On nous prédit une révolution pour cet automne. Et si c'était un mauvais diagnostic? Nicolas Bonnal, avec sa lucidité décapante, nous donne cinq raisons d'être pessimistes.
Beaucoup d’apprentis-rebelles font mine de croire que « ventre affamé n’a pas d’oreilles », qu’on va voir ce qu’on va voir et que le populo va se révolter en Europe – comme si siffler Macron au Touquet était un acte de révolution. Rien n’est moins sûr. Je donne cinq raisons.
- Le roi Schwab et sa cour ont compris une chose : plus on prive la masse, moins elle bouge. Nietzsche écrit dans Volonté de puissance (§ 260) : « chez le petit peuple l’appétit vient en mangeant. ». Comme Tocqueville ou plus tard Soljenitsyne, Nietzsche, qui connait mieux l’Histoire que les pékins déjà cités, sait que si l’on prive le petit peuple de nourriture ou autre il bouge moins. Les grandes grèves des années 60 et 70 se faisaient dans le cadre de la société de consommation. Les tzars comme Louis XVI traitaient trop bien leur peuple. Cet heureux temps n’est plus, comme dirait Jean Racine.
- Le perfectionnement du dressage social : l’homme cybernétique de Klaus Schwab et d’Hariri a fait des progrès au bout de trente ans de technologie intense, de smartphone, de connexion, de conditionnement cyber et autre. Quand il vit dans un sept mètres carrés pour 600 euros comme un de mes vieux amis (chanteur, comédien et comique), il passe son temps à consulter sa machine. Regardez les jeunes dans le minable métro parisien. Il est distrait le rebelle.
- Le détournement de la rébellion. Un de mes vieux lecteurs nommé David a brillamment résumé ce trait : « ils ne se mobilisent que pour des conneries ». On est parfaitement d’accord : le migrant, le vaccin obligatoire, le changement climatique (la débile Christine Lagarde semble y croire, aussi sotte et dangereuse que Dame Greta), la cause LGBTQ, le lexique trop masculin, la langue fasciste de Roland Barthes, tout les motive pour, disait Flaubert, « tonner contre ». Et ils se foutent et de bouffer et d’être en liberté nos bougres.
- L’écroulement intellectuel : après un siècle de radio, de télé, et vingt ans de réseaux sociaux, on y est arrivés. Les soixante-huitards ont crétinisé la population un peu partout en occident. Ce trait est le plus connu de tous ceux que je viens de citer. Donc je vais donner un élément vernaculaire supplémentaire : il est devenu impossible d’ouvrir les yeux de quelqu’un pour parler comme Isaïe ou d’éveiller un esprit. La masse est devenue trop conne. Nous ne pouvons communiquer qu’avec nos lointains (comme le veut le système), pas avec nos proches ou notre voisin de palier qui sont imbibés de télé et de chaines News non pas six mais quinze heures par jour.
- L’acceptation. Confusément, l’homme occidental vieux et fatigué a déjà accepté son extermination. Tocqueville disait bien que le projet de la démocratie était de faire des chrétiens que nous sommes des turcs.
En fait nous sommes tombés plus bas. Regardez ces italiens à Milan…
🇮🇹UNE INTERMINABLE FILE D’ATTENTE DE PAUVRES
vient chercher pain et lait donnés par un organisme de charité.
La scène a été filmée hier 27 août à Milan,capitale économique et l’une des villes les plus riches d’🇮🇹.
En 30 ans, l’🇪🇺 et l’€ ont ruiné 🇲🇫🇮🇹🇬🇷🇪🇸🇵🇹.
ET BIEN PIRE ARRIVE. https://t.co/vvwSzRGvTk— François Asselineau (@UPR_Asselineau) August 28, 2022
Cher Monsieur, vous n’avez pas tord, hélas… Et je suis communiste (anti 68tarde….) et je suis pessimiste comme vous. En plus n’est pas Lénine qui veut… personne n’en a un en magasin! Le mouvement des Gilets Jaunes était déjà assez admirable, lucide, courageux et incorruptible… Qui n’a pas vécu l’assaut de jeunes précaires drapeau français en main sur une Elysée barricadée par 4 rangées de flics et de murs en plexiglas et de voitures blindés n’a pas encore vu le vrai potentiel de la France… Reste que les Français ont du leur progrès social à l”héritage formidable des structures du 19 siècle (le PCF a été crée sur la base de 70 ans de création sociales de coopératives, sociétés mutuelles, CGT et SFIO depuis 1830) avec une conjoncture politique qui a mené à la décrédibilisation de la France bourgeoise (boucherie de 1914-18, Cagoule, synarchie et collaboration avec le nazisme allemand). C’est la capitulation honteuse et l’humiliation de la débacle qui a mené de jeunes patriotes bourgeois à aller à Londres pour faire la France Libre, qui a d”emblée été pensée comme une France nouvelle ou la “question sociale” sera résolue. Et ainsi fut fait, des larmes et du sang plus tard. Aujourd’hui c’est ce qu’il nous faut: le peuple est prêt, mais il est inculte après 40 ans de décervelage mittérandien et ultralibéral. Il nous manque des leaders qui ne peuvent venir que d’une jeune bourgeoisie patriote qui veut sauver son pays. Ou est-elle? De plus il faudrait commencer à s’organiser en VRAI, pas en virtuel… En Russie c’est cette jeunesse patriote qui a crée la Russie de Poutine (Daria Dougina en est le révélateur, mais les Français ne savent pas que la jeunesse intelligente et patriote est légion dans le parti Russie Unie). Cela dit, la jeunesse patriote de l’intelligenstia russe n’est pas vraiment originaire de la bourgeoisie, mais de la “bourgeoisie rouge”, des cadres de l’URSS… Comme quoi, l’URSS ce fut la Russie, comme de Gaulle le voyait si bien dès 1940.
L’ultra libéralisme n’existe que dans des esprits incultes et malades. La France est le pays le plus taxé au monde.
Kali Yuga, mon cher Eric. En outre, il n’y a jamais eu rien à attendre du peuple. Nietzsche l’avait bien compris lorsqu’il appelait la venue du surhomme et que la populace réclama en guise de réponse le dernier homme. C’est ce dernier qui est advenu et il réduit, réduit tout à la portion congrue.
Relisons Guénon et comprenons qu’il n’y a rien à espérer des temps actuels. L’hiver s’installe et nul ne sait jusqu’à quel degré de dégénérescence il nous amènera.
Mais poursuivons notre lecture de Guénon, relisons le Démiurge et comprenons que tout cela n’est qu’un jeu car in fine seul demeure le non manifesté :
Le Démiurge – René Guénon
Il est un certain nombre de problèmes qui ont constamment préoccupé les hommes, mais il n’en est peut-être pas qui ait semblé généralement plus difficile à résoudre que celui de l’origine du Mal, auquel se sont heurtés comme à un obstacle infranchissable la plupart des philosophes, et surtout les théologiens : « Si Deus est, unde Malum ? Si non est, unde Bonum ? » Ce dilemme est en effet insoluble pour ceux qui considèrent la Création comme l’œuvre directe de Dieu, et qui, par suite, sont obligés de le rendre également responsable du Bien et du Mal. On dira sans doute que cette responsabilité est atténuée dans une certaine mesure par la liberté des créatures ; mais, si les créatures peuvent choisir entre le Bien et le Mal, c’est que l’un et l’autre existent déjà, au moins en principe, et, si elles sont susceptibles de se décider parfois en faveur du Mal au lieu d’être toujours inclinées au Bien, c’est qu’elles sont imparfaites ; comment donc Dieu, s’il est parfait, a-t-il pu créer des êtres imparfaits ? Il est évident que le Parfait ne peut pas engendrer l’imparfait, car, si cela était possible, le Parfait devrait contenir eu lui-même l’imparfait à l’état principiel, et alors il ne serait plus le Parfait. L’imparfait ne peut donc pas procéder du Parfait par voie d’émanation ; il ne pourrait alors que résulter de la création « ex nihilo » ; mais comment admettre que quelque chose puisse venir de rien, ou, en d’autres termes, qu’il puisse exister quelque chose qui n’ait point de principe ? D’ailleurs, admettre la création « ex nihilo », ce serait admettre par là même l’anéantissement final des êtres créés, car ce qui a eu un commencement doit aussi avoir une fin, et rien n’est plus illogique que de parler d’immortalité dans une telle hypothèse ; mais la création ainsi entendue n’est qu’une absurdité, puisqu’elle est contraire au principe de causalité, qu’il est impossible à tout homme raisonnable de nier sincèrement, et nous pouvons dire avec Lucrèce : « Ex nihilo nihil, ad nihilum nil posse reverti. » Il ne peut rien y avoir qui n’ait un principe ; mais quel est ce principe ? et n’y a-t-il en réalité qu’un Principe unique de toutes choses ? Si l’on envisage l’Univers total, il est bien évident qu’il contient toutes choses, car toutes les parties sont contenues dans le Tout ; d’autre part, le Tout est nécessairement illimité, car, s’il avait une limite, ce qui serait au-delà de cette limite ne serait pas compris dans le Tout, et cette supposition est absurde. Ce qui n’a pas de limite peut être appelé l’Infini, et, comme il contient tout, cet Infini est le principe de toutes choses. D’ailleurs, l’Infini est nécessairement un, car deux infinis qui ne seraient pas identiques s’excluraient l’un l’autre ; il résulte donc de là qu’il n’y a qu’un Principe unique de toutes choses, et ce Principe est le Parfait, car l’Infini ne peut être tel que s’il est le Parfait.
Ainsi, le Parfait est le Principe suprême, la Cause première ; il contient toutes choses en puissance, et il a produit toutes choses ; mais alors, puisqu’il n’y a qu’un Principe unique, que deviennent toutes les oppositions que l’on envisage habituellement dans l’Univers : l’Être et le Non-Être, l’Esprit et la Matière, le Bien et le Mal ? Nous nous retrouvons donc ici en présence de la question posée dès le début, et nous pouvons maintenant la formuler ainsi d’une façon plus générale : comment l’Unité a-t-elle pu produire la Dualité ?
Certains ont cru devoir admettre deux principes distincts, opposés l’un à l’autre ; mais cette hypothèse est écartée par ce que nous avons dit précédemment. En effet, ces deux principes ne peuvent pas être infinis tous deux, car alors ils s’excluraient ou se confondraient ; si un seul était infini, il serait le principe de l’autre ; enfin, si tous deux étaient finis, ils ne seraient pas de véritables principes, car dire que ce qui est fini peut exister par soi-même, c’est dire que quelque chose peut
venir de rien, puisque tout ce qui est fini a un commencement, logiquement, sinon chronologiquement. Dans ce dernier cas, par conséquent, l’un et l’autre, étant finis, doivent procéder d’un principe commun, qui est infini, et nous sommes ainsi ramené à la considération d’un Principe unique. D’ailleurs, beaucoup de doctrines que l’on regarde habituellement comme dualistes ne sont telles qu’en apparence ; dans le Manichéisme comme dans la religion de Zoroastre, le dualisme n’était qu’une doctrine purement exotérique, recouvrant la véritable doctrine ésotérique de l’Unité :
Ormuzd et Ahriman sont engendrés tous deux par Zervané-Akérêné, et ils doivent se confondre en lui à la fin des temps. La Dualité est donc nécessairement produite par l’Unité, puisqu’elle ne peut
pas exister par elle-même ; mais comment peut-elle être produite ? Pour le comprendre, nous devons en premier lieu envisager la Dualité sous son aspect le moins particularisé, qui est l’opposition de l’Être et du Non-Être ; d’ailleurs, puisque l’un et l’autre sont forcément contenus dans la Perfection totale, il est évident tout d’abord que cette opposition ne peut être qu’apparente. Il vaudrait donc mieux parler seulement de distinction ; mais en quoi consiste cette distinction ? existe-t-elle en
réalité indépendamment de nous, ou n’est-elle simplement que le résultat de notre façon de considérer les choses ?
Si par Non-Être on n’entend que le pur néant, il est inutile d’en parler, car que peut-on dire de ce qui n’est rien ? Mais il en est tout autrement si l’on envisage le Non-Être comme possibilité d’être ; l’Être est la manifestation du Non-Être ainsi entendu, et il est contenu à l’état potentiel dans ce Non-Être. Le rapport du Non-Être à l’Être est alors le rapport du non-manifesté au manifesté, et l’on peut dire que le non-manifesté est supérieur au manifesté dont il est le principe, puisqu’il contient en
puissance tout le manifesté, plus ce qui n’est pas, n’a jamais été et ne sera jamais manifesté. En même temps, on voit qu’il est impossible de parler ici d’une distinction réelle, puisque le manifesté est contenu en principe dans le non-manifesté ; cependant, nous ne pouvons pas concevoir le non-manifesté directement, mais seulement à travers le manifesté ; cette distinction existe donc pour nous, mais elle n’existe que pour nous.
S’il en est ainsi pour la Dualité sous l’aspect de la distinction de l’Être et du Non-Être, il doit en être de même, à plus forte raison, pour tous les autres aspects de la Dualité. On voit déjà par là combien est illusoire la distinction de l’Esprit et de la Matière, sur laquelle on a pourtant, surtout dans les temps modernes, édifié un si grand nombre de systèmes philosophiques, comme sur une base inébranlable : si cette distinction disparaît, de tous ces systèmes il ne reste plus rien. De plus, nous pouvons
remarquer en passant que la Dualité ne peut pas exister sans le Ternaire, car si le Principe suprême, en se différenciant, donne naissance à deux éléments, qui d’ailleurs ne sont distincts qu’en tant que nous les considérons comme tels, ces deux éléments et leur Principe commun forment un Ternaire, de sorte qu’en réalité c’est le Ternaire et non le Binaire qui est immédiatement produit par la première différenciation de l’Unité primordiale.
Revenons maintenant à la distinction du Bien et du Mal, qui n’est, elle aussi, qu’un aspect particulier de la Dualité. Lorsqu’on oppose le Bien au Mal, on fait généralement consister le Bien dans la Perfection, ou du moins, à un degré inférieur, dans une tendance à la Perfection, et alors le Mal n’est pas autre chose que l’imparfait ; mais comment l’imparfait pourrait-il s’opposer au Parfait ? Nous avons vu que le Parfait est le Principe de toutes choses, et que, d’autre part, il ne peut pas
produire l’imparfait, d’où il résulte qu’en réalité l’imparfait n’existe pas, ou que du moins il ne peut exister que comme élément constitutif de la Perfection totale ; mais alors il ne peut pas être réellement imparfait, et ce que nous appelons imperfection n’est que relativité. Ainsi, ce que nous appelons erreur n’est que vérité relative, car toutes les erreurs doivent être comprises dans la Vérité totale, sans quoi celle-ci, étant limitée par quelque chose qui serait en dehors d’elle, ne serait pas parfaite, ce qui équivaut à dire qu’elle ne serait pas la Vérité. Les erreurs, ou plutôt les vérités
relatives, ne sont que des fragments de la Vérité totale ; c’est donc la fragmentation qui produit la relativité, et, par suite, on pourrait dire qu’elle est la cause du Mal, si relativité était réellement synonyme d’imperfection ; mais le Mal n’est tel que si on le distingue du Bien.
Si on appelle Bien le Parfait, le relatif n’en est point réellement distinct, puisqu’il y est contenu en principe ; donc, au point de vue universel, le Mal n’existe pas. Il existera seulement si l’on envisage toutes choses sous un aspect fragmentaire et analytique, en les séparant de leur Principe commun, au lieu de les considérer synthétiquement comme contenues dans ce Principe, qui est la Perfection. C’est ainsi qu’est créé l’imparfait ; en distinguant le Mal du Bien, on les crée tous deux par cette distinction même, car le Bien et le Mal ne sont tels que si on les oppose l’un à l’autre, et, s’il n’y a point de Mal, il n’y a pas lieu non plus de parler de Bien au sens ordinaire de ce mot, mais seulement de Perfection. C’est donc la fatale illusion du Dualisme qui réalise le Bien et le Mal, et qui, considérant les choses sous un point de vue particularisé, substitue la Multiplicité à l’Unité, et enferme ainsi les êtres sur lesquels elle exerce son pouvoir dans le domaine de la confusion et de la division ; ce domaine, c’est l’Empire du Démiurge.
Comme disait souvent un très cher ami : ” One taste ! “
Voilà qui traduit parfaitement bien – merci de cet hommage du vice à a vertu – le mépris infini du premier étage haussmannien vis à vis du dernier, sauf les soubrettes qui sucent et dont les lordoses opportunes sont utiles aux dégorgements quotidiens… Quand les classes sociales étaient mélangées à chaque adresse, rappelé-je ! Depuis on a évacué la puanteur au-delà du périphérique et dans les arrondissements sous fumées d’usines, quand elle existait. Il est vrai que votre petit personnel a été aujourd’hui externalisé en Roumanie, en Chine, voire au Bangladesh. Ca pue moins, les rues sont plus propres, mais… vous n’avez plus de petit personnel et êtes obligés de nettoyer vos chiottes et vos paliers avec vos mains… Quelle sinistre situation que les délocalisations, hein ! Vite, des maghrébins, des noirs !
Sachez jeune pourceau d’élite que ce ne sont pas elles qui ont construit Versailles. Et que lorsque vous méprisez à ce point le Peuple tel que vous le faites ici avec le sinistre Bonnal, vous méprisez la Richesse de la Nation française qui vous nourrit, vous loge et nettoie vos excréments. Allez habiter votre culture, vous aurez faim et froid l’hiver ! Pas certain d’ailleurs que vous le passerez.
C’est pour des gens comme vous et leurs mépris de classe que les révolutions s’engagent et réussissent. Car à un certain moment, il faut trancher ! “Ridicule” avait filmé Patrice Leconte. Vous êtes si caricatural qu’on vous croirait sorti tout droit de ce film et du Grand Siècle.
Nulle condescendance dans mon propos mais un constat accablant confirmé par l’épisode du covid 19 et le ralliement de la majorité des gens au pass sanitaire. Il est préférable d’avoir une liberté conditionnelle permettant d’accéder aux objets de consommation que d’être un rebelle abstinent des dits objets de consommation mais restant libre de ses choix.
Tant qu’aux Révolutions, à bien y regarder, elles ne servirent certainement pas le peuple, quelques furent, ni celle de 1789 qui fit l’avènement de la bourgeoisie au pouvoir (avec en prime 20 ans de guerre en suivant), ni les suivantes qui firent des millions de victimes. Celle prônée par Schwab et compagnie risque d’en faire des milliards et le peuple acquiescera. La véritable Révolution est intérieure, le reste n’est que foutaise. Bien à vous.
Monsieur Roux-Homais, nulle condescendance dans vos propos ? Mais si mais si ! Vous êtes perclus de suffisance, comme d’autres d’escarres à force d’être allongés sur leurs billets et leurs certitudes livresques… Comment alors pourriez-vous être conscient de votre essence ? Car vous êtes ! Qui est conscient d’être ce qu’il est ? Un chat, un oiseau ou un poisson sont-ils conscients d’être un chat, un oiseau ou un poisson ? Si je vous rencontrais, il est fort probable que je découvrirais sur votre visage cet affaissement des chairs si consubstantiel à cette logorrhée cynique quasiment portée comme un uniforme social dans les beaux quartiers.
Revenons à nos moutons… Le troupeau.
La masse…
Les moutons…
Le Peuple, troupeau de moutons, ne bougerait pas !
C’est votre propos, Monsieur Roux-Homais, et celui de l’auteur, disons du torréfacteur de café littéraire qui vous sert de référence ici parce qu’il recrache sa culture mot à mot ? C’est vrai qu’il en a…
Il y en a tant dans les alcôves de ces suiveurs impénitents, apportant peu à leur époque, se croyant au pinacle du génie alors qu’ils ne font que recracher l’or des siècles. L’épargne des bibliothèques est un capital, certes…
Monsieur Roux-Homais, sachez que le Peuple n’arrête pas de bouger, il s’agite, mais pas de manière imbécile comme à Paris…
Vous mélangez, comme beaucoup de vos congénères, agitation mentale, on le voit chez les écologistes actuellement, et efficience sociale ou créative, comme on le constate aisément dans les provinces silencieuses et laborieuses.
Qui ne bougeraient pas selon vous ?
Mais s’ils ne bougeaient pas, diantre, qu’auriez vous dans vos assiettes, tabernacle ?
Comment vous chaufferiez-vous ?
Comment seraient construits vos immeubles ?
Et vos meubles ?
Et vos placards ?
Et vos tables ?
Et vos assiettes ?
Et vos couverts ?
Comment seraient résolues vos contingences matérielles quotidiennes – la beauté du territoire français ?
Sur quoi seraient imprimées vos saillies littéraires, que vous croyez encore malheureusement pertinentes alors que vous piochez piteusement vos certitudes chez Stendhal, entre autres ?
Diable, combien de bêtises à la seconde allez-vous encore nous infliger sur ce forum, bien que ce soit votre droit le plus absolu comme nous tous ?
Le Peuple, il est enchaîné cher Monsieur Roux-Homais, par les chaînes, les ordres, l’argent, la radiodiffusion et la télévision, maintenant le téléphone. Par les règles débiles et absconnes d’une hiérarchie – la législation française abrutissante ! Sachez que les maîtres devraient toujours être de « bons maîtres », intelligents au sens de la maîtrise d’une discipline et de ce que l’on prétend être et donner comme ordres à autrui si l’on prétend diriger une troupe, un clan, un club, une ville, une région, un pays. J’essaie de trouver une époque où les ordres donnés ont été intelligents, parce qu’ils émaneraient d’une caste dite intelligente ou supérieure… Pas facile, pire quand on vous lit puisque vous méprisez vos « subalternes ». Vous ne savez donc pas à quel point le peuple est cent fois plus intelligent que les élites dont vous vous réclamez… Vous ne le savez pas parce que vous ne voulez pas côtoyer le « bas peuple » que vous méprisez onctueusement dans vos propos, vous l’ignorez donc vous ne connaissez pas cette immense richesse. Ce sont vos mots qui se font l’écho de l’auteur ci-dessus. Mais qui enverriez-vous au front s’il fallait défendre femmes et enfants, votre rue, votre quartier ? Vous j’imagine ? Non, le Peuple, objet principal de votre mépris.
Cette élite littéraire, souvent oisive, qui se prétend intelligente mais qui ne l’est pas de toute évidence, vous en êtes, Monsieur Roux-Homais, un magnifique spécimen.
Pour moi, le témoignage universel de l’Etrange Défaite de Marc Bloch, et la crétinerie sans limite (sauf celle de l’Univers selon Einstein) d’envoyer des soudards anonymes en pantalons rouges sous le feu de l’ennemi en 1914, sont les symboles même de cette crétinerie de la Haute, du commandement central organisé comme une armée mexicaine, ces élites parisiennes enfermées dans leurs quartiers dits « safe » ou d’ivoire, et qui ne doivent leur position hiérarchique non de l’intelligence de leurs décisions, de leurs actes fondateurs d’industries créatives et innovantes, mais du seul privilège « d’être nés » près des quartiers limitrophes de la bourse qui font et défont les époques à leurs seuls profits ! Par la spoliation organisée de la terre et de la vraie Richesse des Nations : le Peuple. « Il n’y a de richesse que d’hommes » affirma Jean Bodin (1530-1596). Il est l’un des grands hommes de ma région, les Pays-de-la-Loire, ignoré par la postérité mais dont je me réclame car il est né, comme Tocqueville – ignoré lui aussi en France alors qu’il l’est le rare Citoyen d’Honneur des USA non américain -, non loin des lieux d’habitation de mes ascendants directs… Il forme l’esprit et le caractère, le voisinage des vrais grands hommes !
Au fait, en passant, j’imagine que vous buvez l’infâme picrate parisien des vignes de Montmartre ! Ancien habitant de la Butte, j’ai goutté ses vendanges… Non, vous ne voulez pas vous empoisonner, vous faites donc comme toutes les élites parisiennes, vous préférez à votre table les produits régionaux du Peuple, « celui qui ne bouge pas »…
Monsieur Roux-Homais, ne voit-on pas encore aujourd’hui comment cette élite centraliste gère la France depuis 40 ans ! Leurs idées absconnes, sans aller très loin dans le temps, des 35 heures aux fumisteries énergétiques, jusqu’aux réchauffistes, covidesques et vaccinôlatres, sont pondues au rythme auquel le moulin à patates fait de la purée indigeste, à vomir pour ne pas crever dans l’heure… Peu importent que ces idées soient abs-connes et détruisent le tissu social, comme chez les marxistes-léninistes et les bolchéviques alliés aux capitalistes de connivence (nombreux sujets ici) qui détruisirent leurs pays jusqu’à vouloir déraciner par constructivisme la culture millénaire, leurs salaires continuent à tomber par le miracle de la ponction fiscale et de la violence légitime d’Etat… Elle sort de Sciences Po, de Polytechnique, de Normale Sup, de l’ENA, cette hiérarchie sommitale, cette violence légitime de caste, car elle a pris soin de fermer les portes au Peuple par des barrières qu’on connaît bien : l’inculture organisée à l’école, le mépris du travail comme programme politique. Alors que ces derniers étaient les trésors du Peuple, avec l’Honneur, l’Honnêteté et l’Héroïsme. Je mets des initiales à dessein. Non pas que tous soient abrutis de bêtise dans l’élite dirigeante car ils ont de la culture en épaisseur, et quelquefois, quelquefois soyons honnêtes, ils savent l’utiliser à bon escient… Le dommage majeur de cette élite qui sait tout, qui prétend tout savoir parce qu’elle a les diplômes, produit des thèses et des livres – dont l’utilité sociale manifeste au plus grand nombre reste suspecte bien qu’elle fasse tourner des imprimeries – est que cette élite n’écoute jamais ce qu’on lui serine directement ou via la voie hiérarchique depuis la base – jamais au grand jamais ! Jusqu’à l’atterrante construction du Mur des Fermiers Généraux pour se protéger de la fureur populaire , elle méprise fondamentalement et par culture de l’entre-soi l’écho sourd qui remonte des provinces et qui buttera sans cesse contre les Lignes Maginot mentales du parisianisme.
Et alors ça clashe !
Naturellement, ça fait mal !
Peu importe alors que telle ou telle faction intellectuelle ou bourgeoise récupère le soulèvement à son bénéfice, le mal ne disparaît pas pour autant, il est juste étouffé et écrasé entre l’enclume et le marteau d’une immonde dictature policière. La logique d’Etat poussé dans ses retranchements est « commune », si l’on peut dire ! Qui Elle alimente à dessein la peur et la violence sociale d’Etat, le besoin d’ordre. « Saloperies de Gilets Jaunes » entend-on dans les salons ? « Ils ont failli brûler ma porte cochère… » (celle qui servaient aux cochers et aux calèches du siècle haussmannien)… Tout un symbole vu en direct en mondiovision. Sachez que je ne cautionne ici en rien la violence contre les symboles français, qui appartiennent avant tout au Peuple de France, à nous tous. Ils sont le fait des phalanges d’extrême gauche manipulées par les infâmes barbouzeries des gouvernements.
Et vous osez, Monsieur Roux-Homais, encore dire que le Peuple ne bouge pas !
Quand l’élite aligne connerie sur connerie « parce qu’elle sait » au sens professoral du terme et non par la pratique du terrain (et je ne fais pas de littérature par cette répétition descriptive, non pas une fois mais durant un demi siècle), elle ne se retrouve pas au chômage, elle n’apprend jamais de ses erreurs par la traversée du désert social, car l’appartenance à la caste intellectuelle, financière au sens boursier ou décisionnelle permet toutes les immunités et toutes les impunités. C’est un fait.
Sachez qu’un « manuel » (une personne qui travaille de ses mains), issu du Peuple « qui ne bouge pas » selon vos dires, gère mieux ses affaires courantes qu’un intellectuel, ce fait illustré brillamment par la saillie définitive de Michel Audiard « Un intellectuel assis va moins loin qu’un con qui marche ».
Vous parlez… J’en suis fort aise. Et bien cultivez maintenant vos patates, il vous en faudra pour passer l’hiver. Ne venez lors pas pleurer chez vos pauvres…
Monsieur Roux-Homais, sachez que les Révolutions larvées ne sont pas le fait du Peuple, mais de la bourgeoisie financière, assistée des polices et violences « légitimes » des Etats, comme lors des mitraillages des Tuileries, de Montmartre et de Buzenval, outils répressifs qui sont toujours du côté du manche et de la banque. Toujours illégitimes depuis les premiers temps car ils se sont imposés sur la masse par la spoliation et le meurtre. Ce n’est pas du marxisme, c’est l’Histoire.
Au fait, descendrez-vous sur les barricades ou resterez-vous planqué dans vos mansardes, tremblant de peur ?
Et il voudrait refaire l’Histoire, le lapin crétin du hautin Monsieur Roux-Homais ?
Je ne suis pas Révolutionnaire, j’ai peur du pain qui disparaît des tables et qui enflamme la campagne vendéenne et des Pays-de-la-Loire, Révolution puis Terreur qui assassinent de manière industrielle comme préambule historique édifiant aux grands massacres du XXème siècle. Au Mans, on a donné le nom à une Place, dite « des Jacobins ». En ce lieu, on a assassiné 6.000 Vendéens lors de la « Bataille du Mans ». Doit-on donner le nom de « Place des Nazis » à Auschwitz, car ils sont leurs descendants directs ? Ah, les Chouans, tels les Russes Bancs, toujours liés à l’Ancien Régime ? Le blanc symbole de la royauté au centre de notre drapeau… Non. Je ne défends pas l’Ancien Régime ni l’espoir d’une restauration ou d’une Monarchie constitutionnelle, je les pourfends parce qu’il sont de même nature que les aristocraties française et européenne actuelles, ces nomenkaltura si bureaucratiques et soviétiformes, capitalistes de connivence, dont l’antienne est « Que le Peuple se soumette ou qu’il crève, qu’il disparaisse, il y a trop de monde sur cette terre ! »
Maltusianisme, eugénisme, vaccins, euthanasie, camps de la mort… Où s’arrêteront-ils ?
Et vous prétendez que le Peuple ne va pas bouger, va se laisser exterminer.
Vous connaissez si mal les gens d’ici, les Français !
Obnubilé par le nombrilisme parisien, on finit toujours par oublier l’essence des choses…
J’ai côtoyé cette déraison.
De ma carrière, je comprends intimement le mépris vécu face au travail, à l’intelligence et au talent, par une caste uniquement dotée de son insignifiance oisive, ce que signifie la colère d’un peuple qu’on prive des bénéfices naturels de sa seule valeur ajoutée. Et je plusseoierai donc des deux mains qu’elle se révolte pour mettre fin à cette situation infamante qu’on vit depuis 40 ans.
Et tant d’exemples fâcheux témoignent d’une pseudo supériorité lettrée et cultivée (aujourd’hui mondialisée et sans racines), à l’image de l’élite de Saint-Pierre en 1902 alors que la Montagne Pelée gronde fâcheusement, et qu’on dit de partout qu’il faudrait quitter la ville de toute urgence… Elle est fort intelligente et cultivée cette élite, dit-on, puisqu’elle a les manettes de la banque et de l’administration ! On doit donc la croire sur parole… Le Peuple sent bien de son côté qu’il faudrait s’éloigner sans délai, Pompéi et Herculanum comme précédents, à l’image de la fuite paniquée des animaux lors des feux de brousses et des escadrilles d’oiseaux dans le ciel toujours prémisses de catastrophes, car leur prescience sensible ne s’embarrasse point de lectures et de références bibliographiques.
Enfin, de l’entête de l’article, parlez-vous ensemble en communion d’esprit avec l’auteur de la « masse » des cons prétentieux accumulée à Paris ? Ou des provinciaux, chez lesquels je ne rencontre que des individus fiers, travailleurs, intelligents, inquiets comme jamais de l’état de leur pays et de la bêtise de ses élites dirigeantes et intellectuelles ? Il faudrait nous préciser certaines notions qu’on puisse comprendre…
Les patates, vous dis-je !
Dansez maintenant, Monsieur Roux-Homais, car il n’y a jamais eu de plus belles fêtes qu’avant les plus grands séismes, c’est documenté.
Bien à vous.
Monsieur,
En aucun cas je ne vous ai insulté ce que vous faites en retour. De ma personne, vous ne savez rien et vos jugements sont vides. Le désaccord des idées ne justifie pas la stupidité émotionnelle. Donc nous allons en rester là. Adieu.
Dans tous les peuples et les pires situations, il y a toujours un petit reste…
“Ils” ont prévu les révoltes et les moyens de les mater. Ce qu’ils n’ont pas prévu, c’est la sécession, les affiches impossibles à interdire…
Ajoutons que ceux qui travaillent, il y en a encore, n’ ont pas le temps de s informer . Regardez le temps que vous passez pour réunir tous les articles de ce blog.Alimenter le fil telegram .
Pour être bien informé il faut non seulement une ” tête bien faite ” mais du temps libre .
Toutes mes Amitiés au Staff du Courrier des Stratèges
oignez vilain, il vous poindra
poignez vilain, il vous oindra
ou encore la fable du covid et du vaccin, saison 2
En effet, si je me réfère à son opus de candidat le seul révolutionnaire dans la place s’appelle maqueron. Lui tient des promesses et ce n’est pas les trépignants professionnels surpayés de Lfi qui s’en plaindront. En guise de révolution vous aurez la Grande bascule et vous serez bien contents, comme d’hab. À titre personnel je trouve les rageux anti maqueron aussi pénibles que les pro. En tout cas de même niveau.
De ce qu’écrit très bien Monsieur Bonnal je souscris particulièrement au point no. 4: avez vous essayé, autour de vous, en 2022, de faire douter un petit bourgeois socialo de ceux qui font l’opinion? N’essayez pas, c’est aussi impossible que de se faire entendre d’un zexpère en plateau devant sa télé. Et attendez que la Russie gagne en Ukraine, qu’ils installent un rideau de fer tout neuf comme en Corée!! Le triomphe pour maqueron &ses neocons. Il restera le trafic d’armes, pour les bonhommes.
Très bon article, à l’exception du “vaccin obligatoire” comme “connerie qui mobilise”. Vu tout ce que ça sous-tend en termes liberticide et contraire à la (vraie) science, c’est un sujet important !
Merci en tous cas pour votre point de vue acéré.
J’ai probablement mal interprété votre propos sur le vaccin obligatoire, j’ai cru que vous disiez que se mobiliser contre l’obligation vaccinale était une connerie (ce à quoi j’ai réagi dans mon 1er commentaire), or, vous parliez sûrement de ceux qui se mobilisaient pour l’obligation vaccinale, qui est effectivement une immense connerie… Dans ce cas, toutes mes excuses.
Rectificatif. Volonté de puissance, §154. Lien ici :
http://www.thule-italia.net/sitofrancese/Libri/Nietzsche.pdf
Même si RTL râle, Macron m’a entendu. Deux heures de courant cet hiver (délestage ENEDIS) :
https://nicolasbonnal.wordpress.com/2022/08/30/dictature-energetique-donc-ce-qui-impressionne-dans-ce-totalitarisme-postmoderne-a-la-sauce-ecolo-humanitaire-europeiste-feministe-imperialiste-antiraciste-cest-la-conjonction-entre-deux-fo/
“ils se foutent et de bouffer et d’être en liberté” : en partie parce qu’ils n’y croient pas. Les trente glorieuses ont imprégné la population de la certitude qu’au fond, tout se passera bien.
“Nous ne pouvons communiquer qu’avec nos lointains (comme le veut le système), pas avec nos proches ou notre voisin de palier qui sont imbibés de télé et de chaines News non pas six mais quinze heures par jour.” Ce n’est qu’en partie vrai, et, paradoxalement, les plus diplômés sont les plus fanatisés. Chez les gens peu éduqués, on constate une prise de conscience, peut-être du fait de la constatation des EI de l’injection obligatoire dans leur entourage. Le “bon sens populaire” n’est pas forcément un vain mot.
Cela dit, vous avez raison, personne ne bougera : nous sommes une vieille civilisation à bout de course, édentée, essoufflée, revenue de tout.
personne ne se fout de n’avoir rien à manger. Quand vous avez des gosses à nourrir, vous ne vous en foutez pas. Les mères lutteront pour pouvoir nourrir leurs petits.
Etre lucide, oui.
Baisser les bras, non.
Parmi les diverses façons de se rallier au système en place, il y a celle, insidieuse, qui se fait malgré soi, par lassitude plus ou moins avouée. Toujours est-il que se rallier à reculons, c’est quand même se rallier.
La graine de collabo se trouve sans doute moins souvent dans la conviction que dans l’esprit capitulard, le vieil “à quoi bon”.
Chez les Anciens, la sagesse, la lucidité sont des vertus qui ne s’exercent pas de manière isolée, mais doivent s’articuler avec la vertu du courage.
On peut se demander quel est le type de lucidité des gens trop fatigués.
Citation de Tocqueville (les chrétiens transformés en turcs) p. 449 ici :
https://www.institutcoppet.org/wp-content/uploads/2012/01/De-la-d%C3%A9mocratie-en-Am%C3%A9rique.pdf
Les gens s’habitueront à ne rien bouffer et à se revacciner.
Bonjour. Je vais être court!!! Votre analyse est exact!!! Je suis né en 1942, certificat d’études au départ acquis, exemple dictée, les fautes de ponctuations étaient sanctionnées, 5 fautes éliminé du certif. Les maitres étaient à la hauteur!!! L’esprit critique oui! mais constructif!!! Bref!! J’aime beaucoup; DEVELOPPES AU MAX. TA PERCEPTION SUR LE MONDE EXTERIEUR, TON INTELLIGENCE FERA LE RESTE!!!!
Biden veut en finir avec son opposition au F-15.
https://twitter.com/greg_price11/status/1564704589865254916?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1564704589865254916%7Ctwgr%5E22d1f4244c1b573557f29b4ae3a7ccec313c2c60%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.rt.com%2Fnews%2F561901-biden-gun-control-f15%2F
Les élites sont génocidaires et iront au bout.
https://nicolasbonnal.wordpress.com/2022/08/31/edouard-drumont-et-la-formidable-soumission-du-franco-republicain-avant-la-tele/
“Affamée mais soumise : pourquoi la masse se laissera faire – par Nicolas Bonnal”
La “masse” a des jardins potagers, mangera bien quand l’élite parisienne crèvera de faim, nuance de taille !
La Traversée de Paris n’a pas été filmée en cambrousse chez les ploucs, mais bien dans les rues capitales…
Vous ne faites que cracher sur La Population, celle qui vous nourrit, vous a éduqué, torché.
C’est quoi votre problème ? Vous êtes en mal de reconnaissance dans votre “petit monde” des gens “qui caÛse” ? Que proposez-vous ? RIEN.
Vous nous prenez pour cette tartine où étaler votre culture. La couche est mince, monSeigneur.
Vous ne faites qu’alourdir, entretenir le verbiage qui sature les réseaux et empêche toutes formes de mise-en-blok.
Il y a des gens qui risquent leur peau pour que des verbieux comme vous se fasse valoir.
On vous apporterait une SOLUTION dans la main que vous ne la regarderiez même pas. VRAI ?
Là : https://beterrbeterr.wixsite.com/territoires-xyz
et pour votre cortex en particulier : https://beterrbeterr.wixsite.com/territoires-xyz/post/schemes