Véran parjure ? Ces plus de 900 morts du vaccin dénombrés par l’ANSM

Véran parjure ? Ces plus de 900 morts du vaccin dénombrés par l’ANSM


Partager cet article

Olivier Véran est-il parjure et, à ce titre, doit-il démissionner ? On peut le conclure de la comparaison entre ses déclarations devant l’Assemblée Nationale le 15 octobre 2021 et les chiffres de l’ANSM en bonne et due forme, qui disent, et en profondeur, l’inverse de ce que le ministre soutient. Il semblerait en effet que les vaccins, selon les chiffres officiels eux-mêmes (probablement sous-estimés) le vaccin soit particulièrement meurtrier. Mais dans la dictature pharmaceutique qui s’est installée, avons-nous encore le droit de le dire ? Dans tous les cas, si le ministre a menti à la représentation nationale, il doit démissionner, et surtout il doit être jugé et sévèrement sanctionné.

« Il n’y a à ce stade pas de décès avéré imputable à la vaccination », assure @olivierveran, qui s’appuie sur les rapports de l’ANSM. « Je vois passer des chiffres complètement farfelus sur Internet. »#DirectAN #Covid19 pic.twitter.com/Z1JCjZUdoL

— LCP (@LCP) October 15, 2021

Olivier Véran a-t-il gravement menti devant la représentation nationale entre soutenant que, à ce stade, on ne comptait aucun décès avéré du vaccin, en particulier du vaccin Pfizer ? Les chiffres de l’ANSM montrent en effet le contraire, et le seul fait que le ministre les passe sous silence en jurant qu’il n’existe aucune suspicion suffit à nous mettre mal à l’aise, et à plaider pour une démission immédiate, sous le motif d’un très grave parjure.

Face aux chiffres de l’ANSM, le parjure

En consultant attentivement le site de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM), et nous remercions ici les internautes qui nous ont mis sur la voie, on s’aperçoit en effet que le ministre, au 15 octobre 2021, disposait de chiffres particulièrement accusateurs sur la mortalité du vaccin qui, dans une démocratie normale et non hypnotisée par les laboratoires pharmaceutiques, justifierait une interruption immédiate de la campagne de vaccination.

Dans la pratique, ces chiffres ne sont pas simples à trouver, quoiqu’ils figurent sur le site de l’ANSM. Ils sont dissimulés dans la bibliothèque de téléchargements (les « uploads ») qu’on ne trouve que si l’on dispose de l’adresse. Dans le cas contraire, on doit se contenter des chiffres mis en évidence sur le site, qui ne font état « que » de 20.000 et quelques cas d’effets secondaires graves sans préciser le nombre de décès. Et il est vrai que, à la lecture de ces chiffres « grand public », on peut se laisser aller à l’illusion (que nous avons dénoncée il y a quelques semaines) selon laquelle le vaccin handicaperait, engagerait le pronostic vital, paralyserait, diminuerait, mais ne tuerait pas.

Les téléchargements discrets de l’ANSM

Histoire de pouvoir dire un jour devant la Cour qui jugera les hautes trahisons sans atermoiement, l’ANSM a donc consigné les chiffres compromettants dans un compartiment très discret de son site Internet les chiffres qui fâchent. Il faut les chercher dans les « uploads ». Et là, c’est sur une mine que l’on tombe.

Nous reproduisons intégralement le document ici : il ne concerne que le vaccin Pfizer et détaille précisément le nombre d’effets secondaires, décès compris, attribués à ce vaccin.

Nombre d’effets secondaires en France (décès compris) du vaccin Pfizer from Société Tripalio

Pour ceux qui auraient la flemme de lire ce document de 76 pages, nous extrayons le « clou » statistique, le tableau détaillant les effets graves :

Ah oui quand même ! Plus de 4.000 hospitalisations dues au vaccin Pfizer, dont 906 décès… en quelques mois. C’est quand même un peu plus que le glyphosate en trente ans sur l’ensemble de la planète. Mais, mystère ! on demande l’interdiction du glyphosate et la perpétuation de la campagne de vaccination. C’est bizarre tout de même…

Reste qu’Olivier Véran ouvre une grave crise démocratique s’il n’a pas porté ces chiffres à la connaissance de la représentation nationale, et s’il a même affirmé (comme dans la vidéo que nous reproduisons) le contraire.

Voilà qui vaut une bonne démission, Castex compris.


Partager cet article
Commentaires

S'abonner au Courrier des Stratèges

Abonnez-vous gratuitement à la newsletter pour ne rien manquer de l'actualité.

Abonnement en cours...
You've been subscribed!
Quelque chose s'est mal passé
Un an de guerre en Ukraine : le point complet, par Thibault de Varenne

Un an de guerre en Ukraine : le point complet, par Thibault de Varenne

L'année 2025 restera gravée dans l'histoire militaire contemporaine comme le point de bascule de la guerre russo-ukrainienne, marquant la transition d'une guerre d'usure positionnelle vers une guerre de dislocation progressive des lignes fortifiées établies depuis 2014. Si les années précédentes avaient été définies par des offensives et contre-offensives massives aux gains territoriaux souvent modestes par rapport aux moyens engagés, 2025 a vu l'effondrement méthodique, bastide par bastide, de


Rédaction

Rédaction

L'illusion de la transparence : ce que Trump refuse (encore) de nous montrer sur Epstein, par Elise Rochefort

L'illusion de la transparence : ce que Trump refuse (encore) de nous montrer sur Epstein, par Elise Rochefort

Trump nous avait promis le "Grand Déballage". Avec la promulgation de l'Epstein Files Transparency Act en novembre dernier, la rhétorique officielle était celle d'une ouverture totale des vannes. Le Congrès avait parlé, le Président Trump avait signé, et le Département de la Justice (DOJ) avait jusqu'au 19 décembre pour livrer au public "tous" les documents. Nous sommes fin décembre, et si le volume de fichiers déversés sur le portail du DOJ donne le vertige, une analyse minutieuse révèle qu


Rédaction

Rédaction

Comment la caste a transformé le chaos en rente

Comment la caste a transformé le chaos en rente

On vous ment. Depuis des mois, le narratif médiatique dominant vous vend la fable de l'incompétence de l'Etat et des parlementaires, incapables d'être raisonnables et responsables. On vous explique, trémolos dans la voix, que le dérapage du déficit public à près de 7 % du PIB, l'explosion de la dette à 3 300 milliards d'euros et la chute du gouvernement Barnier sont les fruits d'une "perte de contrôle". On voudrait vous faire croire que l'État français, ce mastodonte technocratique qui prélève


Éric Verhaeghe

Éric Verhaeghe

Les 7 victoires de la Liberté en 2025

Les 7 victoires de la Liberté en 2025

En ce jour de Noël, alors que la Chrétienté célèbre la Nativité et que le monde profane marque une pause dans sa course effrénée vers le néant, il est de bon ton de sacrifier au rituel du bilan. Mais pour nous, lecteurs et acteurs de la résistance au mondialisme au sein du Courrier des Stratèges, l'exercice ne saurait se limiter à la recension comptable des événements. Il s'agit de lire les signes des temps. Il s'agit de scruter, sous l'écume des crises que les médias mainstream se plaisent à dr


Éric Verhaeghe

Éric Verhaeghe