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B H Bhadrakhumar est l’un des professionnels de la diplomatie les mieux informés au monde. Aussi doit-on lui faire confiance, lorsqu’il relativise le démenti infligé par la diplomatie russe à Emmanuel Macron et déclare : « Les deux points forts de la visite du président français Emmanuel Macron à Moscou et de son entretien de six heures avec le président Vladimir Poutine ont été l’assurance donnée par ce dernier que les forces russes n’aggraveraient pas la crise près des frontières de l’Ukraine – “il n’y aurait ni détérioration ni escalade” – et l’accord selon lequel la Russie retirerait ses troupes du Belarus à la fin des exercices qui se déroulent actuellement près des frontières nord de l’Ukraine.
Le fait même que la partie française mette des détails aussi sensibles dans le domaine public suggère que Moscou n’y voit rien de mal. Moscou a simplement précisé que le redéploiement des troupes hors du Belarus ne doit pas être interprété comme un “accord” avec la France ».
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Edouard Husson est directeur de la rédaction. Ancien élève de l'Ecole Normale Supérieure, agrégé et docteur en histoire, professeur des universités, ancien vice-chancelier des universités de Paris. Spécialiste de l'Allemagne.
© 2023 Le Courrier des Stratèges
Pulsions guerrières ou écran de fumée pour cacher le fiasco actuel généralisé en occident?
Où est donc passé le principe d’autodétermination des peuples si cher à nos démocraties et dont les accords de Minsk s’inspiraient encore en 2014. Le monde de sauvages déconnectés qui s’éveille n’a rien d’inspirant.