Un article de Patrice GIBERTIE (pgibertie.com) - La comparaison de la surmortalité toutes causes et des décès covid met en évidence de surprenants écarts. Entre 40 et 60% de l’excédent de décès chaque semaine ne s’expliqueraient pas par la covid , alors on meurt de quoi dans cet occident survacciné ? La presse n’en parle pas pourtant cette épidémie tue plus que la covid…
Les statistiques officielles cacheraient elles la moitié des excès covid, les effets secondaires des vaccins seraient ils l’explication? Abonnez vous au blog car la censure veille…
En France les plus de 75 ans sont massivement morts en aout septembre, autant que l’hiver dernier, mais officiellement ils étaient protégés de la covid, ils sont morts de quoi?
Un excès anormal de mortalité plus important que cet hiver ou qu’au printemps 2020. A l’époque on accusait la covid mais officiellement elle ne serait pas cause. Mais alors qu’est ce qui a tué les plus de 15 ans et pourquoi personne n’en parle ? Pourquoi une surmortalité toute causes confondues dans les semaineds qui suivent l’appel de Macron du 12 juillet? Il n’y a pas de décès covid à ce moment là..
Aux Etats Unis la moitié de la surmortalité de l’été et l’automne ne serait pas due à la Covid mais alors à quoi?
Le site EUROMOMO mesure la surmortalité dans l’Union Européenne, le Royaume Uni , Israël et quelques autres pays du continent . On découvre que depuis le début de 2021 la Covid représenterait moins de la moitié de la surmortalité enregistrée. La surmortalité serait deux fois plus importante que l’an dernier (sans vaccin ), et elle exploserait après le mois de mai quand l’épidémie avait ralenti et plus encore en septembre octobre. Cette mortalité par rapport à 2020 ne concernerait pas les plus de 85 ans mais toutes les autres catégories dans les semaines qui suivent leur… vaccination
Une surmortalité qui concernerait a minima 100 000 européens et que n’expliquerait pas la Covid….
Les Ecossais sont les premiers à s’en inquiéter, cette surmortalité serait plus importante que les décès associés à la Covid .
Le nombre de personnes décédées en Écosse la semaine dernière était 30% supérieur à la moyenne avant la pandémie, ont montré de nouveaux chiffres.
Le National Records of Scotland a déclaré que 1 353 décès toutes causes confondues avaient été enregistrés au cours de la semaine précédant le 10 octobre.
C’était 315 de plus que la moyenne de la même semaine de 2015 à 2019, et le taux de décès « excessifs » le plus élevé depuis la première semaine de janvier 2021.
Il s’agit notamment des décès liés au cancer, aux maladies cardiaques et à la démence.
Cela survient alors même que le nombre de décès où Covid a été mentionné dans l’enregistrement est tombé pour la deuxième semaine consécutive, à 126.
- Le nombre de décès liés à la pandémie avait augmenté depuis la mi-août, mais semble avoir culminé à 167 au cours de la semaine se terminant le 27 septembre – bien en deçà des pics précédents lors de l’épidémie initiale du virus et au début de 2021.
Le chiffre est tombé à 143 la semaine suivante, et a maintenant baissé de 17 à 126 – dont 100 étaient des personnes âgées de plus de 65 ans et dont 98 se sont produites dans les hôpitaux. Les hommes représentaient 82 des décès, tandis que 44 étaient des femmes.
Un autre décès a également été enregistré, lié aux effets indésirables d’un vaccin Covid-19.
Cela porte à cinq le nombre total de décès pour lesquels le vaccin était une cause sous-jacente, contre une population de 4,2 millions en Écosse qui a reçu au moins une dose.
Quelles étaient les causes du décès ?
Les 315 décès supplémentaires enregistrés la semaine dernière représentent une augmentation de 30% par rapport à la moyenne sur cinq ans avant la pandémie pour cette période de l’année.
Ils comprennent;
- 44 décès par cancer,
- 40 décès supplémentaires liés à des troubles circulatoires,
- 27 décès par démence ou Alzheimer,
- et sept d’affections respiratoires.
Il s’agit de la 20e semaine consécutive avec un excès de décès au-dessus de la moyenne quinquennale, et le plus élevé depuis la semaine se terminant le 10 janvier 2021.
En 2020, l’Écosse a enregistré le plus grand nombre de décès excessifs en temps de paix depuis 1891 , lorsque le pays a été touché par une épidémie de grippe russe.
Aux Etats-Unis la surmortalité explose depuis le mois de juin pour atteindre un niveau inégalé même pour des catégories d’âge très vaccinées.
Pourtant constatez-le ci-dessous en juillet le nombre de décès covid n’atteignait pas le niveau du printemps. La surmortalité des 25-64 ans de juin à août ne peut pas s’expliquer par la covid, il y a peu de décès covid.
En Israel chaque mois d’août on compte 3500 décès, l’an dernier 400 de plus liés à la covid (non vaccinés), cette année 630 de plus pour la covid (dont 222 non vaccinés) et 400 que n’expliquent pas la covid.
Ainsi 10% des décès et la moitié de la surmortalité n’auraient pas d’explications…
En France la surmortalité apparait nettement par rapport à 2020 (5%) mais c ‘est à un moment où la covid est maitrisée, fin août. Pour les 15 à 44 ans des pointes de surmortalité toutes causes de 5% à un moment qui correspond à l’après 12 juillet…
Toujours en France la surmortalité des plus de 75 ans était deux fois plus importante en 2020 qu’en 2021 après la vague du printemps, aujourd’hui 2021 a pratiquement rattrapé 2020 et la covid n’y est pour rien , l’explication se trouve dans les décès des quatre derniers mois
Le document ci dessous met en évidence une surmortalité des plus de 75 ans entre la 28eme et la 36eme semaine. Certains en déduiraient que la vaccination n’a pas empéché la dernière vague, mais on nous dit que si alors pourquoi les vieux sont ils massivement morts en septembre?
Regardez bien ci dessous les décès covid officiels en France , ils expliqueraient la surmortalite des semaines 1 à 19 mais en juin juillet il n’ya plus de dé cès covid… mais un surplus de mortalité dans le pays semaine 28 29 30 Ils meurent de quoi . Le président a parlé, souvenez vous, ça pique, ça pique…
Alors c’est quoi ? Les effets secondaires des “vaccins”, notamment après la 2ème injection ? Tout le monde sait que lesdits effets sont très sous estimés par les autorités et rares sont les familles concernées qui se battent pour que la vérité triomphe ! C’est plutôt le fatalisme qui triomphe ????!
C’est d’autant plus inquiétant que, après une année 2020 déjà en légère surmortalité, notamment chez les plus fragiles et les plus âgés, concentrée sur les deux pics “covid” de (surtout) mars/avril et (un peu) octobre/novembre, il devrait y avoir deux ou trois ans avec une sous-mortalité par “effet moisson”.
C’est ce qu’on constatait après chaque année où la grippe était forte, les années suivantes étaient nettement plus faibles.
Là, c’est l’inverse : après une année “moisson”, on a une année encore pire.
Mais la doxa officielle sévit : certes il y a quelques problèmes “post vaccination”, mais ils sont très rares, sans lien prouvé avec la vaccination et cela ne remet pas en cause la balance avantages/inconvénients de cette vaccination.
Circulez, il n’y a a rien à voir et toute contestation n’est que complotisme.
Petite remarque faussement naïve :
1) Les décès “avec le Covid” sont comptabilisés comme “décès Covid”, même s’ils sont décédés avec d’autres pathologies graves, comme des cancers, ou simplement qu’ils étaient très âgés.
2) Les décès “après vaccin” ne sont pas “dus aux vaccins” en absence de lien établi, même si ce sont des personnes sans aucun antécédent médicale grave pouvant expliquer le décès, et même s’ils étaient jeunes, voire très jeunes.
Pourquoi ces logiques complètement opposées dans l’analyse des causes de ces décès ?
Voilà, tout est à peu près dit.
“Pourquoi ces logiques complètement opposées dans l’analyse des causes de ces décès ?”
En 8 lettres, commence par G…
ces chiffres semblent donner raison à plusieurs spécialistes, dont Michael Yeadon, l’ancien vice-président de Pfizer, qui ont prédit une surmortalité importante à partir de cet hiver et demandé, sans être entendus, l’arrêt total de ce vaccin expérimental. Comment savoir s’ils ont raison ou pas; c’est quasi impossible car plus la mort intervient longtemps après le vaccin, moins il est possible de soutenir que la cause est le vaccin. Emma Kahn, dans un article paru il y a quelques mois, démontre très bien que big pharma peut dormir totalement tranquille; les nombreuses pathologies qu’elles indiquent pouvoir être consécutives aux vaccins, lorsqu’elles interviennent plusieurs mois après la vaccination, sont considérées de facto comme sans lien avec le vaccin et prouver le contraire est impossible; il faudrait commencer par faire des autopsies à tous les morts vaccinés, ce que l’on ne fera jamais et même si on le faisait, il n’est pas certain que l’on puisse démontrer quoi que ce soit.
La seule solution est de refuser ce vaccin, et si vous mourrez de la covid, qui pourra raisonnablement soutenir que c’est le défaut de vaccin qui vous a fait mourir, puisque plein de gens totalement vaccinés sont morts; on ne saura jamais et l’avenir nous réserve des controverses sans fin sur la question; la majorité des familles se taisent; que peuvent-elles faire; seule une minorité réagit quand la personne décédée est jeune; si elle est âgée, c’est normal qu’elle meurt puisque c’est la fin de sa vie. on vit vraiment une époque formidable….
Pas sûr que ça ne remonte pas à la surface, parce que +50 de décès n’est pas quelque chose qui passe à l’as.
Surtout lorsque cela concernera les enfants vaccinés sans aucune nécessité sanitaire.
Combien sommes nous à lire ces articles et regarder ces courbes? Combien demandent une autopsie d’un de leur proche décédé bizarrement surtout après injection? Combien portent plainte quant aux injonctions de plus en plus pressantes de se vacciner contre vents et marées?
Il est à craindre que notre pourcentage reste faible. Et surtout que cela va se réduire avec des actions plus “concentrationnaires” comme l’Australie ou le Saskatchewan, que nous allons avoir parce que tous les pays occidentaux (entre autres) agissent de concert. Reste à “espérer” (triste à dire) que les décès post injections, même étalés dans le temps et niés par toute la hiérarchie médicale, augmentent sérieusement pour que le flux de colère s’épaississe. Pour suivre l’exemple des pilotes de Southwest, au hasard… Pour l’instant, à part faire sécession dans son coin, difficile de faire mieux.
Quand on lit l’article de Patrice Gibertie en Z, point de compréhension possible si l’on s’acharne sur les détails chiffrés alors il faut survoler les trends pour comprendre l’ensemble du phénomène, c’est empirique mais ça marche ! on peut rapidement en conclure que les autorités, après le discours du 9 novembre de Minus55, voyant les hécatombes automnale et hivernale arriver, vont juste essayer un dernier tour de passe passe : faire passer la surmortalité vaccinale pour celle d’un énième variant covid… En fait à cette époque et pour toutes les années depuis que les statistiques de veille sanitaire et les archives audiovisuelles existent, la période qui s’étend de la Toussaint à février voit les épidémies de maladies respiratoires augmenter, ce bien avant le Sars-cov-2.
On a donc bien affaire à un scénario monté de toutes pièces depuis au moins 10 ans pour établir un gouvernement mondial totalitaire par le Great Reset et avec l’aide de la plus mafieuse des compagnies pharmaceutiques, cette dernière pour laquelle les bénéfices à dizaines de milliards pèsent plus lourd dans la balance que la vie de millions de gens.
PFIZER = NAZISME
Je serais à leur place, je tenterais un dernier tapis pour éviter la CPI de La Haye et la corde pour Crimes contre l’Humanité. C’est humain.