Beaucoup de fantasmes, de peurs, de rumeurs, ont circulé sur le graphène, et sur son hypothétique présence dans le vaccin contre le COVID. À notre connaissance, ce débat n’a pas été tranché, c’est d’ailleurs pour cette raison que nous n’avons jamais relayé les affirmations diverses sur le graphène dans nos colonnes. Mais il est un fait avéré, qui mérite d’être relevé, c’est l’engouement de Mc Kinsey pour le graphène et pour les avantages qu’il présenterait dans le domaine des bio-technologies. Nous vous devions bien une revue de la littérature Mc Kinseyenne sur le sujet.
Répétons-le, beaucoup de fantasmes ont agité le landerneau concernant la présence de graphène dans le vaccin contre le COVID. Je parle de fantasme, ici, car j’ai lu des histoires fantaisistes de lanceurs d’alerte arrêtés et suicidés par la police après avoir prétendument démontré les dangers du graphène présent dans le vaccin.
Du graphène présent dans le vaccin Pfizer, vraiment ?
Personnellement, je ne comprends rien à ces histoires de graphène, et je revendique ma parfaite nullité en matière scientifique. Sur ce sujet, je me réfugie donc derrière ma méthode habituelle, qui est d’écouter tous les avis et de chercher les dénominateurs communs, avec la conviction que ces dénominateurs peuvent être un indice (fragile, friable, révocable) d’un consensus. Tant que je n’ai pas trouvé cet indice, je m’abstiens d’évoquer le sujet.
Sur le graphène dans le vaccin, je me souviens d’avoir discuté avec le directeur d’une publication complotiste qui m’a expliqué qu’il n’avait trouvé aucune preuve d’une telle présence dans le vaccin. J’ai aussi discuté avec une virologue de très haut niveau qui m’a soutenu ne pas savoir ce qu’il y avait exactement dans les adjuvants du vaccin, mais qui ne m’a pas dit qu’on y trouvait du graphène.
Faute d’éléments probants, je suis donc incapable de dire si du graphène se trouve dans le vaccin ou non et, à ma connaissance, personne n’est parvenu à le prouver.
Pour être franc, je soupçonne que, parmi ceux qui soutiennent que Pfizer a introduit le graphène dans le vaccin, on trouve parfois des trolls mondialistes qui poussent à la roue pour discréditer les dissidents en les attirants dans les bas-fonds d’un complotisme manichéen.
C’est pour cette raison que le Courrier des Stratèges, qui n’est pas complotiste, prend toujours garde à ne pas donner d’écho à des rumeurs incertaines, et s’en tient aux sources contestables et opposables. En revanche, l’excellent Laurent Aventin, qui est spécialiste de ces sujets, livrera la semaine prochaine un dossier documenté sur la question.
Ce que Mc Kinsey dit du graphène
Ce qui est attesté, en revanche, c’est l’intérêt que le cabinet Mc Kinsey porte au graphène, et même, peut-on dire sans trop de difficultés, la publicité qu’il fait à ce produit.
Ainsi, on découvre sur le site du World Economic Forum un article de… Mc Kinsey, d’octobre 2021, évoquant les dix tendances technologiques du futur, qui montre ceci :
Les observateurs attentifs noteront que, selon Mc Kinsey, la neuvième tendance technologique d’avenir, ce sont les matériaux de nouvelle génération (next-generation materials) parmi lesquels le graphène occupe une place de choix, à côté des nano-matériaux et des nano-particules de disulfide de molybdène.
Selon Mc Kinsey, le graphène fait donc partie des nouveaux matériaux qui vont “exploser” dans les dix ans à venir.
Les initiés noteront que, pour Mc Kinsey, la première tendance reste le développement des objets connectés, qui permettront de rendre encore plus performante la surveillance quotidienne et l’hégémonie culturelle de la caste, comme je l’explique dans le deuxième chapitre de mon livre sur l’agenda du chaos publié aujourd’hui (et que je vous offre exceptionnellement !).
Ceux qui ont suivi notre dossier sur Mc Kinsey ont relevé que le cabinet de conseil américain exerce une importante influence sur la mondialisation… Les théories sur le graphène sont donc à prendre au sérieux.
Mc Kinsey propagandiste du graphène
L’engouement de Mc Kinsey pour le graphène n’a pas commencé avec la crise du COVID. Dès avril 2018, le cabinet publie un article qui ressemble plus à de la publicité qu’à de l’analyse (mais Mc Kinsey est-il capable de distinguer les deux ?), qui énumère les avantages du nouveau matériau.
Le propos de Mc Kinsey est d’expliquer que les semi-conducteurs actuels ont atteint leurs limites technologiques, et que tout gain de fonction suppose une recherche de plus en plus coûteuse et de moins en moins rentable. Pour cette raison, le graphène est un matériau d’avenir.
Le cabinet américain énumère longuement les qualités de ce matériau, avec différentes infographies dont nous avons reproduit la plus parlante.
On notera en particulier que l’article relève que :
sa mobilité est estimée à 250 fois celle du silicium et sa flexibilité et d’autres propriétés le rendent idéal pour une gamme d’applications, de la technologie des batteries à l’optoélectronique comme les écrans tactiles.
C’est pour cette raison essentielle de rapidité que Mc Kinsey affirme que le graphène est un “game changer”, c’est-à-dire un matériau qui changera la face des semi-conducteurs dans les 10 ans à venir. Autrement dit, le graphène est appelé à devenir un produit de grande consommation dans les technologies de l’information.
L’article s’étend longuement sur les perspectives futures du graphène, comme si ces perspectives étaient un fait acquis. Il ne faut surtout pas oublier ici que l’un de ses trois auteurs est aussi un investisseur spécialisé dans les nouveaux matériaux (Nick Santhanam). Son intérêt est donc de bien “vendre” son produit en vantant ses mérites et son potentiel de croissance.
Car, le problème du graphène, c’est son coût de production… Plus il sera produit, moins il coûtera cher.
Et le vaccin alors ?
Dans les éléments que nous citons, on constate que Mc Kinsey ne parle à aucun moment du vaccin, ni de l’utilisation possible du graphène comme adjuvant vaccinal.
En revanche, un petit élément éveille l’attention, ce sont les vertus que Mc Kinsey prête au graphène dans les communications sans fil. Pour le cabinet, cette utilisation n’est pas “première”, mais seulement une applicatiion future du produit.
Dans cet article, Mc Kinsey ne s’étend pas directement sur les fonctions possibles du graphène dans le domaine de la communication sans fil.
Pour comprendre les utilisations possibles, il faut se référer à un autre document du cabinet, qui est un rapport complet de mai 2020 consacré à la bio-révolution…
Le graphène y est cité dans une note en bas de page consacrée à son utilisation agricole possible (page 113 du rapport) :
CRISPR-Chip is a system that immobilizes CRISPR complexes on the surface of graphene-based transistors, which
allows for the electronic identification of specific target genes (La CRISPR-puce est un système qui immobilise les CRISPR complexes sur la surface des transistors à base de graphène, qui permettent l’identification électronique de gènes cibles spécifiques).
Selon Mc Kinsey, cette technologie de transistor à base de graphène permettrait de ne plus utiliser de pesticides de masse, parce qu’elle rendrait possible l’injection de “CRISPR-chip” combattant génétiquement les maladies dans chaque plante.
Le vaccin n’est pas cité ici nommément, mais on voit bien que, selon Mc Kinsey, le graphène peut être médicalement utile en jouant le rôle de transistor qui immobilise les CRISPR, technologie évoquée pour lutter contre le virus.
Technologiquement, en tout cas, on peut penser que Mc Kinsey n’exclut pas une utilisation médicale du graphène, non pour communiquer avec les antennes 5G, mais pour fixer les CRISPR supposés intervenir dans la lutte contre les virus.
Sur tous ces points, ne manquez pas les surprises que Laurent Aventin vous réserve la semaine prochaine dans son dossier spécial.
Mais une évidence s’impose : Mc Kinsey s’intéresse au graphène et à ses possibilités médicales…
Pourquoi toujours avoir cette vision binaire sur cette soupe ? Pourquoi ne pourrions-nous pas envisager que la soupe serait en fait plein de soupes différentes permettant entre autre :
1) l’avancée de la science transhumaniste tout azimut,
2) de rendre impossible une vision commune des chercheurs indépendants (division).
La caste a très probablement donné un cahier des charges global. Nous savons déjà par le VAERS que les lots ne sont pas égaux aux US. En Europe et ailleurs, pas d’information permettant le recoupement ce qui en soit est une belle information puisque ces bases sont là normalement pour faciliter ce recoupement.
Toutes ces technologies, graphène, nano-particules, ou CRISPR, existent depuis une ou deux décennies : il n’y a pas à s’étonner que germe dans l’esprit de certain membres de la caste de s’en servir de façon ouverte ou dissimulée, car elles favorisent la captation de nos données, ainsi que la possibilité de manipulation directe sur la santé et les états d’âme des populations. Bien sûr, le pire n’est pas certain, les complots ont toujours existé et rien ne dit qu’il y ait concertation entre tous ces acteurs mondialistes. Mais qui peut démontrer le contraire ? La notion de complotisme est l’une des nombreuses fausses sorties que l’on nous propose…
Oui je pense que l oxyde de graphene est présent dans un certain nombre de ces pseudos vaccins….pas dans tous car il faut bien comprendre que pour le moment nous n en sommes qu à un stade expérimental…
D autres des ces pseudos vaccins contiennent donc d autres substances pathogènes dont nous ignorons les effets…
Les vaccins ou pseudos vaccins sont fabriqués par lots et portent des numéros de fabrication…..et donc quand on injecte cette soupe a une personne on sait a qui on a injecté tel ou tel poison….et donc dans le cas du graphene on pourra a l aide de la 5G suivre les personnes ayant reçu cette substance…
Entre autre car dans les piquouses il y en a de très différentes les une des autres…
N oubliez pas que pour l instant. E n est que des essais la suite sera bien pire..
Je sais je suis complotiste……????????
Cependant, sans tomber dans l’histoire de la 5g, un article scientifique de 2015 sur le graphène utilisé (intra-corporel) comme nano-sensors , antennes , communiquant avec téléphones mobiles
“Design of Wireless Nanosensor Networks for Intrabody Application”
https://journals.sagepub.com/doi/10.1155/2015/176761
J’ai acheté dernièrement un testeur électrolyseur pour tester les eaux de consommation, j’ai pu constater après électrolyse, que de nombreuses eaux de consommation de grandes marques contiennent une substance noire, quand on applique un aimant sur le verre d’eau testé, la substance noire vient se coller sur la parois du verre. J’ai fais cette expérience suite à une vidéo que j’avais vu auparavant, l’auteur désignant cette substance comme étant du graphène. J’étais sceptique sur les résultats, c’est pourquoi j’ai acheté le testeur, (on en trouve à partir de 10 euros sur internet).
Je n’ai plus de doutes aujourd’hui, l’industrie agroalimentaire veux nous faire ingurgiter cette merde.
Et je ne doute pas que ce soit différent avec les injections.
J’ajoute que j’ai aussi lu une étude du docteur Robert Young, qui avait fait l’analyse du contenu des vaccins, au microscope électronique, il disait que les vaccins contiennent une proportion supérieure à 90% d’oxyde de graphène.
“Si vous n’êtes pas complotiste, c’est que vous êtes mal informé”.
En attendant, ça seraient plutôt les nano-tubes de carbone qui ont la primeur, comme dans ce pas si nouveau type de mémoire que ça : https://www.servethehome.com/carbon-nanotube-nram-exudes-excellence-in-persistent-memory/ qui, fort malheureusement, ne perce pas – parce que ça, c’est la mort instantanée des disques durs et surtout de la nouvelle vache à lait de l’industrie, les SSD (denrée hautement périssables, la plupart crevant au-delà de 2,500-3,000 écritures dans la même cellule), sans parler des clés USB et de tous les supports de stockage de masse en général, avec en sus, un produit aussi rapide que les derniers NVMe et… inusable… (cf dernier § de la page 1 : “On stage, the company said data retention of devices should be hundreds or over a thousand years.”) Les chips sont en production, mais ça traîne la patte de tous les côtés 🙁
L’article parlant de graphène dans les vaccins est celui-ci :
https://www.researchgate.net/publication/355979001_DETECTION_OF_GRAPHENE_IN_COVID19_VACCINES
L’intérêt du graphène est l’aspect planaire de la molécule ==> “grande surface / masse” ==> qualité d’adhésion et de conductivité (10 fois le cuivre). Comme le vaccin se conservait à très basse température, une molécule adhésive ralentirait le processus de diffusion et de dégradation ce qui permettrait de le conserver à température ambiante. La température étant par définition de l’énergie cinétique, le froid est un ralentisseur mais également les obstacle adhésifs, la physique fonctionne ainsi.
Le hic est que du graphène se collerait sur vos vaisseaux et que les ions positif et négatif du sang circulant sur le graphène est comme un courant électrique tandis que le graphène se comporterait comme une antenne.
Je rappelle aux néophytes que les électrons se déplacent à quelques mm/s dans un conducteur électrique (c’est l’onde qui va à 2/3 de la vitesse de la lumière) tandis que le sang va jusqu’à 10 cm/s. Bref, ce n’est pas anodin sans oublier que les globules rouges ont un aspect ferromagnétique sensible aux ondes… S’ils ont fait ça, ce sont juste des crapules qui ne savent pas ce qu’ils font et tuent des gens comme on joue au monopoly.
Il est incompréhensible depuis que le temps qu’une analyse des différents vaccins (et sur différents lots) n’ait pas été faite par des labos compétents et indépendants… et diffusée largement.
Ou si c’est le cas j’aimerais bien pouvoir trouver les infos quelque part. J’ai vu 2 vidéos de 2 biologistes différents qui ont mis en évidence des “créatures” étranges présentes dans les doses.
Bref… la quasi intégralité de la population a reçu soupe exotiique dans la carcasse… et on ne sait toujours pas ce que c’est !
J’aime bien ta phrase Travis Vizart “Si vous n’êtes pas complotiste, c’est que vous êtes mal informé”.
Une chose est sûre et certaine, un certain nombre de personnes qui ont reçu une dose émettent un signal électromagnétique détectable avec une application qu’on trouve sur GooglePlay qui s’appelle bluetooth scanner. Faites l’expérience vous-même.