Sous le feu des projecteurs durant la crise sanitaire, l’artemisia est une plante herbacée utilisée depuis plus de 2000 ans dans la médecine traditionnelle chinoise (MTC). Traditionnellement utilisée contre les fortes fièvres, elle possède des vertus prétendues ou avérées non négligeables au quotidien. Comment expliquer cet engouement pour l’Artemisia ? Comment cultiver et entretenir cette plante herbacée ? Faisons le point.
L’artemisia est à nouveau sous le feu des projecteurs
Plante aux airs de fougère et originaire des hauts plateaux de Chine, l’artemisia a progressivement été utilisée en Amérique, en Afrique puis en Europe pour sa teneur en artemisinine. Ce principe actif a permis au Dr Tu Youyou d’obtenir le Prix Nobel de physiologie ou médecine en 2015, conjointement avec l’Irlandais William Campbell et le Japonais Satoshi Ōmura, découvreurs de l’ivermectine. Il est présent dans les principaux traitements antipaludiques et s’est retrouvé sous le feu des projecteurs dans le contexte de la pandémie de Covid-19.
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l’OMS a tout fait pour discréditer cette plante. D’ailleurs elle est interdite de vente en france et dans d’autres pays. Big pharma est passé par là…… Il est à noter que la résistance du parasite du paludisme concerne le médicament à base d’artémisine distribué par ….l’OMS. La plante elle conserve toute son efficacité car elle possède de nombreuses substances chimiques qui agissent de concert contre le paludisme. La parasite du paludisme doit donc lutter contre de nombreuses substances chimiques contenues dans la plante et ne peut sadapter. Au contraire du médicament. L’argument fallacieux évoqué par l”OMS qui recommande de ne pas soigner exclusivement avec cette plante pour que le parasite du paludisme ne développe pas de résistance est donc totalement mensonger. L’OMS défend les intérêts des labos pharmaceutiques et n’en a rien à foutre de la population africaine. De plus cette plante est gratuite et peut être cultivée dans son jardin par n’importe qui. Voilà qui met à mal les business plans des labos qui comptaient se remplir les poches avec le paludisme.
La culture d’artémisia annua est très facile, la graine est minuscule, mais la plante a atteint 1m50 chez moi l’année dernière (région parisienne) et elle se resème toute seule. Elle est très odorante fraiche ou sèche, mais la tisane qui ne l’est plus est amère. Après séchage j’ai recueilli les feuilles en glissant les tiges au creux de l’index et avec la quantité que j’avais cela m’a bien abimé la peau à la pliure, je n’ai rien fait pour soigner la plaie et curieusement elle a guéri très très facilement sans douleur, sans gonflement ni suintement aucun.