question de l’immunité collective, qui sert de clé de voûte pour ainsi dire céleste à la vaccination obligatoire. Selon cette théorie qui se résume en réalité en quelques lignes d’un simplisme mathématique déconcertant, si déconcertant qu’on peut douter de son sérieux, il faudrait vacciner 80% de la population pour immuniser celle-ci contre le COVID. Notons ici que l’immunité collective n’a jamais été sérieusement débattue dans aucune instance. Elle fait partie des données acceptées comme telles dans le débat, sans que nous ne sachions au juste pourquoi tout le monde la répète.
Mais supposons que ce que nous pensons être une imposture inspirée d’une digestion tardive de la pensée hégélienne (et de la théorie de l’Etat corps unique sublimant tous ses membres) soit crédible, elle pose un problème scientifique majeur. En effet, l’immunité collective n’est tangible que si le vaccin utilisé pour l’obtenir est efficace et permet effectivement de protéger 80% de la population.
Or, de l’aveu même des promoteurs de l’immunité collective, le vaccin ne fonctionne qu’à 50 ou 60%, ce qui met l’immunité collective hors de portée de nos sociétés. Ce chiffre de 50 à 60% de réussite du vaccin, qui signifie en réalité que le vaccin ne fonctionne qu’une fois sur deux, c’est-à-dire qu’il n’empêche pas d’être contaminé et de contaminer les autres, n’est lui non plus tiré d’aucune obscure publication complotiste. Il est attesté en France par deux publications officielles ou quasi-officielles.
La première provient de l’Institut Pasteur, grand adepte de la vaccination pour tous qu’on ne peut soupçonner de proximité de vue avec les complotistes. Voici ce qu’écrit notre Institut national le 6 septembre 2021 :
Dans notre nouveau scénario de référence, nous faisons l’hypothèse que le nombre de reproduction de base R0 est égal à 5 (contre R0=4 dans l’analyse de juin), que le risque d’hospitalisation augmente de 50% pour les personnes infectées par le variant Delta et que la vaccination diminue le risque d’infection de 60% pour le variant Delta (contre 80% dans l’analyse de juin).
Autrement dit, une personne vaccinée risque quand même d’être hospitalisée à cause du COVID, et son risque d’infection est simplement diminué de 60% par le vaccin.
Le Conseil Scientifique a lui de son côté produit des chiffres inquiétants sur le sujet dans le courant du mois d’août. Ils sont encore plus accablants que les chiffres de l’institut Pasteur :
Par ailleurs, les vaccins, bien que protégeant efficacement contre les formes graves (90%),
ont une efficacité limitée vis-à-vis de l’infection par ce variant Delta, avec une protection
vaccinale contre les formes symptomatiques de l’infection estimée initialement à 80-90%, puis
plus récemment autour de 50%. Les personnes vaccinées infectées étant elles-mêmes
capables d’infecter leur entourage, mais sur une durée plus courte comparées aux personnes
non-vaccinées infectées.
Pour traduire ce passage volontairement énigmatique en termes clairs, il signifie que, dans un cas sur deux, une personne qui a reçu deux doses de vaccins peut quand même déclarer une forme symptomatique de l’infection. Autrement dit, le vaccin ne la protège qu’une fois sur deux contre une forme réelle de la maladie. Nous sommes loin ici d’un vaccin qui empêche d’être malade. Selon les sources officielles, le vaccin réduit le risque d’être malade et le risque d’être hospitalisé, mais il est très loin de le supprimer.
La conséquence concrète de cet échec vaccinal est simple à comprendre : même en vaccinant 80% de la population, le virus continuera à circuler et à faire des malades, et même probablement des morts. Nous avons déjà cité le nombre de personnes décédées du COVID au Royaume-Uni alors qu’elles étaient vaccinées.
Ces éléments tous issus de sources officielles connues pour leur frilosité en matière d’aveux dérangeants sur l’inefficacité du vaccin montrent combien le mythe selon lequel des sacrifices humains seraient nécessaires pour sauver le groupe repose sur du sable. C’est une imposture qui permet de vendre des vaccins en masse, qui enrichit les laboratoires pharmaceutiques, mais qui ne correspond à aucun intérêt sanitaire réel.
La propagation de la maladie en Israël, pays pionnier de la vaccination de masse, le prouve abondamment.
Vaccination obligatoire contre principe de précaution
En conclusion, il faut raisonnablement poser la question de la vaccination obligatoire dans des termes différents de ceux où il est posé par ses partisans.
Non, ce n’est pas un débat pour ou contre le vaccin. Non, ce n’est pas un débat pour ou contre le progrès médical. C’est un débat sur le principe de précaution et sur les risques mal calculés, mal connus, que nous faisons prendre à des innocents en les obligeant à recevoir un vaccin encore sous autorisation de mise sur le marché conditionnelle (AMM).
Ce qui est en jeu ici, ce n’est pas donc pas un combat entre la vérité et le mensonge. C’est un combat entre le dogme et le doute.
Sauf à être coupablement inféodé à l’industrie pharmaceutique qui vend très cher ses produits douteux, on ne peut raisonnablement défendre l’idée que ces vaccins soient vraiment efficaces et qu’ils nous apportent un gain collectif justifiant la sacrifice d’innocents, quel que soit leur nombre, puisqu’on ne sait (faute de transparence officielle) s’ils se comptent en centaines, en milliers, ou en dizaines de milliers. Et sur ce point, le refus systématique de procéder à des autopsies sur les décès suspects, qui est rapporté de toutes parts, ne peut que comporter le soupçon du public sur l’embarras du pouvoir face au coût humain réel de sa politique sanitaire.
Mais qu’importe le nombre. Qui est prêt à sacrifier son fils, sa fille, son mari, son épouse, l’un de ses parents, à une politique fondée sur le mythe de l’immunité collective qui serait atteinte grâce à un vaccin qui n’empêche pas d’attraper le virus, de tomber malade et de contaminer les autres ?
Rappelons ce que dit le principe constitutionnel de précaution, exposé dans l’article 5 de la Charte de l’Environnement (qui fait partie du “bloc de constitutionnalité”) :
Lorsque la réalisation d’un dommage, bien qu’incertaine en l’état des connaissances scientifiques, pourrait affecter de manière grave et irréversible l’environnement, les autorités publiques veillent, par application du principe de précaution et dans leurs domaines d’attributions, à la mise en œuvre de procédures d’évaluation des risques et à l’adoption de mesures provisoires et proportionnées afin de parer à la réalisation du dommage.
Appliqué au domaine de la santé et de la vie humaine, ce principe que nous appliquons déjà aux herbicides et aux OGM, oblige le gouvernement à évaluer les risques qu’il fait courir aux Français en lui imposant la vaccination, et l’oblige à éviter la “réalisation du dommage”, c’est-à-dire la perte tragique de vies humaines. Nous demandons aujourd’hui à ce que ce principe de précaution soit appliqué aux vaccins contre le COVID.
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Non, ce n’est pas un débat pour ou contre le vaccin => CORRECT
Non, ce n’est pas un débat pour ou contre le progrès médical => CORRECT
mais je préfere conclure ainsi :
C’est un débat sur la technologie ARNm en elle meme ! il faut porter le fer sur cette techno !
l’ARN étant temporaire de par sa nature, cela implique obligatoirement des rappels réguliers.
Rappelons que moderna et les autres travaillent sur des vaccins ARNm pour la grippe , le SIDA.
Ce seront des vaccins préventifs en population générale ( voir leur tests)
Le covid étant un virus a ARN qui mute sans arrêt, faire un vax ARNm qui cible juste une partie du virus ne semble pas pertinent.. c’est cela qui faut répéter inlassablement !
ce n’est pas le bon vaccin pour cette maladie !
La caste comme vous aimez les appeler 🙂 espérait un monopole économique facile ..sauf qu’il faut du talent pour arriver a une telle rente ! et quand on en a pas , on use de la violence..
Bonjour
Une question sur la pétition :
Si je ne me trompe, change org est une plateforme de Sorros. Une pétition sur ce site n’est elle pas un tonneau des Danaïdes ? J’ai signé quand même.
Merci pour tous ces excellents articles.
Bien cordialement
Un soignant sans travail ????. L’union fait la force ????
Qu’attendre du sénat au vu de toutes ses prises de position concernant le covid et les limitations de liberté?
C’est le but abominable de toute cette politique mortifère affecter le maximum d’humains le plus vite possible (avant l’éveil), dans un programme lancé de dépeuplement… (le grand reset). On est gouverné par des nazis !
“Covid-19 : la vaccination forcée n’est jamais acceptable met en garde l’ONU
Par Le Figaro avec AFP Publié il y a 38 minutes
Michelle Bachelet à l’ONU. DENIS BALIBOUSE / REUTERS
L’obligation vaccinale se doit de toujours respecter les droits humains et la vaccination forcée n’est jamais acceptable, a mis en garde mercredi 8 décembre la Haute-commissaire aux droits de l’homme de l’ONU.
Les titres du matinNewsletter. À LIRE AUSSICovid-19 : la vaccination obligatoire s’invite à nouveau dans le débat politique
«En aucun cas, les gens doivent être vaccinés de force, même si le refus d’une personne de se plier à une obligation vaccinale peut avoir des conséquences légales comme par exemple une amende appropriée», a déclaré Michelle Bachelet dans un message vidéo.”