SCOOP URGENT : panique de Macron face à la dégradation de la situation

SCOOP URGENT : panique de Macron face à la dégradation de la situation


Partager cet article

Ne le dites surtout pas, mais le pouvoir macroniste est en pleine panique face à la discrète mais profonde dégradation de la situation politique, largement due aux décisions hâtives prises sur la vaccination obligatoire, probablement imposées par les « influences »multilatérales. La Guadeloupe s’approche de l’insurrection, et en métropole, le ministère de la Santé panique face aux défections dans les hôpitaux publics.

Circulaire DGS sur l’absentéisme à l’hôpital from Société Tripalio

La panique s’installe dans les couloirs du pouvoir. Derrière la propagande officielle selon laquelle le pays suivrait comme un seul homme son Grand Timonier qui impose l’obligation vaccinale un peu partout, le mur se lézarde, et les fissures qui apparaissent menacent de se transformer en cataclysme politique, en grand effondrement ou grande implosion de la machine à Great Reset. Plusieurs signaux faibles sont désormais émis sur les sueurs froides qui montent au front de nos prétendus héritiers des Lumières.

Le ministère de la Santé flippe à donf’

Premier signal faible : la circulaire que nous reproduisons ci-dessus, envoyée par les services du désormais incasable Jérôme Salomon, donné un temps au Conseil d’Etat, mais finalement vissé à son siège compte tenu du bad buzz lugubre qui le précède désormais. L’objectif est d’anticiper les « tensions » à l’hôpital, comprenez les fermetures de service rendues inévitables par le manque de personnel.

Aujourd’hui, le ministère de la Santé ne contrôle plus rien et, pour savoir ce qui se passe sur le terrain, est contraint de demander à des bureaucrates de remplir des tableaux Excel sur les fermetures prévues. Il faut dire que, en pleine période de pénurie de main-d’oeuvre, le brillant Olivier Véran a imposé une obligation vaccinale parfaitement inutile d’un point de vue sanitaire (puisque le vaccin n’empêche pas la circulation du virus) qui a fait fuir 10% du personnel.

Voilà qui s’appelle tout simplement de l’incompétence pour fait d’idéologie dogmatique.

Résultat : on n’est pas sûr que l’hôpital tiendra, alors qu’il a tenu pendant les pics de 2020. Mais on imagine que les énarques et autres tacherons des services de communication ne manqueront pas pour expliquer que le vaccin est une solution et non un problème.

La Guadeloupe en route vers l’insurrection

De leur côté, les Guadeloupéens, qui n’ont pas eu le loisir de voir l’interview du Courrier qui leur est consacrée, puisque nos services l’ont censurée (ce qui outrepasse l’accord tacite qu’ils ont toujours respecté jusqu’ici avec le Courrier et constitue une rupture de confiance), les Guadeloupéens, disons-nous, se sont gentiment mis sur le chemin de l’insurrection.

Ellen Bessis nous donne quelques éléments de situation :

Nous découvrons ici que la Guadeloupe pourrait bien montrer la voie à la métropole sur la meilleure façon de résister à la tyrannie.

La directrice de l’ARS de Guadeloupe outrepasse ses pouvoirs

Incidemment, il semblerait que la directrice de l’ARS de Guadeloupe contribue pour une grande part au mécontentement populaire local en se substituant au Conseil de l’Ordre des médecins par des radiations intempestives de professionnels libéraux qui ne relèvent pourtant de son pouvoir. Encore, semblerait-il, une talibane de la vaccination !

Continuons comme ça ! Le pire deviendra de plus en plus sûr…

D’ici là, le gouvernement a envoyé des blindés de la gendarmerie en Guadeloupe pour mater la rébellion… et a censuré le Courrier des Stratèges dans l’île. Même pas drôle.


Partager cet article
Commentaires

S'abonner au Courrier des Stratèges

Abonnez-vous gratuitement à la newsletter pour ne rien manquer de l'actualité.

Abonnement en cours...
You've been subscribed!
Quelque chose s'est mal passé
Pourquoi l'État Léviathan se moque du budget (Merci, James Buchanan)

Pourquoi l'État Léviathan se moque du budget (Merci, James Buchanan)

Nous avons vu comment le gouvernement Lecornu s’est fracassé sur le bitume du Chicken Game. Mais une question doit vous brûler les lèvres : si l'État est incapable de faire voter son budget, comment se fait-il que les ministères continuent de tourner, que les cerbères de Bercy continuent de prélever l'impôt et que la technostructure ne semble pas s'en émouvoir outre mesure ? Pourquoi Lecornu est une vraie poule mouilléeEntre Noël et le Nouvel An, le Courrier entame un “parcours” d’éclairage


Éric Verhaeghe

Éric Verhaeghe

Pourquoi Lecornu est une vraie poule mouillée

Pourquoi Lecornu est une vraie poule mouillée

Entre Noël et le Nouvel An, le Courrier entame un "parcours" d'éclairage auprès des lecteurs pour mieux comprendre comment se posent, avec un peu de recul, les problèmes de notre société. Voici une première explication sur l'effondrement de notre système, où il est question de "poulet mouillé", de "prisonnier" et de "passager clandestin". Mes chers amis, pour comprendre pourquoi le "Léviathan" français s’est pris les pieds dans le tapis du budget 2026, il faut cesser de regarder les hommes et c


Éric Verhaeghe

Éric Verhaeghe

Noël, étrennes : comment, en pratique, donner de l’argent à ses proches ?

Noël, étrennes : comment, en pratique, donner de l’argent à ses proches ?

En cette période de fêtes, la générosité est de mise. Mais attention : entre le chèque glissé sous le sapin et le virement « coup de pouce », la frontière pour le fisc est parfois poreuse. Dès le 1er janvier 2026, les règlesse durcissent en effet avec une obligation de déclaration en ligne. Il est temps de mettre les points sur les "i" pour donner… sans se faire épingler. Pour tout abonnement d’un an au Courrier des Stratèges souscrit entre le vendredi 19 décembre 18h et le lundi 22 décembre 1


FLORENT MACHABERT

FLORENT MACHABERT

Tech française : le grand enfermement fiscal de 2026, par Vincent Clairmont

Tech française : le grand enfermement fiscal de 2026, par Vincent Clairmont

On nous avait promis la « Start-up Nation », l’eldorado des licornes et le rayonnement de la French Tech. Mais en cette fin d'année 2025, le réveil est brutal pour les fondateurs. Derrière les paillettes des salons Vivatech de jadis, la réalité comptable s'impose : la souricière fiscale française vient de se refermer. Pour l’entrepreneur qui envisageait de prendre le large, la question n’est plus de savoir où partir, mais si l’État lui en laissera véritablement le droit sans le dépouiller au pa


Rédaction

Rédaction