Quelle générosité ! Moderna s’inquièterait du sort de l’Afrique en proposant d’investir sur le continent : une usine de vaccins en capacité de produire 500 millions de doses par an contre le Covid et une vingtaine d’autres maladies. Comme si l’on venait de s’apercevoir que les vaccins étaient la solution à tous les problèmes de santé. Il est vrai qu’avec la propagande vaccinale mondiale contre Covid, l’industrie pharmaceutique et les autorités occidentales de santé publique ont réussi à faire passer un mirage pour une réalité. L’industrie pharmaceutique a refusé pendant des décennies de construire une usine d’antirétroviraux contre le VIH/sida en Afrique où se situent 90% des personnes vivant avec le VIH (PVVIH) mais installe une usine pour la vaccination Covid sur le continent détenant le plus petit nombre de cas de Covid.
Pourquoi Moderna veut-il installer une usine de vaccins en Afrique ? Les Echos expliquent que les ONG ont beaucoup reproché aux laboratoires de servir d’abord les pays développés en vaccins Covid et de ne pas transférer leur technologie aux pays du Sud. Il est vrai que cette critique fortement conduite par l’OMS a pu être entendue et répétée partout en occident. La rhétorique est bien rodée ; j’ai eu l’occasion par mon métier de l’entendre du matin au soir sur tous les médias en 2021, notamment au Cameroun ou encore en République centrafricaine. En juin 2021, le Cameroun ne comptait que 900 décès notifiés du Covid (comorbidité comprise, il faudrait donc diviser le chiffre par 15 ou par 20 pour avoir le nombre des seuls décès liés au Covid) depuis janvier 2020 et les ondes radio et TV étaient saturées du matin au soir par la propagande Covid, invitant les personnes à se faire vacciner dans les centres récemment ouverts. Il n’y avait aucune communication sur d’autres sujets de santé publique avec 10 fois plus de victimes et depuis des décennies (sida, complications d’accouchement, accidents de la voie publique…).
Comment faire passer le mensonge pour une action de bienfaisance ?
Nous vivons dans un monde où le mensonge est devenu un mode de fonctionnement en routine. C’est pratique car la déconstruction morale de l’occident a permis au relativisme de s’imposer justifiant toutes les inversions. Aussi, l’installation de l’usine Moderna en Afrique est globalement présentée par les médias – et par le directeur de l’entreprise Stéphane Bancel, comme un acte de bienveillance, une réponse à l’appel de l’OMS pour faire parvenir les vaccins contre Covid vers l’Afrique et les plus démunis ; bref, un acte de charité. L’OMS est une courroie de transmission de la politique de l’industrie pharmaceutique et du secteur privé dont Bill Gates est devenu l’emblème par excellence. L’OMS – et son directeur assujetti à ses généreux donateurs – établit les nouvelles ordonnances d’un gouvernement mondial hygiéniste qui fait perdre leur souveraineté aux pays membres.
Pendant plus d’une décennie l’industrie pharmaceutique s’est opposée à la production d’antirétroviraux sur le continent africain – continent qui regroupe 90% des PVVIH – avant d’autoriser des droits d’exploitation en Afrique du Sud en 2003. Ils ont contraint les pays occidentaux à financer les ARV par un mécanisme innovant qui a été créé en 2000 avec le Fonds Mondial de Lutte contre le Sida, la tuberculose et le paludisme. Cette solution a permis de réduire la morbi-mortalité du VIH/sida sur tout le continent et dans d’autres régions du monde comme l’Asie, l’Amérique latine ou l’Europe de l’Est. Mais ce n’est pas grâce à la collaboration de l’industrie pharmaceutique qui a aussi longtemps résisté aux négociations groupées (pour faire baisser les prix) d’achat d’antirétroviraux. Une usine d’antirétroviraux a été créée au Mozambique en 2012 avec un financement brésilien qui ne provient pas de l’industrie pharmaceutique et sa production reste limitée.
Sauver des vies n’est pas un objectif de l’industrie pharmaceutique qui ne fait pas de santé publique. Comme toute entreprise, la finalité est de faire de l’argent et les politiques de Big pharma sont définies par des actionnaires. Ce n’est en soit pas une critique sauf lorsque la communication est rompeuse et mensongère comme c’est régulièrement le cas avec cette industrie qui utilise de nombreux moyens illégaux pour parvenir à ses fins. Il suffit de consulter les condamnations des entreprises qui vendent les injections contre Covid pour comprendre l’immoralité de cette industrie.
Le mensonge porte aussi sur l’efficacité et la toxicité des vaccins
Plusieurs études ont prouvé la toxicité des injections à ARNm contre Covid, ce que nous avons présenté de manière détaillée dans un dossier consacré à cette thématique tout autant qu’à l’inefficacité des vaccins (cf. COVID : de la faible efficacité des vaccins à leur toxicité). Une récente étude scientifique publiée dans Current Issues in Molecular Biology vient encore confirmer le phénomène de transcriptase inverse présentée dans notre dossier e réfutée par les scientifiques il y a peu de temps encore, facteur de modification du génomé humain provoqué par les vaccins à ARNm : La PCR sur l’ADN génomique des cellules Huh7 exposées à BNT162b2 (nom du vaccin Pfizer) a amplifié la séquence d’ADN unique à BNT162b2. Nos résultats indiquent une absorption rapide de BNT162b2 dans la lignée de cellules hépatiques humaines Huh7, entraînant des modifications de l’expression et de la distribution de LINE-1. Nous montrons également que l’ARNm de BNT162b2 est transcrit de manière intracellulaire en ADN seulement 6 h après l’injection du BNT162b2. Pour dire simplement les choses, le vaccin de Pfizer reprogramme de manière irréversible certaines cellules de notre organisme, et devient source de pathologies graves.
Bien sûr l’industrie ne communique pas sur ces données essentielles qui révèlent la toxicité de leurs produits. Les injections Covid et celles à venir basées sur l’ARNm ne sont pas des thérapies géniques. Elles sont destinées à injecter des produits illicites, y compris des nanoréseaux qui n’ont aucune utilité thérapeutique.
En revanche, on apprend que Moderna – et ce ne sont pas les seuls – va créer des plateformes pour produire une vingtaine de vaccins en Afrique mais aussi au Canada et partout dans le monde. Ces usines seront prêtes d’ici 2 à 4 ans alors que les vaccins actuels n’ont pas obtenus les autorisations définitives de mise sur le marché en Occident. Il n’y a pas d’investissement sans assurance, ce qui signifie qu’ils savent déjà que leurs produits vont être validés. Ces gens anticipent la programmation des politiques sanitaires mondiales parce que c’est eux qui les définissent. C’est très inquiétant car ils obligeront, d’une manière ou d’une autre, les populations à recevoir leurs injections mortifères.
Pendant ce temps Médecins Sans Frontières (MSF) demande des licences libres pour la production sans droit des vaccins contre Covid
L’OMS visait la vaccination de 70% de la population mondiale contre Covid à fin 2022, poussée par des ONGs, notamment MSF qui appelait les gouvernements à demander des licences libres de droit pour les injections contre Covid dans les pays pauvres. C’est un combat d’arrière garde car l’inoculation de produits dont l’efficacité est largement remise en cause et la toxicité démontrée à plusieurs reprises, ne fait pas honneur à l’ONG humanitaire.
Pour avoir travaillé chez MSF sur la question de l’accès aux médicaments dès 1999, l’organisation dispose de moyens suffisants et de personnels qualifiés (biologistes, médecins, chimistes) pour analyser le contenu et la composition des sérums disponibles sur le marché, ce qu’elle n’a visiblement pas fait. Se fier aux recommandations de l’industrie pharmaceutique et des autorités sanitaires occidentales ou encore à l’OMS pour la validation de produits expérimentaux est une grave erreur de la part d’une organisation qui se veut indépendante, tant sur les financements que sur les idées préfabriquées. L’industrie pharmaceutique ne transmettra jamais ses licences sur des produits dangereux qu’elle utilise à des fins non avouables.
Il est malheureusement déconcertant de constater comment depuis deux ans, l’industrie pharmaceutique, avec la complicité des Etats et des médias, a trompé et continue de tromper les populations en déroulant un agenda mortifère… qui prend de l’ampleur.
“Elles sont destinées à injecter des produits illicites, y compris des nanoréseaux qui n’ont aucune utilité thérapeutique.”
Mais une utilité mortifère ! Il faut savoir qu’il est possible de libérer des nanocapsules lipidiques à distance par ondes électromagnétique ! Ça tombe bien les antennes 5g émettent des ondes électromagnétique. Il faut arrêter de se cachet derrière le petit doigt ..il faut appeler un chat,un chat…nous assistons à une “dépopulation”et à une surveillance de masse!
Oui, et l’élite ne cache pas ses intentions, et ce, depuis des décennies.
En témoigne, par exemple, ces paroles de Robert Mc Namara, ancien ministre de la Défense et ancien président de la Banque mondiale, qui synthétisait son point de vue de la façon suivante, en 1980 : «Le problème principal, c’est celui de la croissance de la population. (…) Il n’y a que deux manières d’éviter un monde de 10 milliards d’individus. Ou l’on fait baisser rapidement les chiffres actuels de la natalité, ou l’on fait augmenter les chiffres de la mortalité.»
Il est important de souligner que la réduction de la population est le but final (mais pas toujours transparent) de tous les mouvements écolo-malthusiens. D’où le basculement sur le réchauffement à la suite de l’opération Covid qui bat de l’aile…
Papier très intéressant. Une remarque : utiliser le mot de “vaccin” pour ces thérapies géniques qui ne protègent en rien de la maladie covid, ou de sa transmission relève de la désinformation et de la supercherie. C’est de plus en plus insupportable. Et que l’on arrête de déclamer que cela protège des “formes graves”, ce qui n’a jamais été prouvé de manière scientifique. Même s’il existe une présomption.
Ils protègent des”formes graves” à l’exception des décès.
« Comme si l’on venait de s’apercevoir que les vaccins étaient la solution à tous les problèmes de santé. »
Non, mais les laboratoires se sont aperçus depuis longtemps qu’imposer leurs produits aux populations en bonne santé est bien plus rentable qye soigner les malades. Le patrin de Merck en avait fait ouvertement la remarque il y a 25 ans.
Pour mettre cette politique en oeuvre, il suffisait de subvertir les politiques et contrôler les médias…
Un bon moyen pour faire baisser la natalité: la stérilisation des africaines grace aux “vaccins”, sous couvert d’une protection sanitaire. Bill Gates l’évoquait déjà il y a quelques années de façon non ambigue.