Véran a-t-il couvert des milliers de vaccinations illégales de jeunes enfants ? par Isabelle Hock

Véran a-t-il couvert des milliers de vaccinations illégales de jeunes enfants ? par Isabelle Hock


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Olivier Véran et Alain Fischer ont-ils couvert une vaccination illégale de plusieurs milliers de jeunes enfants, l’an dernier, en dehors de tout protocole médical et toute autorisation scientifique en bonne et due forme ? Ces vaccinations illégales et sans aucun encadrement posologique sont-elles à l’origine des hépatites aiguës qui frappent mystérieusement des enfants ? Ce sont les questions qu’Isabelle Hock pose au vu des informations récentes qui ont commencé à percer… dans le silence des autorités sanitaires françaises.

Un nouveau scandale d’état semble se confirmer dans la décours de la gestion de la pandémie du Covid 19.

En décembre 2021, alors que PFIZER ne dispose encore d’aucun vaccin pour les enfants de moins de 5 ans, pas moins de 4.512 enfants de cette tranche d’âge ont déjà reçu une première dose de vaccin à ARNm !

En effet, selon le journal « le Monde » dans un article publié le 23 novembre 2021,  pas moins de 22.490 enfants français âgés de 0 à 11 ans ont déjà été injectés avec l’ARNm. Or la vaccination pour ces enfants ne sera proposée par la Haute Autorité de Santé (HAS), et ce sans aucune obligation, qu’à partir… du 20 décembre 2021.

Autrement dit, ces enfants ont été vaccinés en dehors de toute procédure scientifique admise.

Des enfants cobayes

Des enfants français ont donc bel et bien servi de cobaye à une expérimentation du vaccin ARNm à grande échelle.

Le chiffre de 17.199 enfants complètement vaccinés et de 22.490 enfants ayant reçu une première dose donne le tournis par rapport au 1.250 enfants de 5 à 11 ans ayant participé aux essais cliniques de PFIZER dans le courant de la même année 2021, selon les données statistiques officielles de Santé Publique France, et ce depuis le mois d’avril 2021, reprises dans l’article du « Monde ». Le journal avance même la date du 27 décembre 2020 pour les deux premières injections sur des tout-petits.

Pourtant, au cours du mois de mai 2021, Alain FISCHER, M. Vaccin du gouvernement MACRON, déclarait que vacciner des enfants des enfants de moins de 12 ans n’était pas envisageable avant le début de 2022. Le 21 juin 2021, le Comité Consultatif National d’Ethique (CCNE), présidé par le Professeur DELFRAISSY déclarait « inacceptable de vacciner des enfants de moins de 12 ans avec ces produits. »

Pour ces milliers d’enfants injectés illégalement, car avec un produit non adapté pour usage pédiatrique (celui-ci n’ayant pas encore été approuvé par les instances compétentes, nationales ou européennes), il n’y a eu aucun suivi de pharmacovigilance, ni aucune possibilité d’exercice du consentement éclairé de la part des parents, vu qu’aucune étude clinique n’avait été réalisée ni évaluée au préalable.

Une vaccination de jeunes enfants totalement illégale

Cette vaccination illégale et opaque soulève de nombreuses questions.

Qui a autorisé des médecins français à injecter le vaccin expérimental ARNm dans sa version pour adultes sur 22.490 enfants de 0 à 11 ans avant la mi-décembre 2021, alors que ce produit n’avait été validé par aucune agence de santé publique (HAS, EMA) pour des enfants de cette tranche d’âge ? On sait qu’il ne sera jamais validé vu qu’il s’agit en tout état de cause de vaccins non-pédiatriques.

Avec quelles proportions ces doses d’adultes ont-ils vacciné cette population, en particulier les 4.512 enfants de moins de 5 ans ? Qui a fixé les proportions, qui a surveillé ?

Pourquoi l’ANSM n’a-t-elle rapporté aucune donnée concernant ces 24.490 enfants injectés en 2021 dans ses rapports de suivi des effets indésirables ? Pourquoi cette expérimentation n’a-t-elle donné lieu à aucune diffusion d’information  publique avant le début de la campagne de vaccination actuelle sur les enfants de 5 à 11 ans ?

Le 11 décembre 2021, un courrier a été adressé par différents députés et représentants d’association à Olivier VERAN, Alain FISCHER et au Professeur DELFRAISSY en sa qualité de président du CCNE, entre autres figures de la politique vaccinale du gouvernement. Seul ce dernier a répondu mais en bottant en touche, renvoyant les auteurs à Alain FISCHER.

Les craintes pour la future campagne pédiatrique

L’accélération de la campagne d’injections pédiatriques s’annonce imminente, et les cas d’hépatites infantiles aigües ont fourni un argument de poids pour un revirement de position.

Plus de 12 millions de doses pédiatriques du sérum PFIZER ont été livrés à la France, pays qui compte moins de 6 millions d’enfants âgés de 5 à 11 ans.

Par ailleurs, dans un document officiel de la Commission UE, on peut lire qu’« avant le début de l’année scolaire 2022-2023, il y a lieu de considérer des stratégies pour accroître le taux de couverture vaccinale chez les jeunes enfants, par exemple en se coordonnant avec les pédiatres et d’autres professionnels de santé qui sont des sources d’information fiables pour les parents ».

Avant même de pouvoir arguer d’une pathologie pédiatrique liée à un nouveau variant du SARS-COV2, les académies de médecine et de science de même qu’Alain FISCHER ont déclaré qu’il fallait «vacciner les enfants de 5 à 11 ans sans hésiter ».

Le vaccin cause-t-il des hépatites infantiles aiguës ?

Le 15 avril dernier, l’OMS a déclaré une alerte mondiale concernant les enfants attaqués par un mystérieux virus qui cause l’hépatite infantile aigüe (HIA). Elle déclarait par la même occasion que la priorité était de déterminer l’étiologie de ces cas afin d’orienter les actions cliniques et de santé publique à venir.

Selon deux sources totalement indépendantes les unes des autres (Jean-Marc SABATIER et le « Journal of Hepatology »), la protéine spike est susceptible d’engendrer de graves lésions au foie («Our case demonstrates conclusive evidence of vaccine-induced immune-mediated hepatitis with a rapid onset of liver injury after the first Moderna dose, which on re-exposure led to acute severe autoimmune hepatitis »).

Jean-Marc Sabatier, Directeur de Recherches au CNRS, a quant à lui expliqué que la protéine Spike du coronavirus peut, elle aussi, engendrer ces mêmes dommages… ce qui en pratique rendra impossible -ou presque- l’identification de l’origine de l’infection.

« Selon Jean-Marc Sabatier, ces hépatites aiguës correspondent à une maladie de la Covid-19 et sont induites par un variant ou sous-variant émergent du SARS-CoV-2 (Omicron, XD, XE ou autres). Ceci suggère qu’il existe un risque qu’avec les nouveaux vaccins basés sur la protéine Spike d’Omicron, le même phénomène inflammatoire du foie puisse survenir chez les jeunes enfants vaccinés avec les nouveaux vaccins. »

On se sera pas étonné de constater que c’est évidemment la protéine spike « naturelle » qui est maintenant incriminée pour les quelques cas d’hépatites infantiles. Cette probabilité a aussi été évoquée par JM Sabatier, mais aussi par des études publiées par le Lancetacute hepatitis has been reported in children with multisystem inflammatory syndrome, but co-infection of other viruses was not investigated.  We hypothesise that the recently reported cases of severe acute hepatitis in children could be a consequence of adenovirus infection with intestinal trophism in children previously infected by SARS-CoV-2 and carrying viral reservoirs « ).

Quoi d’étonnant que de constater que, depuis plusieurs semaines, le narratif selon lequel la vaccination des enfants les protégeraient contre l’HIA se construit et se répand dans la presse subventionnée ? On ne cherche pas du côté du vaccin vu que les enfants ne sont pas sensés être vaccinés. C’est sans compter les 22.490 enfants vaccinés, certains selon un schéma complet,  depuis 2021…

En mars 2021, la Société française de Pédiatrie affirmait que le COVID n’était pas une maladie pédiatrique, tout en autorisant l’injection d’un vaccin ARNm sur des enfants de 0 à 11 ans…

A supposer même que chez certains sujets présentant une prédisposition particulière, l’infection au Covid pourrait causer des cas d’HIA, on ne pourra que s’interroger sur le rapport bénéfice-risque de l’injection de ce sérum qui demeure expérimental à l’ensemble de la population infantile, alors qu’il est reconnu que le COVID n’affecte en principe les enfants que de manière mineure. Le fait que le COVID perd en virulence au fil de ses mutations ne fait que renforcer ces questionnements légitimes sur les réelles motivations sous-tendant cette propagande très inquiétante pour la vaccination de nos enfants.

Reste que, pour tous les cas d’effets secondaires contractés par des enfants vaccinés illégalement, la responsabilité de l’Etat est désormais lourdement engagée.

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