Depuis ce soir, une femme est Premier Ministre en France. Il s'agit d'Elisabeth Borne, figure emblématique du gouvernement profond tel que la macronie l'a adoré, l'adore, et tel que la caste mondialisée l'a érigé en groupe dominant au service d'une vision de "gauche" où le "populisme", le "souverainisme", le "nationalisme" sont érigés en épouvantails, en repoussoirs pour convaincre le bobo moyen que la seule voie pour la liberté et le progrès consiste à donner les clés de la boutique à un groupe fantomatique qui partage son existence entre Londres, New-York, Genève, Tel-Aviv et Dubaï. On attendait un Macron à l'écoute des attentes de la société. On trouve un intégriste de la désincarnation cosmopolite où nous sommes supposés applaudir à l'idée d'être dirigés par une hyper-fonctionnaire sans âme et sans état d'âme qui nous offrira tout crus aux appétits atlantistes.
Combien de Français ont réellement cru Macron, le soir de sa réélection, lorsqu’il a déclaré:
Cette ère nouvelle ne sera pas la continuité du quinquennat qui s’achève mais l’invention collective d’une méthode refondée pour cinq années de mieux, au service de notre pays, de notre jeunesse.
Elisabeth Borne, une ère nouvelle ? nommée après les refus opposés par Valérie Rabault et Christine Lagarde de tenir un poste dont le détenteur devra se sacrifier pour faire passer la retraite à 65 ans à coups de 49-3 pour faire plaisir à l’Union Européenne, la nouvelle Première Ministre rappelle les maires du palais sous les Mérovingiens. Sans saveur ni couleur, c’est la technostructure qui prend le pouvoir.
Une fois de plus, Emmanuel Macron a menti. Les éléments de langage ont triomphé. Le narratif d’un quinquennat selon une « méthode refondée » n’aura pas tenu plus de quelques jours, de quelques heures peut-être.
Dans la pratique, Macron a attendu la dernière minute pour nommer une Première Ministre issue du précédent gouvernement, et même des précédents gouvernements, dont la rigidité, le manque d’imagination, le jacobinisme niveleur et interventionnistes sont déjà bien connus. C’est ce qu’on appelle la continuité. L’inverse de ce qu’il avait promis.
Un emblème du gouvernement profond triomphe
Et en matière d’inverse, Elisabeth Borne illustre de façon caricaturale la continuité qu’on ne voulait pas, qui ne devait surtout pas arriver.
Cette polytechnicienne, ancienne du très chic lycée Jeanson-de-Sailly, à Paris, ingénieur des Ponts et Chaussées, a fait toute sa carrière dans le service public, enchaînant les postes caractéristiques du gouvernement profond : conseillère puis directrice de cabinet d’un ministre, patronne d’une entreprise publique, préfète de région. Incontestablement, Elisabeth Borne connaît très bien les rouages de l’Etat, elle est une grande praticienne du gouvernement profond et, avec elle, Macron peut dormir sur ses deux oreilles : il n’y aura pas de sortie de route ! le programme du Great Reset sera exécuté scrupuleusement.
Au programme, donc : soumission aveugle, dogmatique, obstinée à l’Europe, y compris dans ses excès russophobe dictés par l’atlantisme, piqûres à tout-va pour assurer le progrès de l’humanité, et éloge sans nuance de l’action menée par un Etat bureaucratique, qui « protège », « régule », « corrige le marché » et défend « l’intérêt général ».
Bref, tous les germes du totalitarisme contemporain sont posés, et même semés, sans aucun état d’âme.
On ne pouvait pas rêver meilleure expression de la quintessence patiemment distillée sous le gouvernement Castex.
À quoi faut-il s’attendre avec Borne ?
Donc, en l’état, on connaît le programme d’Elisabeth Borne dans ses grandes lignes.
Le premier point sera la retraite à 65 ans, qui est imposée par l’Union Européenne, et que la Première Ministre mettra en oeuvre quoi qu’il arrive.
Le deuxième point est la vaccination obligatoire, y compris celle des enfants, pour nous protéger du variant mortel et contagieux annoncé par Bill Gates pour cet automne. On va piquer à tout-va, en France, et ce sera sans pitié. Bien entendu, cela n’aura d’utilité que dans les comptes de Pfizer et dans les colonnes de quelques torchons comme Libé ou l’Immonde. Mais qu’importe ? L’essentiel est de se péter de tunes avec les cadeaux de Big Pharma qui va sortir des études aux petits oignons pour expliquer que tout cela va pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Le troisième point consistera à continuer sans état d’âme le déploiement de la dictature numérique, ce grand édifice de surveillance qui nous protège paraît-il de la désinformation complotiste, et grâce auquel les ultimes zones privées de notre vie basculeront dans le grand édifice des Big Data contrôlées par l’Etat.
Pour le reste, Elisabeth Borne s’accordera peut-être quelques fantaisies, des coups de pouce sur le SMIC, des décisions généreuses qui donneront l’illusion que nous maîtrisons encore notre destin.
Mais, pour l’essentiel, elle exécutera fidèlement le programme de la mondialisation, sans état d’âme.
Une étrange confrontation avec la France Insoumise
Ce qu’on ne sait pas encore, c’est la portée politique de cette nomination.
S’agit-il d’une Première Ministre de transition, chargée de tenir jusqu’aux élections en donnant l’illusion d’une fibre de « gauche », puis elle s’en ira ? Ou bien, si la mayonnaise prend, restera-t-elle pour mettre en oeuvre durablement cette politique de la caste dont elle incarne l’une des version les plus pures ?
Les prochaines semaines le diront.
Simplement, on reste surpris par la stratégie macronienne dans sa confrontation avec la France Insoumise, puisqu’au fond il choisit une vieille jument de retour, là où l’on attendait plutôt de l’audace et de « l’agressivité » pour tailler des croupières à Jean-Luc Mélenchon.
Des sondages auraient-ils rassuré le Président sur l’issue des législatives ?
Toujours est-il qu’on attendait la Blitzkrieg, et Macron nous sert du Gamelin…
Il existe ici deux possibilités claires : soit Macron souhaite la victoire de la France Insoumise, et il a choisi la stratégie la plus déceptive pour s’y opposer, histoire d’être sûr que Mélenchon gagne. Soit il a reçu des assurances sur la défaite de Mélenchon et il choisit une ligne mièvre parce qu’il la sait sans risque.
Mais tout ceci ressemble à un refus d’obstacle.
Un message clair sur la continuité
Un message clair se dégage de cet ensemble : Macron ne changera rien à la ligne de son quinquennat précédent. Mêmes profils psychorigides et technocratiques, mêmes dénis, même froideur, et même manque d’imagination dans l’exécution d’un programme décidé ailleurs.
C’est la mondialisation.
De mon point de vue, le message est clair : il faut prendre la décision définitive de pratiquer la sécession pour échapper au pire. Mais nous savons aujourd’hui que, livrée à elle-même, la machine bureaucratique reproduit indéfiniment les mêmes erreurs et la même folie.
Il est temps que le peuple envahisse la scène et décide un changement de scénario.
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Je partage vos conclusions.
Scénario 1 : pause caca conforte sa perspective de victoire aux législatives moyennant fidèle allégeance des vieux débris et autres parvenus, confortée (au cas où …) par une fraude furtive au niveau de l’agrégation nationale des résultats assurée en toute indépendance par … Darmanin sous la surveillance du CC dirigé par … Fabius, le tout sous la passivité (complicité ?) plus que suspecte d’une MLP aux fraises depuis l’entre deux tours.
Scénario 2 : pause caca conforte sa perspective de défaite aux législatives face à LFI (mystifiant tout ce petit monde d’assistés de la vie), histoire de pantoufler (et au passage continuer à placer son patrimoine dans les paradis fiscaux) tranquillou durant 5 ans de cohabitation avec les rageux islamogauchistes.
Je vais aller plus loin.
Je crois qu’on est d’accord sur le fait que la rue ne pourra changer la donne toute seule.
Et je crois aussi qu’à un moment une sortie temporaire du cadre constitutionnel deviendra la seule issue. Il y faudra alors le soutien d’une partie déterminée de l’armée. Or je pense que nous avons eu des signes, depuis au moins un an, qu’elle est travaillée par la nécessité de faire dérailler le train fou qui nous précipite vers l’abîme.
Lorsque la crise économique, et peut-être bientôt monétaire, qui vient droit devant nous frappera le pays, qui voudra mourir pour Macron parmi nos forces armées et nos FDO ?
Tous ces gens qui attendent quelque chose de l’armée ne connaissent pas les militaires.
Ce sont des bureaucrates comme les autres.
Des fonctionnaires en uniforme.
Vous avez à la fois raison et tort.
Tort dans le sens que nous vivons une de ces époques où l’Histoire accélère brutalement. Un observateur de la société qui a été plusieurs fois invité par le Courrier des Stratèges à parler de ce que nous sommes en train de vivre, Michel Maffesoli, pense même que nous sommes en train de rompre, maintenant, avec un cycle historique long.
Je ne suis pas à même de juger la pertinence de son analyse, mais les signes sont nombreux que nous vivons une période de rupture, le Courrier des Stratèges en rend compte. Or les tribunes des militaires parues l’an dernier dans la presse sont à ma connaissance sans précédents depuis un demi-siècle.
Contrairement à 1958 nous n’avons pas un De Gaulle dans un tiroir, mais pour moi nous arrivons à un temps où tout devient possible. Plutôt le pire que le meilleur, mais le pire n’est jamais certain.
Je vous conseille la lecture de mon « Histoire des services secrets : le théâtre d’ombres du réel », où j’évoque l’Etat invisible (ou Etat profond) ; vous verrez que l’Etat invisible a toujours été au pouvoir, du plus loin que l’Etat existe, dans ses fractions visible et invisible.
https://www.thebookedition.com/fr/histoire-des-services-secrets-tome-1-p-366139.html
Si cela vous intéresse, je peux vous l’envoyer gratuitement.
Vous avez raison sur le fond, bien sûr, mais n’utilisez pas ce concept trompeur d’Etat profond, lequel a été forgé par les serviteurs mêmes de l’Etat invisible afin de nous empêcher de comprendre le fonctionnement intrinsèque de cette forme de gouvernement qu’est l’Etat, indépendamment du régime (républicain, monarchique, impérial, théocratique, etc.).
La nomination de Borne n’est que symbolique, car le mal est déjà fait. Macron est lui-même un serviteur de l’Etat invisible français et américain. Mais si vous connaissez l’identité du véritable père de Macron, vous savez déjà cela.
En complément de ce que je vous écrivais précédemment, voici l’avant-propos de mon livre, où j’évoque ce qu’est l’Etat invisible et pourquoi l’expression « Etat profond » n’est pas adéquate et trompeuse. La réalité étant bien pire que ce que nous imaginons.
AVANT-PROPOS
Tout individu détenant un quelconque pouvoir souhaitera d’abord le conserver, ensuite le consolider et enfin l’étendre. Il en va de même pour l’État, forme de gouvernement qui s’est imposée sur notre planète, et de ses innombrables serviteurs. C’est pourquoi la première préoccupation de ces derniers sera d’en assurer la sécurité, tant à l’extérieur, au moyen de l’armée, qu’à l’intérieur, par les forces de l’ordre.
Toutefois, une défense réellement efficace ne supporte pas la publicité. Ce qui en constitue le cœur doit demeurer à l’abri des regards indiscrets et, pour cette raison, l’État s’est doté, dès sa formation, de structures particulières cultivant le secret autour de leurs activités. Mais ces différentes organisations ne sont pas de simples rouages de la mécanique étatique que ses serviteurs actionneraient tels de vulgaires leviers.
Elles sont l’État lui-même. Sa fraction invisible.
L’État visible, vous le connaissez, c’est le visage public, légal et présentable de ceux qui semblent, seuls, faire tourner la machine. Ce sont les diplomates, les militaires, les policiers, les législateurs, les élus locaux et les juges, les dirigeants de la banque centrale, les ministres du budget et des finances, et la troupe zélée des percepteurs d’impôts.
L’État invisible, vous n’en savez que ce que l’on daigne bien vous en dire, c’est le visage secret, souvent illégal, parfois indicible, de ceux qui œuvrent au plus profond, au plus intime de l’infrastructure. Ce sont les clubs élitistes, les fraternités, les sociétés secrètes et les services de renseignement.
L’un et l’autre forment les deux moitiés d’une même pièce et sont indissociables. L’un agit à découvert, l’autre dans le secret quasi absolu. Il n’y a pas de complot, d’État dans l’État, ainsi que voudraient nous le faire croire les théoriciens du « deep state », ou « État profond ». Il n’y a pas, d’un côté, une administration légitime, composée de gens honnêtes et rendant compte à qui de droit, et, de l’autre, de cruels faiseurs de rois mettant des bâtons dans les roues des dignes représentants du peuple qui souhaiteraient tenir leurs promesses mais en sont empêchés. Tout ce beau monde opère de concert. Comprendre cela, c’est déjà poser un pied dans le terrier du lapin. Saisir cela, c’est se donner les moyens d’en entamer l’exploration.
À force de patience, l’État a construit une matrice, une trame, qui couvre l’ensemble de la société. Une partie de celle-ci est visible, clairement identifiée, l’autre est invisible, entourée de mystère et de faux-semblants. Et parce que l’État visible est partout, sa contrepartie invisible est elle aussi présente à tous les étages de cette même société, privée et publique, militaire et civile. Ce n’est pas sombrer dans la défiance, ou la paranoïa, que présenter les choses de cette façon. C’est juste faire preuve de bon sens et décrire la réalité telle qu’elle est.
Car si les services secrets ont pour raison d’être d’assurer la sécurité de l’État et la protection de ses intérêts, la première et la seconde doivent être mises en œuvre de tout temps et en tout lieu. D’où l’omniprésence de l’État invisible. Nous touchons ici à la nature intrinsèque de cette forme de gouvernement.
De la même manière qu’un commerce a une devanture et une arrière-boutique, l’État a une façade et des coulisses. Il n’en reste pas moins que c’est la même équipe qui gère l’ensemble, que tous se connaissent, de près ou de loin, qu’il n’y a qu’un seul propriétaire et que celui-ci poursuit un plan d’action unique.
Tel un être vivant, l’État est mu par un puissant instinct de survie. Il veut continuer d’exister et, pour cela, doit assurer sa sécurité et défendre ses intérêts bec et ongles, dans toutes les circonstances. Chacun de ses organes (institutions) participe à cette lutte et chacune de ses cellules (serviteurs de l’État, de ses structures) met toutes ses forces dans la bataille afin d’atteindre cet objectif commun. Tout cancer (contestation sourde), toute maladie aigue (révolte populaire ou tentative de coup d’État par une élite), tout virus venu de l’extérieur (invasion armée), doit être tué dans l’œuf. Le système immunitaire de l’État, ce sont ses services secrets, l’État invisible, et comme chez tout être vivant, vous savez qu’il existe, qu’il opère en silence quand vous vous remettez d’un mal, mais vous ne le voyez jamais.
À moins d’utiliser un microscope. Et c’est bien dans ce type d’instrument que je vous invite à regarder aujourd’hui. Vous y découvrirez un monde d’une incroyable richesse.
De quelle façon les services secrets œuvrent-ils ? C’est là tout l’objet du présent livre. Disons, pour faire simple, qu’ils fonctionnent selon le mode espionnage / contre-espionnage, à la fois en direction de l’intérieur et de l’extérieur. Dans cet ordre-là, que le régime soit prétendument démocratique ou non. La première victime de l’État invisible, ce sont ses citoyens, et ce du fond des âges. L’ennemi intérieur, fraction du peuple révoltée ou d’une élite mécontente, l’un et l’autre pouvant s’allier, a toujours été considéré comme la principale menace. Après seulement vient le péril extérieur. Les murs épais des plus belles forteresses ne sont d’aucune utilité quand les bonnes volontés manquent à l’appel pour en défendre les crêtes.
Aussi les services de renseignement doivent-ils employer des espions pour identifier les rebelles de l’intérieur et d’autres pour garder à l’œil les forces hostiles de l’extérieur. Quant aux agents du contre-espionnage, leur tâche est dictée par la logique. Il s’agira, pour les uns, de pénétrer les arcanes de l’État invisible adverse et, pour les autres, de repérer d’éventuels complices de ce dernier au sein du peuple ou des serviteurs mêmes de l’État, la fameuse « cinquième colonne ».
Ce système, à la fois bien plus complexe et beaucoup plus simple que vous pourriez l’imaginer, existe depuis la nuit des temps. Il est antérieur aux premières cités-États qui émergent, vers 3 700 av. J.-C., en Basse-Mésopotamie.
En effet, avant celles-ci, les communautés agricoles, les proto-cités, les colonies, armées, bandes, tribus, clans, etc., ne connaissaient pas l’État mais n’étaient pas moins dotées d’une administration civile ou militaire. Ainsi, ce que nous appelons l’État invisible a succédé à l’administration invisible et, avant cela encore, au pouvoir invisible. Je vous en conterai l’histoire, en temps voulu. Mais avant, nous devons délaisser les ornières, profitant d’une longue introduction, divisée en trois parties, qui vous permettra de défricher le terrain, étape indispensable pour mieux appréhender un sujet unique en son genre. Ne soyez donc pas décontenancés par mes choix et la forme pour laquelle j’ai opté afin de vous présenter mes découvertes.
À objet d’étude singulier, méthodologie singulière. Ne vous inquiétez pas si je ne développe pas tel ou tel domaine, si je me borne à affirmer quelque chose sans le démontrer. Ce sera fait plus loin dans cet ouvrage. C’est ainsi que vous pénétrerez dans le terrier du lapin. Pas à pas.
Au-delà de la nomination de cette femme comme Premier ministre, qui est effectivement le signe clair que le changement annoncé se fera dans la continuité, autrement dit que Macron ment comme il respire – mais ça, on le savait déjà,
Deux remarques :
1/ la retraite à 65 ans, dès lors que nous conservons le principe d’une retraite par répartition – qui est certes un mauvais principe – est incontournable ; se braquer sur une retraite à 60 ans est juste irréaliste, pour ne pas dire marxiste (ce n’est pas un hasard si Mélenchon y tient tellement)
2/ le prochain gouvernement, quel qu’il soit, va devoir se farcir la gestion de la dette et de la hausse des taux d’intérêts qui vient : problème insoluble selon Charles Gave, pour qui nous allons dans le mur dans tous les cas, avec de très graves conséquences – troubles sociaux de type Gilets Jaunes puissance 10, Euro mis à mal… sans parler des conséquences néfastes de notre position sur la guerre en Ukraine, ou encore des conséquences de la politique prévue en matière de « transition énergétique », laquelle ne peut qu’aggraver considérablement la situation économique et sociale du pays – donc retour au début du point 2/
Quant à la piqûre obligatoire, elle est certes dans les tuyaux, mais quand on sait que près de dix millions de Français de plus de 20 ans ont refusé la 3ème dose, ça risque fort de ne pas passer crème…
Bref, nous entrons de toute façon dans une zone de turbulences, et Borne ou pas, ça n’y changera pas grand-chose.
Mais non, tout va très bien! Les perspectives sont mirifiques, la bourse repart à la hausse et n’a baissé que de 10% depuis 5 mois…
« … soit Macron souhaite la victoire de la France Insoumise, et il a choisi la stratégie la plus déceptive pour s’y opposer, histoire d’être sûr que Mélenchon gagne. »
Curieusement, je n’en serais pas autrement étonné…
Je ne sais plus qui a dit « l’organe crée la fonction » mais le capitalisme financier hyper-concentré dans les fonds d’investissement illustre à merveille cette maxime. Ça fait trente ans qu’on nous serine avec leurs thérapies géniques et que les plus grandes fortunes et investisseurs misent sur ce chemin en espérant se faire du 20% par an de retour sur investissement sauf que « que dalle », leur affaire virait au désastre à la Madoff. Grâce au Covid, ils ont enfin leurs bénéfices car cette affaire entraîne toutes les start-up de la génétique.
Vous avez encore le scandale de l’IA, de l’ordinateur quantique, du stockage du CO², des constellations de satellites, d’ITER et des tas d’idioties de ce type dans les starting-block des d’investisseurs qui pensent comme leurs pieds, croyez moi, ces scandales qui font passer les avions renifleurs de Giscard pour une gaffe d’écolier ne font que commencer mais le plus drôle sera la première femme à marcher sur la lune car on y marche comme sur terre et pas comme au cinéma.
Nous pouvons donc affirmer que « la finance crapuleuse crée la success-story pharmaceutique qui vous ruine la santé » comme « l’organe crée la fonction ». D’ailleurs, je coure de ce pas acheter un chien pour le nourrir avec de l’herbe afin qu’il développe plusieurs estomacs comme les ruminants, je suis comme Vanguard et Blackrock avec les thérapies géniques, j’y crois très, très fort… 🙂
« la rigidité, le manque d’imagination, le jacobinisme niveleur et interventionnistes ». Voilà, c’est ça, la continuité des enfoirés et des QI de moules, même si censés être des diplômés supérieurs. Se rappeler ses décisions concernant les suppressions de salaires des novax ou opposants. Reste juste à espérer que Poutine va fermer tous les robinets de matières premières afin que le bordel arrive vite et qu’on puisse recycler les pontons de Niort.
Je pense qu’il faut parler de mondialisme en tant que projet politique d’unification technocratique et totalitaire du monde (au moins occidental) et non de mondialisation, laquelle n’est que le multiplication des échanges commerciaux, culturels etc.
Même si le mondialisme a évidemment utilisé la manière dont s’est développée la mondialisation et l’a même influencée.